Google supprime le mot "arnaque" de ses suggestions Google fait discrètement le ménage dans ses suggestions automatiques : taper le nom d'une entreprise ne fait plus apparaître le mot « arnaque ». Le moteur de recherche défendait jusqu'ici l'objectivité mathématique du système, mais il veut éviter une nouvelle condamnation. Contacté par Eco89, Google France a répondu par e-mail : « Google a temporairement suspendu l'affichage de certaines expressions utilisant le mot “arnaque” parmi les requêtes fréquentes apparaissant sur Google.fr, suite à une décision de justice dont Google a immédiatement fait appel. Nous demeurons convaincus que l'affichage automatique de requêtes fréquentes d'internautes est parfaitement légal. » Google condamné deux fois pour ses suggestions Google avait été condamné le 4 décembre par le tribunal de grande instance de Paris, pour avoir associé automatiquement le nom du Centre national privé de formation à distance (CNFDI) et « arnaque ». Google avait fait appel de cette décision.
Google introduces new 'Hummingbird' search algorithm Google Buzz, le cauchemar de la vie privée | slate Il y a les réseaux sociaux choisis et les réseaux sociaux subis. Google vient d'inventer la deuxième catégorie en lançant mardi 9 février Buzz. Le service a été proposé aux plus de 150 millions d'utilisateurs de la messagerie Gmail via une page lancée automatiquement qui ne laissait guère le choix de ne pas s'inscrire. Si cette méthode de recrutement au forceps permet de rivaliser rapidement avec le mastodonte Facebook et ses 400 millions d'utilisateurs, le calcul de Google n'est pas très judicieux sur le moyen et long terme. publicité Google est déjà obligé de faire volte-face. Google a visiblement sous-estimé la difficulté d'utiliser un réseau social ouvert au coeur même ce qu'il y a de plus privé sur Internet, la boîte mail. Google crée une page publique avec les statuts Il faut fouiner dans l'interface pour s'en rendre compte: Google Buzz crée automatiquement une page publique à votre nom. Inutile de préciser que cette page est destinée à être aspirée par les moteurs de recherche.
BigDataInvestmentsByIndustry Le Sénat étudie l'idée d'une taxe "Google" sur la pub BigDataOpportunityByIndustry Will Google stand up to France and Italy, too? | Rebecca MacKinn Google's stand against Chinese censorship and surveillance – triggered by suspicions that China had been trying to hack activists' accounts – will be rightly lauded by defenders of human rights. But when it comes to upholding Google's vow not to "do evil" by its users, China is by no means the company's only headache. Before those of us in western democracies get too high on our horses about Google and China, we should remember that the Chinese are not the only ones putting pressure on Google in ways that are arguably harmful to freedom of expression, even when intentions are honorable. A growing number of governments – many democratically elected – share an attitude that internet companies should be expected to act as "net nannies" for their citizens. In the past several years, internet censorship has spread rapidly throughout a range of political systems. In India, a law that went into effect last October holds domestic and international internet companies – including Yahoo!
priorityMatrixForBigData Google fait sauter le bouchon de la censure chinoise ! yeah ! Info énorme ce matin. Google qui était installé en Chine depuis janvier 2006 et qui s'était bien gentimment plié à toutes les exigences du gouvernement chinois, vient de retirer toutes les fonctionnalités de censure de son moteur. En gros maintenant, quand un Chinois recherche Tien An Men, il peut voir ceci (et tout un tas de choses que le gouvernement préfère passer sous silence) : Le chinois va kiffer Calogero, je le sens... Ça rigole pas et ça va mettre furax l'ami Hu Jintao ! Mais alors pourquoi Google fait il ça, au risque de perdre son autorisation "d'exister" en Chine ? De plus, le gouvernement de l'Empire du Milieu, suite à ce piratage, ne s'est pas privé pour fouiller a tenté d'accèder aux mails Gmail des Chinois à la recherche d'activistes anti-gouvernementaux. Je comprend donc que ça rende Google furax et surtout que ça leur fasse réviser leurs positions vis à vis de leur implantation en Chine. Cette histoire est dingue quand même... Qui d'autre le gouvernement Chinois a pillé ?