Le jardin public partagé pour recréer du lien social
ier au parc des expositions de Bordeaux-Lac se tenait le 17e Salon d'automne d'Aquiflor du nom de l'association régionale d'horticulteurs et de pépiniéristes qui tient son marché de gros sur le site de Marché d'intérêt national (MIN) de Brienne. Elle est présidée par le Landais Michel Vauthier. Au-delà des producteurs, la manifestation a accueilli environ 1 500 visiteurs représentatifs de l'ensemble de la filière, mais également beaucoup de représentants des collectivités dont les espaces verts sont les clients. Or les espaces verts évoluent. Jardin au carré Le but, explique-t-elle, est de « créer des espaces publics partagés entre les habitants d'un quartier. La technique adoptée en ce lieu est celle du « jardin au carré », soit des petites parcelles de 1,20 m de côté, attribuées à une quinzaine de familles qui y cultivent ce qu'elles veulent, aussi bien des fleurs que des légumes : tomates, radis, mâche, épinard, choux-fleurs, choux- rave, salades.
Le potager sur le toit de la bibliothèque royale de Bruxelles - RTBF Jardins loisirs
M. Filippo Dattola, " Le Début des Haricots " ASBL Les 300 m2 de toit plat du la bibliothèque royale de Belgique ont été transformés en un potager grâce à l’ASBL " Le début des haricots ". Le principe : l’alimentation durable en ville : les légumes cultivés dans les espaces publics, sur les terrasses et balcons, sur les rebords de fenêtre et les toits plats. Au Québec et aux Etats-Unis, ce type de culture est très répandu. Le principe est de nourrir la ville dans des circuoits court, sans (ou peu) de transport, pas de chaîne de froid. Certaines cultures se déclinent en sacs de toiles synthétiques cousus par des couturières locales. Le compost est fabriqué également sur place pour enrichir le potager. Des nombreux bénévoles viennent prêter main forte pour l’entretien. Grâce à des subsides de la Ville de Bruxelles, un système de récupération d’eau de pluie a pu être mis en place. Dès l’entrée, la serre ne passe pas inaperçue. Bibliothèque royale de Belgique 1000 Bruxelles
L’autosuffisance agricole des villes, une vaine utopie ? - La vi
N’en déplaise aux architectes qui rêvent de potagers verticaux, aucune ville au monde n’est en mesure d’assurer son autosuffisance alimentaire en l’état actuel des savoir-faire de notre civilisation. En revanche, cette autosuffisance peut être imaginée à l’échelle d’une région urbaine impliquant au minimum sa périphérie rurale. On peut dès lors se demander quelle doit être l’échelle de cette région et dans quelle logique spatiale elle doit être comprise. De ce point de vue, les différentes fonctions que l’agriculture est appelée à remplir vis-à-vis de la ville ne relèvent pas du même type d’espace. L’approvisionnement alimentaire, inscrit de longue date dans une logique d’échanges commerciaux, relèverait plutôt d’un espace compris comme un réseau, alors que les fonctions environnementales ou paysagères, non délocalisables par nature, relèveraient davantage de ce que Roger Brunet appelle une aire dans sa typologie des chorèmes [1]. Quelles échelles pour l’autosuffisance alimentaire ?
Parcs et jardins
Montpellier, élue Capitale de la Biodiversité en 2011, s'engage dès cette année dans une démarche de labellisation de ses parcs. Le label EcoJardin, créé par Plante & Cité en partenariat avec des gestionnaires d'espaces verts, a vu le jour en avril 2012 après deux ans de réflexion. Dans un premier temps, la Ville de Montpellier souhaite obtenir ce label pour 3 de ses parcs; le Domaine de Méric, le parc Font-Colombe et le parc Georges Clemenceau.
Un jardin sur le toit pour une école new-yorkaise
USA / / Amérique du nord Une école primaire, située sur l’Upper West Side de New-York, cherche à créer un lien entre les élèves et la nature. Depuis deux ans, l’école subit des transformations majeures pour aller dans ce sens. Une école new-yorkaise souhaite installer un toit sur son jardin. ©Peter Blanchard (flickr) Les parents, les enseignants et le principal de l’école, Robin Sundick, souhaitaient créer de vrais espaces naturels dédiés aux enfants. Trois jardins aménagées En 2009, le comité de jardinage de l’école, composé de parents et d’enseignants, a rénové trois espaces autour du bâtiment de l’école. Les deux autres jardins sont plus petits et longent les murs de l’école. Les fruits et légumes que les enfants récoltent dans leurs jardins sont ensuite servis dans la cafétéria. Sur le toit, le projet prévoit des jardinières ainsi qu’un bac à compost. L’université Columbia s’en mêle C’est là qu’intervient l’université Columbia. Les dessins ont été soumis aux enseignants et aux parents.
Vauban, l'écoquartier du futur écologiquement exemplaire, mais socialement discutable
Photo : Alter-Echos Les façades en bois non traité se succèdent. Certaines sont bleues, d’autres marrons, blanches, jaunes ou rouges. La végétation est partout : dans la rue, au pied des immeubles, le long des murs, sur les balcons et jusqu’aux toits-terrasses, qu’elle partage avec les panneaux photovoltaïques. Au milieu de la rue libérée des voitures, on devine les contours d’une marelle. Des jardins publics alternent avec les zones bâties. Andreas Delleske vit dans ce quartier depuis dix ans. Photo : Passivhaus-Vauban En 1994, la Ville lance un concours d’architectes. 114 euros pour se chauffer et cuisiner Ces Baugruppen, ou « communautés de construction », sont initiés par des personnes désireuses de construire leur logement sans passer par un promoteur. Quand les maisons produisent de l’électricité L’ensemble des maisons passives du quartier, dotées de leur propre cogénérateur, ont reçu une dérogation de la Ville pour ne pas être reliées au système de chauffage central. Photo : Source
Les espaces verts réduiraient la mortalité dans les villes
ENVIRONNEMENT - Avis aux mairies. Implanter parcs, jardins et autres espaces verts dans une ville n'est pas qu'un fantasme d'urbaniste. Il s'agit en fait d'un véritable sujet de santé publique. Selon des chercheurs de l'Office américain des forêts, les arbres permettraient de limiter considérablement la pollution aux particules fines, causes d'inflammation pulmonaire, d'athérosclérose et de problèmes cardiaques. En clair, les arbres sauveraient des vies. L'étude, publiée dans la revue Environmental pollution, a consisté en un calcul du taux de particules fines sur plusieurs grandes villes des Etats-Unis. Lire aussi: » Moins de 300€ pour une maison dans un arbre » Les espaces verts augmenteraient le bien-être » Un arbre fluo pour remplacer les éclairages de rue La plus grosse diminution de particules fines ces dernières années a eu lieu à New York et à Atlanta, les villes avec le plus d'arbres. La répercussion sur la mortalité est elle aussi impressionnante.
MY LITTLE POTAGER Vente et installation de potager clé en main
Le plan d'actions Ville durable
Présenté en Conseil des ministres, le 22 octobre 2008, le plan Ville durable vise à favoriser l’émergence d’une nouvelle façon de concevoir, construire et gérer la ville. Le lancement du concours EcoQuartiers, le projet des EcoCités, l’appel à projets transports collectifs, sont les trois principales initiatives de ce plan. Les actions prioritaires du quatrième volet, le plan nature en ville, sont en cours de finalisation. Quatre actions pour une nouvelle façon de concevoir la ville 1/ À l’échelle du quartier, le Gouvernement a lancé, en octobre 2008, le premier appel à projets ÉcoQuartier afin de rassembler les projets de qualité au sein d’un club opérationnel, de les valoriser et de permettre la diffusion de bonnes pratiques.