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Le point sur PNB

Le point sur PNB
Mise à jour 2 octobre 2013 PNB est un projet interprofessionnel piloté par Dilicom et soutenu par le CNL (Centre national du Livre). PNB n'est pas une offre de livres numériques. PNB n'est pas un logiciel permettant de gérer le prêt ou la consultation en bibliothèque. PNB est un dispositif d'échange d'informations (données commerciales, métadonnées descriptives, juridiques et techniques, données de gestion : état des droits de consultation, statistiques…) entre éditeurs, libraires et bibliothèques, dont le but est de faciliter le développement d'offres de livres numériques pour les bibliothèques. Quel est le rôle de Dilicom ? Les distributeurs proposent-ils une offre commune aux bibliothèques ? Nombre d'utilisateurs simultanésDurée de mise à disposition de l'offreNombre d'emprunts autorisésDurée maximale d'empruntAccès in situ ou ex situStreaming ou téléchargement Comment la bibliothèque met-elle en œuvre PNB ? Les offres Le calendrier

PNB ou le livre numérique inabordable pour les bibliothèques SavoirsCom1 s’est associé à Actualitté pour vous proposer une infographie sur les coûts du programme Prêt Numérique en Bibliothèque qui est présenté comme la principale offre de livres numériques aux bibliothèques des collectivités territoriales. Notre collectif a déjà dénoncé ce projet qui impose des DRM aux lecteurs sous forme de fichier chronodégradables. Avec Actualitté, nous avons souhaité nous pencher sur la viabilité du modèle économique proposé, à l’heure où les collectivités voient leur budgets se réduire. La signature par le Ministère de la Culture et de la Communication et des représentants des bibliothèques et des collectivités territoriales d’une série de recommandations autour du livre numérique en bibliothèques nous semble être le moment de mettre en avant une faille majeure du styème proposé : son coût prohibitif. Nous nous associons à Lionel Maurel, membre fondateur de notre collectif :

"Les auteurs sont les grands perdants du prêt numérique de livres" L'avènement de l'offre Kindle Unlimited, l'abonnement proposé par Amazon à 10 € mensuels pour un catalogue de quelques centaines de milliers d'ebooks, a fait du bruit. Les éditeurs, comme les auteurs, n'ont pas manqué de réagir à l'émergence de ce nouvel acteur privé – et pas des moindres. Mais qu'en est-il du service public et du prêt de livres, face à un abonnement illimité, ou présenté comme tel ? Les bibliothèques sont-elles à la merci d'un concurrent déjà redouté par la chaîne du livre ? Lionel Dujol, secrétaire délégué au numérique de l'Association des Bibliothécaires de France nous répond. Le constat s'impose : des milliers et des milliers d'ouvrages en format numérique, disponibles chez Kindle Unlimited, cela ressemble à l'ogre et au petit poucet. « D'un côté, Amazon propose 20.000 titres numériques en français et prochainement 700.000 dans plusieurs langues. ActuaLitté CC BY SA 2.0 Les pouvoirs publics à la dérive Les auteurs, grand perdants, laissés dans le flou

Le livre numérique est mort : vive le livre numérique Ce matin, en ouvrant le journal, un avis de décès d’un genre un peu particulier a attiré notre attention. Bien sûr, en tant qu’éditeurs, nous sommes sensibles à ces questions et furetons régulièrement sur les sites d’informations. Mais nous ne nous attendions pas à un tel choc. « Toute l’industrie du livre — éditeurs, libraires, distributeurs, diffuseurs et services de fabrication, etc — est au regret de vous annoncer la mort du La cérémonie aura lieu en privé sur internet. Après avoir fait circuler l’article de mains en mains et avoir échangé quelques réflexions, la surprise est vite retombée. L’.EPUB était pourtant promis à une belle vie. À vrai dire, nous pouvons les comprendre. Alors ce qui devait arriver arriva : le format EPUB s’est lentement laissé dépérir. Car si l’on y réfléchit un instant, un ebook n’est rien d’autre qu’un mini-site web encapsulé pour être consulté en mode offline, rien de plus. Nous entendons d’ici les cris d’indignation. Pourquoi le livre-web ?

Apple and Amazon Lay Foundations for "Used" Digital Goods Stores Apple has filed a patent application for transferring "used" digital goods like MP3s, e-books and apps from one user to another, similar to a patent for a "secondary market for digital objects" awarded to Amazon just last month. The filing indicates that Apple may be thinking about setting up its own marketplace or lending library for the transfer of user-owned digital content — one that original content creators and owners could get behind. Both patents describe systems where a user could transfer a piece of digital content (i.e., an e-book or film) to another user in exchange for payment (or perhaps another item), not unlike Amazon's third-party marketplace for used physical goods. There are two big differences between Apple's and Amazon's systems. That's one of the problems with Amazon's used books marketplace: With so many books listed for a mere $0.01 (plus the cost of shipping), shoppers have little incentive to pay $10 or $12 for the original thing. And Apple's:

0130060616 Abstract Techniques are provided for managing access to a digital content item (such as an ebook, music, movie, software application) to be transferred from one user to another. The transferor is prevented from accessing the digital content item after the transfer occurs. The entity that sold the digital content item to the transferor enforces the access rights to the digital content item by storing data that establishes which user currently has access to the digital content item. After the change in access rights, only the transferee is allowed access to the digital content item. Related U.S. Claims 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. 22. 23. 24. 25. 26. 27. 28. 29. 30. Description [0001] This application claims the benefit as a Divisional of U.S. patent application Ser. [0002] This application is related to U.S. patent application Ser. [0005] For example, a user may purchase a digital book from an online digital book retailer. General Overview

Patente US8364595 - Secondary market for digital objects - Google Patentes By gaining access rights from owners, users may quickly and easily access a variety of digital objects, also known as content. These digital objects include images, electronic books “e-books,” audio recordings, video recordings, computer applications, and other forms of information transferable over a communication network such as the internet. As use of digital objects increases, users may wish to transfer the digital objects to other users. A secondary market which allows users to effectively and permissibly transfer “used” digital objects to others while maintaining scarcity is therefore desired. Overview As described above, digital objects (“objects”) may include images, e-books, audio recordings, video recordings, computer applications, and any other forms of information transferable over a communication network such as the Internet. This disclosure describes an electronic marketplace (“marketplace”) facilitating a secondary market for digital objects.

Accord entre Hachette et Amazon sur les ventes de livres aux Etats-Unis L'éditeur français et le site de vente en ligne américain ont enterré la hache de guerre après plusieurs mois de négociations tendues. C'est un bras de fer qui durait depuis plusieurs mois. Amazon et la filiale américaine d'Hachette ont annoncé jeudi 13 novembre avoir signé un accord sur les conditions de vente des livres de l'éditeur français sur le site américain du géant de la distribution en ligne. Lire nos explications pour tout comprendre du conflit entre Amazon et l'industrie du livre L'accord, dont les détails ne sont pas divulgués, court sur plusieurs années et porte sur les ventes tant de livres imprimés que sur leurs éditions électroniques, selon un communiqué commun des deux groupes. Aux termes de cet accord, Hachette conservera la maîtrise du prix de vente de ses œuvres, ce qui constituait un point clef des discussions, a souligné Arnaud Nourry, dirigeant de la division de Lagardère dédiée à l'édition.

» (Actualisation – Synthèse) Comment nos députés nous ont finalement bien rackettés pour le compte d’Amazon… Billet à jour au 15/07/2014 Synthèse Autant je peux comprendre à la limite (sans l’accepter) que, dans son état sinistré actuel, la presse ne comprenne rien à l’Ukraine, mais alors qu’elle ne comprenne rien non plus à une loi simple, cela devient très inquiétant… Alors, on va reprendre très simplement le sujet, qui n’a rien de compliqué… Quand on achète un livre dans une librairie, au prix éditeur de 20 €, on paie 3 choses : le livre (9 €) – payant l’auteur (2 €), l’éditeur, l’imprimeur et la TVAla diffusion et la livraison du livre dans la librairie (4 €)le libraire (7 €) – payant le local et les salaires Mais les livres ne sont pas vendus qu’en librairie – loin de là : On a 3 autres gros vecteurs de diffusion, à coûts internes décroissants : les grandes surfaces culturelles (FNAC…), les grandes surfaces généralistes (Carrefour), et Internet. Quand on arrive à de la vente par Internet, par exemple Amazon, on a environ ces coûts : Mais le législateur s’en est mêlé – hélas… La loi 2014-779 Avant :

La Hadopi rend son avis sur la lecture des Blu-ray par VLC Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Guénaël Pépin La Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) a rendu son avis, lundi 8 avril, sur la lecture des disques Blu-ray par le logiciel de lecture vidéo VideoLAN Client (VLC). La Haute Autorité, qui estime ne pas pouvoir imposer la fourniture les clés de chiffrement nécessaires à la lecture après cette saisine, recommande aux développeurs de passer par un règlement de différend. VLC est présent sur la majorité des systèmes d'exploitation (Windows, Mac OS, Linux, Android...) et il est capable de lire la majorité des fichiers multimédias. La loi impose aux mesures de protection de ne pas entraver la compatibilité avec les différents lecteurs. L'autorité, qui s'en tient à la loi, estime que "les titulaires de droits (...) ne peuvent subordonner la lecture autorisée d’un vidéogramme à l’emploi d’un lecteur particulier", même si les protections sont bien légitimes.

Pourquoi Amazon a réussi là où Sony a échoué LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Julie Battilana (professeure associée à la Harvard Business School) Les mille firmes les plus innovantes auraient investi plus de 600 milliards de dollars (469 milliards d'euros) en recherche et développement pour la seule année 2011, ce qui correspond à une augmentation de près de 10 % par rapport à l'année précédente, selon un rapport publié par Booz & Company en octobre 2012. Ces investissements massifs sont nécessaires pour assurer le développement de nouveaux produits et services, mais ils sont loin d'être suffisants. Les spécialistes de la stratégie n'ont de cesse de rappeler aux dirigeants d'entreprise qu'une bonne connaissance des besoins des consommateurs ainsi qu'une gestion efficace des processus d'innovation en interne sont deux conditions nécessaires à leur succès. Pourtant, les organisations qui remplissent ces critères ne sont pas toujours couronnées de lauriers.

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