anciens élèves Sambre-Marne-Yser Bienvenue sur ce site Ce site est l’oeuvre d’un particulier et est consacré aux opérations militaires qui se sont déroulées d’août à novembre 1914, dans la phase dite "guerre de mouvement". Les deux adversaires : Joffre et Moltke Collection privée L’histoire de la bataille des frontières, de la retraite à travers la Belgique et le Nord de la France et de la bataille de la Marne est l’exemple du redressement spectaculaire d’une situation presque compromise. L’Allemagne avait mis au point un plan longuement élaboré et théoriquement imparable pour battre rapidement l’armée française. Et pourtant, ce plan s’effondra au bout d’un mois après une série ininterrompue de succès, d’où l’on peut se poser les questions : A qui revient le mérite de la victoire de la Marne ? Après avoir présenté les causes qui ont déclenché la tragédie de la guerre de 1914 - 1918 et les deux plans, français et allemand, nous en verrons le déroulement au jour le jour, avec les succès et les échecs respectifs. Abréviations
La capitulation de Maubeuge Histoires 14-18 il y a cent ans 15 longs jours de bataille, le siège de Maubeuge restera le plus long de la Grande Guerre. La France y perdra plus de 4000 hommes tués et blessés, 32 000 seront faits prisonniers. Par Marianne Courtois Publié le 19/09/2014 | 12:08, mis à jour le 22/09/2014 | 10:14 © France 3 Retour sur «cette petite place sans importance » qui sera « une grosse épine dans le pied teuton» Nous sommes le 25 août 1914, l’avancée allemande en Belgique se poursuit, Namur vient de tomber, les Alliés se replient, les Allemands décident alors d’encercler Maubeuge. Le 27 août, plus de 40 000 soldats allemands encerclent la place. Première bataille majeur de la Grande Guerre sur le sol du Nord, le siège de Maubeuge aura quand même permis de tenir éloignées plusieurs divisions allemandes de la bataille de la Marne qui éclate le 5 septembre. Cet épisode de la collection de reportage " Histoires 14-18 il y a cent ans " est présenté par par Florence Mabille, de France 3 Nord Pas-de-Calais
La bataille de Cambrai (20 novembre - 4 décembre 1917) La « bataille de Cambrai », terme qui désigne l’attaque menée en novembre 1917 contre les défenses allemandes de la ligne Hindenburg, appartient à la litanie des offensives meurtrières et inutiles menées sur le front ouest. Cependant, elle est marquée, pour les deux camps, par des innovations tactiques importantes qui annoncent les méthodes de combat mises en œuvre en 1918 pour sortir de l’impasse stratégique dans laquelle est plongé le front ouest depuis l’automne 1914. La nouveauté la plus spectaculaire, c’est l’emploi, par les Britanniques, pour la première fois, des chars d’assaut comme élément décisif de la bataille. Le premier emploi des chars, par les Britanniques, en septembre 1916, dans le cadre de la bataille de la Somme, s’était révélé de faible utilité, passé l’effet de surprise initial. Le haut commandement allemand, d’ailleurs, n’avait pas tardé à exprimer son mépris pour une arme nouvelle, jugée sans avenir. Le plan d’attaque britannique conçu par le général J.
Images d'une guerre oubli e - En temps de guerre Dans la nuit du 26 au 27 septembre 1918, partout se faisait sentir la tension de l'attente. Il n'y eut pas de tir de barrage préliminaire; tout était calme. Dans les zones de rassemblement surpeuplées, l'infanterie était étroitement entassée avec l'artillerie et les mitrailleuses, qu'on avait fait avancer jusque là afin qu'elles soient prêtes pour une avance rapide. Redoutant toujours une riposte de l'artillerie allemande contre elles, dangereusement placées à cause de leur grand nombre, les troupes attendaient impatiemment l'heure H. La pluie commençait à tomber et la terre froide devenait boueuse et glissante, inconvénients qui s'ajoutaient aux difficultés auxquelles on s'attendait durant l'attaque prochaine. Le jour se levait, nuageux et sombre, mais la pluie avait cessé. Au cours des opérations de la 4e division, le 27 septembre, deux officiers subalternes avaient mérité la Croix de Victoria. Adapté et utilisé avec la permission de Nicholson, G.
Histoire postale du Nord-Les losanges Chiffrés La Feldpost allemande dans le Valenciennois 1914-1918. Un peu d'Histoire. Avant d'aborder le sujet de la poste militaire, il convient de relater les événements que connurent le Valenciennois de 1914 à 1918. AOUT 1914: Le 3 août: la guerre est déclarée. Les années 1915 et 1916 sont des années où le front occidental se consolide. L'Arrondissement de VALENCIENNES a été occupé successivement et/ou conjointement par 4 Armées allemandes, la 1ère (fin août 1914-mi octobre 1914), la 6ème (mi octobre 1914-30/09/1916), la 1ère (1er octobre 1916-20 avril 1917), le 2ème (20 avril 1917- septembre 1918) et enfin la 17ème (septembre 1918-3/11/1918).La 17ème armée installe son quartier général à ST AMAND le 1er février 1918. Pendant toute la durée de la guerre, le Valenciennois faisait partie de la zone des Etapes (Etappengebiet) immédiatement à l'arrière du front et avant la zone du Gouvernement Général en Belgique et le territoire allemand. Chaque armée avait sa zone d'étapes. Les timbres à date.
Un grand-oncle Résistant – Léon RUELLE En 2016, après avoir consulté la liste en ligne des 600 000 dossiers d’homologation FFI publiée par le Service Historique de la Défense (SHD), je découvrais que mon grand-oncle Léon RUELLE avait fait partie de la Résistance. Ma grand-mère, sa belle-sœur, m’avait confirmé qu’il s’agissait bien de lui. Elle et mon grand-père le savaient mais ils n’en avaient jamais parlé. J’avais donc fait une demande sur le Fil d’Ariane pour obtenir son dossier administratif et une vingtaine de jours plus tard, j’avais à ma disposition les photos des 30 pages du dossier. La famille de Léon Léon est né le 24/11/1921 à Landrecies, dans le Nord. Ses parents, Alphonse RUELLE et Marie Athénaïse DUBAIL, ont tous les deux divorcé en 1920 d’un premier mariage. Léon a aussi trois demi-frères issus des précédents mariages de ses parents, mais je ne suis pas sûre qu’il les ait connus. Il passe toute son enfance et son adolescence à Landrecies avec ses parents, sa sœur et son frère. L’engagement dans les FTP Sources