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Hugelkultur

Hugelkultur
Hugelkultur (HOO-gul-culture) meaning hill culture or hill mound. Instead of putting those branches, leaves and grass clippings in bags by the curbside...build a hugel bed. Simply mound logs, branches, leaves, grass clippings, straw, cardboard, petroleum-free newspaper, manure, compost or whatever other biomass you have available, top with soil and plant your veggies. The advantages of a hugel bed are many: The gradual decay of wood is a consistent source of long-term nutrients for the plants. Soil aeration increases as those branches and logs break down...meaning the bed will be no till, long term. The logs and branches act like a sponge. Sequester carbon into the soil. On a sod lawn Sepp Holzer (hugelkultur expert) recommends cutting out the sod, digging a 1 foot deep trench and filling the trench with logs and branches. Hugel and traditional bed comparison. Hugel bed in Ontario, Canada. Hugel bed in Ontario, Canada. Hugel beds covered in lettuces. www.richsoil.com/hugelkultur Resources:

hugelkultur: the ultimate raised garden beds raised garden bed hugelkultur after one month raised garden bed hugelkultur after one year raised garden bed hugelkultur after two years raised garden bed hugelkultur after twenty years It's a german word and some people can say it all german-ish. I learned this high-falootin word at my permaculture training. Hugelkultur is nothing more than making raised garden beds filled with rotten wood. I do think there are some considerations to keep in mind. Another thing to keep in mind is that wood is high in carbon and will consume nitrogen to do the compost thing. Pine and fir will have some levels of tanins in them, but I'm guessing that most of that will be gone when the wood has been dead for a few years. In the drawings at right, the artist is trying to show that while the wood decomposes and shrinks, the leaves, duff and accumulating organic matter from above will take it's place.

Lombric et Lombriculture La lombriculture est une culture qui consiste en un élevage intensif de vers de terre du genre Eisenia Foetida ou vers de fumier et Dendrobena Veneta. Ces vers sont spécifiques. Ce sont des épigés : ils vivent à la surface du sol et sont dévoreurs de matières organiques en décomposition. Ils mangent jusqu'à leur poids de nourriture par jour. Les températures situées entre 15°C et 25°C sont idéales pour rendre les vers efficaces dans leur travail. Ces mêmes vers sont d'excellents appâts pour la pêche en rivière. Un lombric peut engendrer jusqu'à 250 descendants par an. Le lombric n'a ni poumons ni branchies. Ces vers sont hermaphrodites : chaque individu est à la fois mâle et femelle ; mais il faut qu'ils soient deux pour échanger leurs cellules mâles et ainsi féconder leurs ovules. Après cet échange réciproque de semence, le clitellum va fabriquer des cocons qui enfermeront les ovules et les spermatozoïdes : c'est à ce moment-là qu'a lieu la fécondation.

La permaculture peut-elle nourrir les Français? Temps de lecture: 8 min La micro-ferme est adossée au château de La Bourdaisière, en Indre-et-Loire. Elle se situe à deux pas d'un potager conservatoire de la tomate, regroupant 650 variétés du fruit sur un peu moins d'un hectare. Pas de tracteur On trouve de tout chez cet ex-Parisien: des légumes, des plantes vivaces et comestibles, des arbres fruitiers. Dans cette «Ferme d'avenir», tout est étudié à la loupe, en amont. Et ça marche? «Nous explorons la possibilité pour des supermarchés du coin de vendre nos produits, repensant ainsi leur politique sans casser les prix d'achat aux producteurs.» Vive les vers de terre! Il s'inspire surtout des concepts de la permaculture. La permaculture formulée dans les années 1970 par les Australiens Bill Mollison et David Holmgren, mais encore confidentielle en France, ne se résume pas à des techniques de jardinage. «Dans la nature, poursuit le paysan, tout est relié (et) fonctionne en boucle, les déchets de l'un sont la ressource de l'autre.»

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