10 conseils pour le manager de demain Meryel Le Saget
Sommaire Page 1. Changer sa conception du futur 3 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10.S’adapter en permanence 12 Changer sa conception du futur Nous avions l’habitude d’envisager l’avenir en fonction de notre expérience et des évolutions prévues : trouver un travail à la fin de ses études, se marier et avoir des enfants, monter dans la hiérarchie, améliorer son niveau de vie... L’entreprise de son côté faisait ses plans en fonction des réalisations précédentes et extrapolait le passé pour se fixer des objectifs. Dans cette incertitude, il faut néanmoins assurer la pérennité de son entreprise et prendre des décisions importantes qui engagent l’avenir. La planification traditionnelle est dépassée, parce qu’il se peut que la crise soit définitive et que l’on ne revienne plus jamais au monde que l’on a connu. La manager du futur consacre du temps à développer une vision, plutôt qu’un plan stratégique. La vision que l’on développe du futur n’est jamais complète. Equilibrer son style de management 1. 2.
Michelin réinvente son management et brise ses chaînes - Pneumatique
Ils sont une dizaine à se retrouver dans un bureau vitré au milieu de l’atelier. Ils parlent à tour de rôle, tournant les faces d’un kiosque sur lequel sont affichés des chiffres et des graphiques. Les salariés de l’îlot EPI 1 constatent un retard de production. La réunion est courte, son canevas rodé. L’usine Michelin de Blavozy (Haute-Loire) produit des pneus de génie civil. C’est l’un des six sites où est expérimenté depuis l’an passé le management autonome de la performance et du progrès (Mapp), la déclinaison façon Bibendum de l’entreprise libérée promue par Isaac Getz dans son livre "Liberté & Cie". Fini donc la relation manager-salarié sur le modèle "Je décide, il exécute". Visiter l’usine de Valladolid ? Loin de la Californie et des nationales enneigées du Massif Central, les autoroutes embrumées de la Sarre mènent à Hombourg, un autre site de production de Michelin. L’homme qui veut libérer le pneumaticien Associés au choix des machines Christophe Bys
Alors les bretons, heureux au travail ?
emploi Le cabinet rennais MoreHumanPartners a mené l’enquête sur le bonheur au travail dans l’Ouest. Les Bretons ne se portent pas si mal, en tout cas mieux qu’au niveau national ! NFM Publié le 08/04/2015 | 19:21, mis à jour le 08/04/2015 | 19:37 © France3Bretagne Un salarié d'une entreprise de métallurgie 6 mois d’enquête pour mesurer le bonheur du travail dans l’Ouest. A l’Ouest, on s’y sent mieux 97% des sondés en Bretagne considèrent que le bonheur et le travail sont compatibles. Les bretons heureux au travail Reportage M. Les pistes pour accroître le bonheur au travail En grande majorité, nous passons plus de temps au travail qu’avec la famille.
Travailler sans hiérarchie ? - Mieux Vivre
Ils sont quelques pionniers à expérimenter la fin du système pyramidal. Pour lutter contre la souffrance en entreprise, des patrons ont fait le pari de laisser plus d'autonomie à leurs équipes et de « libérer » leur créativité. Et ça marche ! La plupart n'ont pas de « parking réservé à la direction » ni de bureaux plus spacieux pour les cadres. Pas de performance sans bonheur Le leader désigné par le groupe est un ouvrier expérimenté. Ni titre ni organigramme En 2006, Carlos Verkaeren, P-DG des biscuiteries Poult, arrête l'usine de Montauban pendant deux jours et réunit les 800 salariés pour travailler sur leur vision de l'entreprise. En complément
Le pouvoir d’écouter
Écouter est plus puissant que d’avoir la réponse. Que l’on soit parent, leader, recruteur, chercheur, patron, consultant ou coach, savoir écouter s’impose comme un talent qui peut tout changer. Ce talent en or est au cœur de nombreux moments critiques de nos vies et des organisations. Bien écouter différencie ceux qui appliquent leurs solutions préconçues de ceux qui partent de l’autre pour connecter, évaluer, comprendre, innover et influencer. Et les occasions d’écouter ne manquent pas. Souvent galvaudée, l’écoute va au delà d’entendre l’autre et de lire ses signaux non verbaux. Montez en gamme. Il existe 4 niveaux d’écoute. 1- Écoute formelle S’attache au contenu du message.Est attentif et ne coupe pas la parole.Convient d’une entente sur le fond des messages.Dirige ses questions en fonction des informations données ou manquantes.Cherche à valider sa compréhension et ses informations. 2- Écoute active 3- Écoute empathique 4- Écoute métapositionnelle Ce que savent faire les bons écouteurs.
Les 4 piliers du management collaboratif
Face aux transformations techniques, les entreprises prennent progressivement conscience de l'inadaptation de certains modes de management, autrefois sources de performance. L'entrée dans le XXIème siècle aura été marquée par une accélération de l'évolution de notre société, que ce soit sur le plan économique, technologique ou social.Face à ces transformations, les entreprises prennent progressivement conscience de l'inadaptation de certains modes de management, autrefois sources de performance. Se posent alors de nouvelles questions :* Comment s'adapter à un environnement imprévisible et en permanente mutation ? Parce que plus de la même chose produit les mêmes effets… En réaction, bon nombre de dirigeants appliquent ce qu'ils ont appris, à savoir :* Réduire les coûts pour être plus attractif,* Limiter au maximum les risques pour éviter de se mettre en danger,* Renforcer le reporting et les contrôles pour se rassurer,* Augmenter et diversifier les projets pour accroitre la performance