7 conseils pour rester positif au travail "Être positif, cela s'apprend, c'est un sport quotidien", affirme Christophe Benoît (1), formateur. Nous pouvons en effet choisir de créer du positif sans attendre qu'il vienne de l'extérieur (des situations ou des autres). Finalement, ce ne sont pas seulement les événements eux-mêmes qui comptent, mais la manière dont nous les vivons et dont nous les évaluons. Notre manière de penser, nos croyances influencent nos comportements, nos actions et donc le résultat de nos actions. 1. Identifier ses "saboteurs" mentaux Une grande partie de nos difficultés, d'après Shirzad Chamine, auteure de l'ouvrage "L'Intelligence positive" (2) vient de nos "saboteurs mentaux" qui nous envoient en permanence, sans que nous nous en rendions compte, des messages négatifs : "Je suis nul", "je n'y arriverai jamais", "c'est toujours sur moi que ça tombe", "je dois être parfait", "si je loupe ce contrat, je n'ai pas ma place dans l'entreprise"... "Chacun a ses 'saboteurs', analyse la consultante. 2. 3. 4. 5. 6.
Les effets d'une procédure d'engagement - Les Amphis de France 5 Les effets d'une procédure d'engagement Ce sujet sera abordé de deux façons complémentaires : - un film bref relatant une expérimentation qui met en jeu une procédure d'engagement. - un exposé qui analyse cette expérimentation, présente d'autres expérimentations sur le même thème et apporte des notions théoriques sur la psychologie d'engagement. Une procédure d'engagement, également appelée "pied dans la porte", permet d'obtenir un comportement d'une personne, en la conduisant à s'engager d'abord dans un comportement préparatoire, un petit acte "peu coûteux" qu'elle ne peut refuser. Cette expérimentation a été mise en scène avec :M. La ressource est diffusée sous licence Creative Commons
L'index de conscience : chacun son mode | l'Œil du Kolibri - Ressources pour managers et dirigeants Au quotidien dans l’entreprise, chacun peut observer une belle variété de comportements et d’approches – ce qui fait d’ailleurs la valeur ajoutée du coaching, approche hautement personnalisée. Voyons aujourd’hui comment une grille d’analyse comme l’ « index de conscience » nous permet de mieux comprendre et gérer ces différences. L’index de conscience, kesako Egalement appelé « index de computation », c’est une grille de lecture qui nous permet d’observer vers lequel de 3 modes une personne oriente sa conscience parmi : - le cognitif (je pense) – appelé Processus Interne (PI) - l’émotionnel (je sens) – appelé Etat Interne (EI) - le comportemental (j’agis) – appelé Comportement Externe (CE) Ces 3 modes fonctionnent ensemble. Exemples :Alice est une Directrice des opérations qui a besoin d’adhérer intellectuellement à une stratégie avant de se sentir en phase avec elle et de lancer des actions. Comment m’en servir avec mes équipes ? Chacun démarre préférentiellement avec un des 3 modes. 1.
Cinq lois à connaître pour être plus efficace au travail (saison 3) La vie, au travail comme à la maison, échappe à la logique mathématique. Mais il existe des lois empiriques, éprouvée par des scientifiques ou des praticiens qui devraient aider le manager à mieux gérer son temps, son énergie et son équipe. Après les lois exposées dans les saisons 1 et 2, en voici cinq autres dans notre saison 3, inspirées par des personnalités au parcours vivifiant. 1. Définition : "Réagir instantanément à l'évènement épuise". Etre sur le qui-vive conduit à gaspiller ses forces dans un cercle vicieux sans fin, la réactivité appelant la réactivité. >>>Prenez l'initiative de faire autrement en abandonnant l'idée d'agir ou réparer à l'identique. 2. Définition : "le passé, le présent et le futur s'enchevêtrent dans l'action". Selon sa théorie de la relativité, l'espace-temps est une seule entité. >>> Avant tout défi, posez-vous. 3. Définition : "Quand c'est urgent, c'est déjà trop tard" L'urgence est la somme des non anticipations antérieures. 4. >>> Prenez du recul. 5.
FICHE D'ARRÊT FACILE™ : Le guide complet pour faire la fiche d'arrêt parfaite en moins de 20 minutes Imagine 2 secondes lorsque tu annonceras à tes parents que tu auras réussi ton année. Ils seront si fiers de toi. Ils verront un si grand avenir pour toi. Quand tu l’annonceras à tes potes, ils seront jaloux de toi. « Il est quand même trop fort, il a réussi son année de droit ! « Comment il a fait ? Et puis cet été, tu pourras partir en vacances l’esprit tranquille. Tu pourras siroter un bon cocktail sur la plage, en profitant du soleil. Alors, si parfois t’as envie d’arrêter toutes tes études parce que c’est trop dur. Parce que les profs te mettent des mauvaises notes. Parce que t’as l’impression que les autres réussisses et pas toi. Arrêter tes études n’est pas la solution. La solution, c’est d’écouter ce que j’ai à te dire. Pour le prix d’un resto, tu vas enfin gagner du temps sur tes révisions et arrêter de mettre 2 jours à faire ton TD. En moins de 3 heures, tu sauras comment faire la fiche d’arrêt parfaite. Et surtout, ça te servira pour la suite de tes études. Tout est dans la formation.
Albert Mehrabian Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Albert Mehrabian , né en 1939 en Iran, actuellement professeur émérite de psychologie à l'Université de Californie (Los Angeles), est devenu célèbre pour ses publications sur la différence d'impact entre les messages verbaux et non verbaux. Ses résultats sur les messages contradictoires des sentiments et des attitudes ont été cités dans le monde entier, dans des conférences sur les communications humaines, et sont également connus sous le nom de « règle des 7 % - 38 % - 55 % ». La règle des 7 % - 38 % - 55 %[modifier | modifier le code] La « règle du 7 % - 38 % - 55 % », également appelée « règle des 3V » est basée sur deux études publiées en 1967[1] et signifie que : États d'esprit et congruence[modifier | modifier le code] Pour parler efficacement et significativement de nos émotions, ces 3 formes de communication doivent correspondre entre elles (on parle de « congruence»). Verbale : « Je n’ai pas de problème avec toi !
7 techniques pour être hyper productif, différemment Si vous êtes comme moi, il est probable que les techniques de productivité classiques ne fonctionnent que moyennement pour vous. Vous savez, groupez vos tâches et les traiter d’un coup. Utiliser un système pour se gérer soi-même. Ou encore créer une seule boîte mail pour tout gérer. 1/ Ne soyez pas un robot de la productivité Surfez plutôt sur les rythmes d’efficacité que l’on a tous. 2/ Oubliez votre to-do list Si vous commencez votre journée en écrivant tout ce que vous devriez normalement effectuer, vous n’êtes pas encore sorti d’affaire. Pour cartonner tous les jours, posez-vous la question : » Qu’est-ce que je pourrais faire aujourd’hui dont je serais immensément fier ? Et si, au lieu d’avoir besoin d’être poussé, vous vous concentriez simplement sur des activités qui vous excitent et qui ne sont pas dures à réaliser ? 3/ Essayez d’accomplir presque rien ! Ne commencez pas votre journée en pensant que vous devez tout accomplir. A la place, pensez minuscule. 4/ Changez votre approche
Conseils pour analyser une image Cette fiche méthodologique est proposée par Sciences Po, associé à OpenClassrooms, pour accompagner les lycéens vers le bac et les études supérieures. Nous publions progressivement neuf fiches e-methodo conçues par des enseignants de lycées et de Sciences Po : rédiger une dissertation, un commentaire de texte, prendre des notes, lire une carte, faire une recherche sur Internet, organiser son temps durant un examen ou un concours. Introduction Pourquoi analyser une image ? Parce que les images, quel que soit leur type, ont forcément quelque chose à nous apprendre. Ce message visuel a son propre langage, avec ses propres codes, et a toujours une ou plusieurs fonction(s) : communiquer, convaincre, persuader, critiquer, etc. Pour analyser une image, vous devez donc : Décrire objectivement (« ce que je vois »)Mettre en contexte (« ce que je sais »)Interpréter et critiquer (« ce que j’en déduis ») Décrire l’image Introduire le sujet Qui est l’auteur de l’image ? Voici ce que vous pourriez en dire :