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Association Castoriadis

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Cornélius Castoriadis : « Démocratie et relativisme. Entretiens avec le MAUSS  Repenser la démocratie Démocratie et relativisme. Entretiens avec le MAUSS Cornélius Castoriadis Éditeur : Mille et une nuits 160 pages / 11,40 € sur Amazon Résumé : Occasion de se plonger ou se re-plonger dans la pensée de Castoriadis, cet ouvrage pose les jalons d'une réflexion critique et actuelle sur la démocratie. Baptiste BROSSARD sur nonfiction.fr « Je veux secouer les gens, et je veux faire comprendre que l'homme n'est pas, de droit divin, un être démocratique. La pensée de Cornélius Castoriadis témoigne de cette indépendance d'esprit, de cette volonté de penser le monde autrement que par les sens communs, qu'ils soit libéraux, marxistes, ou même démocrates. - Premièrement, refuser le capitalisme en tant que système naturel ; - Deuxièmement, fonder une pensée marxiste non-dogmatique ; - Troisièmement, définir ce que serait, dans ce cadre conceptuel, une démocratie. Ainsi, sont regroupés dans Démocratie et relativisme un ensemble de réflexions qui intéresserons un public varié.

Les amis de Marcel Gauchet C. CASTORIADIS - L'institution imaginaire de la société Le marxisme est une référence incontestable pour qui s'intéresse aux problèmes de la société. Mais de quoi parle-t-on ? Les visions du marxisme s'opposent, et chacune prétend à la vérité unique. Le marxisme ne saurait se réduire au « retour à Marx », envisagé comme une exégèse des textes, pouvant être compris indépendamment de la pratique historique et sociale à laquelle ils correspondent. Dire qu'aucune des pratiques historiques qui se sont réclamées du marxisme ne s'en inspirait « vraiment », c'est renier Marx lui-même, dont le but déclaré était non pas d'interpréter, mais de transformer le monde. En fait, si la pratique inspirée du marxisme a pu se révéler conservatrice, c'est que depuis les années trente, le marxisme est devenu une idéologie, comme « complément solennel de justification » (Marx) des régimes totalitaires, comme doctrine de multiples sectes, et comme théorie rigidifiée et n'évoluant plus. Déterminisme économique et lutte de classe Le rationalisme objectiviste

Société Michel Henry Notes de lecture : "L'institution imaginaire de la société", par Cornélius Castoriadis - Blog - Pierre-Yves Gibello Le titre de ce billet est peut-être inapproprié : son contenu est plutôt un condensé, écrit de mémoire et donc interprété, de ce que j'ai retenu d'essentiel. En espérant expliciter assez clairement, sans trop d'omissions ni de déformations, la pensée du philosophe... et vous donner envie de le lire (l'effort en vaut la peine). En introduction, Castoriadis commence par critiquer le marxisme : en l'inscrivant dans une perspective historique, il établit que ses prémisses comme ses conclusions n'ont rien d'absolu (qu'une révolution conduise à la dictature du prolétariat implique qu'il existe un "prolétariat" et des "révolutions"; ces dernières, supposées causées par un décalage entre le social et l'économique, impliquent qu'il existe une sphère "économique" largement autonome, etc...). Dit autrement, l'histoire crée de l'altérité : elle crée ex-nihilo des choses nouvelles... et on ne peut en établir de théorie générale, forcément bâtie sur des bases qui n'existent pas encore !

Centre Emmanuel Levinas Responsable : Danielle Cohen-Levinas Le Collège des études juives et de philosophie contemporaine a été fondé en en 2008 à l’Université Paris IV Sorbonne par Danielle Cohen-Levinas. La pensée juive, ainsi que les traditions herméneutiques propres au judaïsme, ont souvent suscité de vives polémiques au sein de la tradition philosophique. Citons, à titre d’exemple, le débat qui opposa les défenseurs de Platon et d’Aristote contre les disciples d’Averroès, ainsi que la violente controverse autour de l’œuvre de Maïmonide qui eut pour conséquence en 1232, à Montpellier, l’organisation d’un autodafé du Guide des perplexes.

Résumé La pensée politique de Cornelius Castoriadis [Archives] - RESiSTANCE Le projet d'autonomie Cette brochure est le résumé d’un résumé. Sa prétention est d’évoquer la pensée politique de Cornelius Castoriadis, une pensée qui s’est étendue, tournée et retournée dans des milliers de pages de tomes divers et nombreux. Il ne faut donc pas espérer trouver ici un condensé fidèle et concis des méandres de cette réflexion, il faut lire cette brochure en se disant et en se répétant qu’elle n’est pas un résumé (oublions la première phrase ci-dessus) mais davantage une présentation, une introduction aux théories castoriadiennes. Les notes en fin de brochure fourniront une bibliographie complète pour qui veut s’enfoncer dans les écrits made in Casto. Castoriadis est né en Grèce en 1922 ; il émigre en France à la fin de la guerre à cause de son dangereux engagement politique, s’y fait naturaliser, et y meurt en 1997. Pour toute remarque : Iosk éditions, 10 traverse des 400 Couverts, 38000 Grenoble, iosk@inventati.org La modernité occidentale Le capitalisme L’autonomie donc

Société Internationale de Recherche Emmanuel Levinas A l’occasion de la sortie récente de trois livres publiés par la SIREL aux Editions Manucius 16 décembre 2018 de 14 :00 à 17 :00 CCJC - Centre Jérôme Cahen 44 rue Jacques Dulud - 92200 Neuilly sur Seine Échanges et débats avec quatre philosophes autour de trois thèmes Entrée libre L’éthique peut-elle être au centre de tout ? La pensée de Levinas n’est pas un simple moment de l’histoire de la philosophie. Judaïsme et philosophie, au travers de 3 grandes figures, Jankélévitch, Bergson, Levinas Henri Bergson, Vladimir Jankélévitch et Emmanuel Levinas ont conçu la relation entre philosophie et judaïsme de manière fort dissemblable. Langage et silence Le langage baigne assurément la condition humaine et pourtant bien des expériences sensibles semblent irrémédiablement bafouées par leur transcription linguistique. Avec: Jean-Michel Salanskis; professeur émérite de philosophie à l’Université Paris Nanterre. Corinne Enaudeau; professeur honoraire de philosophie. Contacts :

Cornelius Castoriadis Cornelius Castoriadis en 1990. Cornelius Castoriadis [kɔʁneljys kastɔʁjadis][1] (en grec moderne : Κορνήλιος Καστοριάδης [korˈneːlius kastoriˈaðis][2]), né le 11 mars 1922 à Constantinople et mort le 26 décembre 1997 à Paris 7e[3], est un philosophe, économiste et psychanalyste grec, fondateur avec Claude Lefort du groupe Socialisme ou barbarie. Il consacra une grande partie de sa réflexion à la notion d'autonomie, comme disposition à faire être du nouveau, projet de société visant l'autonomie individuelle et collective, soit une démocratie « radicale », qu'il opposait à l'hétéronomie, constitutive selon lui des sociétés religieuses et traditionnelles, ainsi que des régimes matérialistes productivistes industriels, capitalistes et communistes. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et formation[modifier | modifier le code] En 1948[4], il devient économiste à l'OCDE, poste qu'il occupe jusqu'en 1970[14]. Socialisme ou barbarie (1949-1967)[modifier | modifier le code]

Association Présence de Gabriel Marcel Là où une philosophie orgueilleuse et aveugle prétend nous convaincre qu'il n'existe qu'un vide, un néant - il y a sans doute au contraire une plénitude de vie, les merveilleuses réserves d'un monde où fourmillent les promesses, où tout ce qui existe est appelé à l'universelle communion, où nulle possibilité, nulle chance ne peut être perdue sans recours. Toutefois, notre humaine structure est telle que cet immense consensus créateur ne peut être que par nous pressenti. Et il faut déclarer très fort qu'une philosophie qui, cédant aux complaisances de l'optimisme, refuse de faire sa place à la tentation du désespoir, méconnaît très dangereusement une donnée fondamentale de notre situation. G.M. A few pages are translated in the Bibliographie and Gabriel Marcel. « Un salon philosophique rue de Tournon au XXe siècle : les vendredis de Gabriel Marcel », conférence par Anne Mary, conservateur à la Bibliothèque nationale de France, avec les témoignages de Joël Bouëssée et Miklos Vetö.

L'institution imaginaire des normes sociales Le lien entre « normes sociales » et « processus cognitifs » nous invite à analyser d'une part le processus de construction de ces normes et d'autre part la représentation de leur champ de validité. Comment les normes sont-elles instituées et comment affectent-elles les individus qui discutent de leur pertinence ? Nous nous plaçons ici à un point de vue qui est celui des « normes idéelles sociales »et nous pouvons entendre le mot norme en deux sens. La norme désigne d'une part l'énonciation de lois qui définissent des droits et d'autre part la sanction implicite des mœurs et des règles. Nous essaierons d'abord de déterminer le rapport entre l'institution des normes sociales et la connaissance de ces normes, puis nous analyserons l'organisation des normes sociales. Théorie psychologique de Castoriadis Castoriadis se propose de rendre compte du processus de socialisation en tant qu'imposition de normes sociales à la psyché. Opposition psyché / société Les processus imitatifs Notes

L’ « Anthropologie structurale » de Claude Lévi-Strauss, entre universalisme et relativisme Le structuralisme, dès les années soixante du siècle dernier, et pendant quelques décades, a régné presque sans partage dans la culture européenne, et même au-delà. Si cet avatar du scientisme du dix-deuxième siècle a pu faire figure de nouveauté, il faut dresser un bilan, même limité, des acquis durables de la doctrine, concernant l’“anthropologie structurale”; notamment, depuis que le structuralisme a franchi le seuil de la mode et que l’on parle d’une ère post-structuraliste, le moment se prête davantage à une réflexion philosophique et critique. En effet, le panorama philosophique d’aujourd’hui diffère nécessairement de celui de la pensée dominante des dernières décades. On dirait même que le structuralisme a joui d’autant de faveurs que l’existentialisme ou la phénoménologie auparavant. A/ Au niveau de la méthode: B/ La pensée symbolique A/ Les différences se ressemblent: B/ L’exigence critique: C/ “Le regard éloigné” ou l’universellement humain:

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