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Mémoire Master – 7 cas de e-réputation par B. Vever « Master Marketing Opérationnel International

Mémoire Master – 7 cas de e-réputation par B. Vever « Master Marketing Opérationnel International

La e-réputation en 10 points clés Nous le constatons tous les jours : la question de la e-réputation monte en puissance. Pas seulement sur le web, où tout le monde en parle, mais aussi et surtout dans les comités de direction. Pour beaucoup, c’est un réflexe de protection face aux attaques potentielles sur Internet. Dans un monde connecté et en conversation, c’est une préoccupation légitime. 1 – La e-réputation n’existe pas en soi. 2 – Travailler sur la e-réputation, c’est comprendre les ressorts de la réputation. 3 - La réputation, avec son sous ensemble de e-réputation, se gère comme un actif stratégique. 4 – Le diagnostic de e-réputation est un moment fondateur. 5 – La e-réputation se conçoit comme une démarche de progrès, au service de la stratégie d’entreprise. 6 – La e-réputation présente deux versants : risques/opportunités. 7 – Les collaborateurs, comme les dirigeants, sont vecteurs de réputation sur le web. 8 – La technologie n’est pas le facteur déterminant du marché de la e-réputation. Laurent Reynes

de l’intérêt des avis négatifs et de la critique De nombreux discours sur l’e-réputation se concentrent sur les commentaires/avis négatifs. Cette vision binaire parfois étonnante, négatif = mauvais, positif = ce que l’on cherche à atteindre, exclue souvent tout l’intérêt que ces commentaires jugés comme négatifs apportent à une organisation. Voyons rapidement pourquoi… Tout d’abord, il est important de rappeler que rien n’est négatif ou positif en soit, ce n’est qu’une question de perception. Au final, ces commentaires/avis qui peuvent paraitre négatifs et critiques sont (et on peut en débattre) une vraie valeur ajoutée pour une organisation. Un commentaire négatif permet de s’améliorer : ce n’est pas parce que vous avez pensé que votre produit ou votre campagne de communication auraient tel ou tel impact que cela va arriver. Mais aussi de se positionner face à une communauté (sociale) à laquelle il veut se rattacher ou s’opposer. Les avis négatifs sont en quelques sortes un critère de différenciation important pour une organisation.

Protection pénale de votre e-réputation Mercredi 24 Août 2011 08:12 Matthias GUILLOU Claudia Chemarin et Matthias Guillou, tous deux spécialistes en droit pénal des affaires, Associés chez DS Avocats préviennent des dangers liés à l'utilisation des nouvelles technologies. SI celles-ci peuvent être très utiles à l'entreprise, leur utilisation entraîne néanmoins des risques. Décryptage. Les réseaux sociaux apparaissent sans aucun doute comme une opportunité à saisir pour les entreprises, notamment en termes de marketing. Des infractions adaptées aux nouvelles technologies Les principales atteintes à la réputation de l’entreprise ont lieu à l’occasion de la publication de propos diffamants sur des blogs, des forums ou des pages de profils, lesquels sont ensuite repris de manière virale. Dans ces deux cas, la loi, prenant en compte la particularité des technologies numériques, offre des textes de répression adaptés. Parallèlement, les principales atteintes à l’e-réputation se font par la divulgation de propos diffamatoires.

Etudes - Les français parlent ils bien ou mal de leur entreprise sur les réseaux sociaux Hopscotch et Viavoice ont présenté hier les premiers résultats de l’ Observatoire « Salariés et Médias sociaux ». Quels sont les enjeux des employeurs face à l’utilisation massive par les salariés des réseaux sociaux ? Quel danger pour la réputation des entreprises et des utilisateurs de réseaux sociaux ? Quelle est la marge de manœuvre des entreprises pour sauvegarder au mieux leur e-reputation? Ils sont convaincus à 64% que les critiques des entreprises par leurs salariés seront de plus en plus répandues sur les réseaux sociaux. Selon l’étude, seulement 12% des salariés ont été sensibilisés par une charte ou un guide des usages des médias sociaux. Aujourd’hui, 2.5 millions de personnes (15% des salariés) dans le privé parlent de leur entreprise sur les réseaux sociaux. Caisse de résonnance positive pour l’e-réputation des entreprises, car plus des deux tiers (+67%) des salariés parlent positivement de leur entreprise sur les médias sociaux. Retrouvez ici l'intégralité de l'étude ici

Protection Juridique Par Un membre de WebRankInfo, Lundi 15 mars 2010 Si vous êtes victime d'une atteinte à votre réputation sur Internet, que devez-vous faire pour faire respecter vos droits ? Voici la réponse de Maitre Cahen, avocate à la Cour d'Appel de Paris. Un article de Me Murielle Cahen Bien qu'Internet soit indubitablement un accélérateur de progrès, il est également un des plus gros vecteurs de commission d'actes criminels. Rappelons préalablement que la réputation d'une personne sur Internet est constituée par l'ensemble des avis et des commentaires diffusés sur les réseaux numériques. La difficulté d'une approche juridique de ce type d'atteinte réside dans le fait que le droit ne lui reconnaît pas une protection à part entière. A titre d'exemple, si l'atteinte à la réputation est due à un abus de la liberté d'expression, il faudra se tourner vers la responsabilité civile ou vers la loi pénale. Alors comment se défaire d'une mauvaise réputation sur Internet ou sur les réseaux sociaux ?

L’é-reputation : les études se multiplient « CitizenTrend 20 avril 2010 par citizentrend A noter, la parution cette semaine de deux études sur l’e-reputation et les médias online en général. La première, réalisée par le GFII (Groupement Français de l’Industrie de l’Information) propose une large analyse autour du thème « e-réputation et identité numérique des organisations – Typologie des menaces et identification des modes de traitement applicables ». Cette étude de 67 pages propose des outils concrets pour analyser les menaces en termes d’image de marque sur Internet, comme une « fiche de relevé d’incident ». Srce : Digimind Le 19 avril, KPMG révélait son second baromètre « Media and Entertainment ». scre : KPMG Malgré cette croissance régulière, l’étude du cabinet de conseil fait part d’une méfiance persistante de la part des individus envers les contenus online. Encore une fois, cette étude démontre la faiblesse du "Tout en un", soit le seul développement des médias traditionnels ou, à l’inverse, des médias online. Like this: J'aime chargement…

Votre Marque est présente sur les médias sociaux, faites le savoir ! Vous avez décidé d’investir les médias sociaux pour gagner en visibilité, intéresser, attirer et séduire les meilleurs talents, c’est bien. Avec une stratégie et des objectifs, c’est mieux. Alors, qu’attendez-vous pour le faire savoir sur votre site Carrière ? Votre Stratégie Recrutement/Marque Employeur sur les médias sociaux Sur “Recrutement Médias Sociaux”, nous vous parlons souvent de Stratégie médias sociaux, tout simplement parce qu’elle est essentielle pour l’attractivité de votre Marque Employeur et l’efficacité de vos recrutements ! Je vais tenter aujourd’hui de vous la résumer dans ses grandes lignes ou plutôt sous forme de grandes questions à vous poser : Quel(s) objectifs poursuivez-vous sur les médias sociaux ? Les objectifs de votre stratégie médias sociaux Etre présent sur les médias sociaux vous permet bien entendu d’optimiser la visibilité de votre Marque Employeur et d’engager la conversation avec vos potentiels candidats cibles. ( Crédit Photo )

Les 5 piliers de l’E-réputation Le 22 Août 2009, dans l’un des premiers billets de ce blog, Amine avait rédigé le billet: l’E-réputation: Mode d’emploi où il expliquait à qui s’adressait l’e-réputation avec un schéma qui spécifie les processus de surveillance et de management qui en découlent. Aujourd’hui, je représente dans le schéma ci-dessous ma vision de l’e-réputation, qui à mon sens, s’appuie sur 5 piliers issus des processus de surveillance et de management. 1. 2. 3. 4. 5. Cette représentation de l’e-réputation s’applique, à mon avis, autant aux individus qu’aux entreprises. Et vous lecteurs fidèles de ce blog, blogueurs et professionnels dans le domaine, qu’est ce que vous en dites ? Like this: J'aime chargement…

E-Réput@tion et Recrutement 2.0 L'IDRAC est une école de commerce multi-campus présente à Amiens, Bordeaux, Grenoble, Lille, Lyon, Montpellier, Nantes, Nice, Paris et Toulouse. L'enregistrement est actuellement désactivé Qui est en ligne ? Aucun membre ne se trouve actuellement sur le site Membres actifs Entrez votre adresse email pour vous abonner à ce blog et recevoir une notification de chaque nouvel article par email. ©2016 Blogs IDRAC Aller à la barre d’outils Connexion 43 % des internautes ont déjà essayé de supprimer des informations personnelles C'est une évidence, l'apparition des réseaux sociaux a modifié en profondeur les pratiques de nombreux internautes. Si autrefois ces derniers n'étaient pas disposés à diffuser des informations personnelles en ligne, ils sont aujourd'hui une majorité à accepter de le faire raisonnablement. C'est ce que révèle une étude (.pdf) menée en septembre par l'institut Ifop auprès de 2 015 internautes. Au-delà du succès des sites communautaires (78 % des internautes français ont indiqué être inscrits sur au moins un réseau social), l'enquête menée par l'Ifop met surtout en lumière la relation qu'entretiennent les internautes français avec le principe de la protection des données personnelles. Car en effet, la diffusion d'informations personnelles engendre certains défis, notamment au niveau du droit à l'oubli. Ainsi, on découvre que la majorité des internautes inscrits sur au moins un réseau social accepte de diffuser sa date de naissance (72 %), son nom de famille (71 %) ou une photo (58 %).

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