la theorie d'unification semble avoir enfin été
Le calcul quantique à l'aube d'une révolution
Physicists Develop a New Method to Accelerate Charged Particles
More impetus for electrons: The charged particles fly from the source (left) via an optical glass grating to a detector (right). Red laser light is beamed from below through the optical grating. Evanescent light waves, which run parallel to the surface of the grating, break away from this beam at the grating. They accelerate electrons with a stronger electric field than the electric field in microwaves, currently used for this purpose. Credit: John Breuer Physicists at the Max Planck Institute have developed a new method that uses light to accelerate charged particles, leading the way for more compact particle accelerators. Modern particle accelerators measure up to several kilometers in size and cost billions of euros. Cost-effective, laboratory-scale particle accelerators measuring less than 10 meters would benefit the research community greatly. In order to be able to build more compact particle accelerators, the electric field driving the particles would have to be strengthened.
Voyage vers l'infiniment petit
Les particules qui existent dans la nature sont de deux types : fermions ou bosons. Le spin des fermions ne prend que des valeurs demi-entières : 1/2, 3/2, 5/2, et ainsi de suite. Les leptons (électron, muon, tau, et les trois neutrinos associés) et les quarks (up, down, charm, strange, top, bottom) en font partie, avec un spin 1/2. Les fermions obéissent au principe d'exclusion de Pauli : deux fermions ne peuvent pas occuper le même état. Le spin des bosons ne prend que des valeurs entières : 0, 1, 2, et ainsi de suite. Le fait d'obéir ou non au principe de Pauli est loin d'être trivial : on peut montrer, dans le cadre du formalisme de la théorie quantique des champs, que seules les particules de spin demi-entier y obéissent. Les symétries occupent une place privilégiée dans la physique des particules. Julius Wess (né en 1934), physicien allemand, professeur aux universités de Karlsruhe et Munich. Bruno Zumino (né en 1923), physicien italien, professeur à l'Université de Berkeley.
La Russie dans la course à l'ordinateur quantique
Le gouvernement russe prévoit d’injecter 50 milliards de roubles, soit environ 790 millions de dollars pendant cinq ans dans la recherche en informatique quantique, révèle Nature. De quoi emboîter le pas aux géants Google ou IBM, même s’il faudra plusieurs années au pays avant de rattraper ces mastodontes. Pourquoi c’est important. L’informatique quantique est vue comme le moyen de créer des réseaux de communication ultra-sécurisés, voire de briser les standards actuels de cryptographie. Recevez_ chaque matin un résumé de l'actualité envoyé d'une ville différente du monde. Cet article vous a plu? Vous pouvez soutenir le journalisme indépendant par un don du montant de votre choix. Faire un don
IBM commercialise son ordinateur quantique, une première
IBM cherche par tous les moyens à battre ses concurrents dans l’innovation de rupture. Il vient d’annoncer la mise à disposition d’un ordinateur quantique de 53 qubits. Seuls les clients d’IBM Q Network auront accès à ce service qui devrait entrer en fonction courant octobre. Pour l’instant, un ordinateur quantique comparé à un ordinateur classique, c’est un peu un éclair dans le ciel comparé à une ampoule basse consommation. "Les problèmes auxquels s’adresse l’informatique quantique sont spécifiques, souligne Olivier Hess, ce sont ceux qui concernent une explosion combinatoire, autrement dit un très important nombre de cas à traiter. IBM avait déjà présenté en janvier dernier au CES de Las Vegas un ordinateur quantique assez limité soi-disant commercialisable. IBM cherche par tous les moyens à battre ses concurrents dans l’innovation de rupture. IBM avait déjà présenté en janvier dernier au CES de Las Vegas un ordinateur quantique assez limité soi-disant commercialisable.
"Le boson de Higgs est un élément central du
Le journalisme s’interroge sur le traitement de la science
2020 aura été l’année de l’information de la santé. Sur les six derniers mois, la pandémie a occupé « 60 % de l’offre d’information globale du premier semestre », avec un total de 8 500 sujets diffusés dans les journaux des principales chaînes de télévision généraliste (TF1, France 2, France 3, Arte, M6…), selon une étude de La Revue des médias de l’Institut national de l’audiovisuel (Ina) présentée jeudi 1er octobre aux Assises du journalisme de Tours. En année ordinaire, la santé, davantage abordée dans un « format magazine », occupe 3,3 % du temps d’antenne de ces journaux télévisés. Jamais une épidémie, y compris le Sida, n’avait été autant traitée sur le petit écran. Au cours de cette période, les journalistes spécialistes de la science et de la santé sont montés en première ligne, et se sont souvent sentis tiraillés entre deux temps : celui, long, de la recherche et celui de l’urgence médiatique poussant à rendre compte de toute information concernant le virus. Place des experts
Calculateur quantique
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un calculateur quantique ou ordinateur[1] quantique repose sur des propriétés quantiques de la matière : superposition et intrication d'états quantiques. De petits calculateurs quantiques ont déjà été construits dès les années 1990 et la recherche progresse, bien que lentement, depuis. Ce domaine est soutenu financièrement par plusieurs organisations, entreprises ou gouvernements en raison de l'importance de l'enjeu : au moins un algorithme conçu pour utiliser un circuit quantique, l'algorithme de Shor, rendrait possible de nombreux calculs combinatoires[2] hors de portée d'un ordinateur classique en l'état actuel des connaissances. La possibilité de casser les méthodes cryptographiques classiques est souvent mise en avant. Intérêt des calculateurs quantiques[modifier | modifier le code] Selon l'empirique loi de Moore, la taille des transistors approchera celle de l'atome à l'horizon 2020. fois le nombre N de qubits.
Philippe Guillemant