Le latin est une langue vivante ! Lingua latina viva est! - Le blog de C. Bacon On entend toujours que le latin est une langue morte, et c'est un argument de plus pour ceux qui essaient de l'enterrer définitivement... Mais le latin est bien une langue vivante, comme le prouvent les nombreuses ressources que vous trouverez ci-dessous. Beaucoup sont sous-titrées ou commentées en anglais car il est vrai que cette pratique du latin comme une langue vivante est bien plus présente outre-atlantique, comme vous pouvez le voir en visionnant un des nombreux discours en latin prononcés à Oxford ou Harvard. Pour le grec ancien, je vous invite à aller consulter cet autre article : Discours en latin d'une étudiante à Harvard en 2013 Un des nombreux sites sur le latin vivant recensés sur pearltree ( Un article sur le latin Un journal en latin Pour chanter en latin Mangez latin !
Ulysse, héros immortel Alors que naissent, et meurent, chaque jour des héros qui nourrissent l’imaginaire de nos enfants, depuis les mangas jusqu’aux romans de fantaisie en passant par tous les jeux virtuels possibles, la traversée des temps et des espaces réalisée par les héros de la mythologie grecque laisse à penser. Oui, Ulysse, par exemple, reste une figure marquante pour les plus jeunes. Preuve en est les récentes publications qui ont le mérite d’être destinées à la jeunesse, mais de charmer aussi les plus avertis. Ulysse aux mille ruses, Yvan Pommaux Yvan Pommaux est bien connu de ceux qui fréquentent les livres pour la jeunesse. Dès la première de couverture, Yvan Pommaux rend à Homère ce qui appartient à Homère en précisant que son album est redevable de l’Odyssée. La suite de l’album nous fait glisser dans un autre monde, celui de l’Odyssée, sur laquelle s’appuient les textes, de manière très claire, sans être simplistes. que l’on comparera à la traduction de Philippe Jaccottet : Notes du texte
Suetone : Néron et la musique. Le commentaire a été réalisé par Marie-Christine Gautronneau, Lycées EDEN et FA à Nantes. XX. Inter ceteras disciplinas pueritiae tempore imbutus et musica, statim ut imperium adeptus est, Terpnum citharoedum vigentem tunc praeter alios arcessiit diebusque continuis post cenam canenti in multam noctem assidens paulatim et ipse meditari exercerique coepit neque eorum quicquam omittere, quae generis ejus artifices vel conservandae vocis causa vel augendae factitarent; sed et plumbeam chartam supinus pectore sustinere et clystere vomituque purgari et abstinere pomis cibisque officientibus; donec blandiente profectu, quamquam exiguae vocis et fuscae, prodire in scaenam concupiit, subinde inter familiares Graecum proverbium jactans occultae musicae nullum esse respectum. Et prodit Neapoli primum ac ne concusso quidem repente motu terrae theatro ante cantare destitit, quam incohatum absolveret nomon. La musique était un des enseignements dont on avait imbu son enfance.
Cicéron et ses amis, de Gaston Boissier Ceux qui ont lu la correspondance de Cicéron avec Atticus, et qui savent quelle place les questions d'argent tiennent dans ces confidences intimes, ne seront pas surpris que je commence l'étude de sa vie privée en cherchant à me rendre compte de l'état de sa fortune. La richesse était une des plus grandes préoccupations des gens d'alors, comme de ceux d'aujourd'hui, et c'est par là peut-être que ces deux époques, qu'on a pris tant de fois plaisir à comparer, se ressemblent le plus. Il faudrait avoir conservé les registres d'Eros, l'intendant de Cicéron, pour pouvoir dresser d'une manière exacte le budget de son ménage. Tout ce que nous savons avec certitude à ce sujet, c'est que son père ne lui avait laissé qu'une fortune très médiocre, et qu'il l'augmenta beaucoup, sans pouvoir dire précisément à quelle somme elle s'élevait. De quelle façon l'avait-il gagnée ? C'est donc ailleurs qu'il faut chercher l'origine de sa fortune. Cette fortune se composait de biens de diverses sortes.
Langues et Cultures de l'Antiquité : Actualités & références classiques Virgile : le présage et le rêve Les Romains nourrissaient des préoccupations continuelles concernant leur avenir, tant collectif qu'individuel et on sait l'importance qu'ils attachaient aux diverses formes de divination. Cette pratique repose sur quelques idées fondamentales : L'univers est parcouru de connexions secrètes et symboliques; les débusquer peut mener à la connaissance de l'avenir (1). Ces révélations peuvent avoir un caractère conditionnel (si tu fais ceci, tu échoueras) (2). Les dieux connaissent l'avenir -au moins partiellement et à des degrés divers (3) - peuvent communiquer aux hommes des informations à ce sujet; le moyen le plus direct est l'oracle (c'est le dieu qui parle), mais il en est d'autres. Les dieux transmettent souvent leurs informations (ou leurs avertissements) aux hommes par des signes. Ces signes sont interprétables, mais cette interprétation peut être problématique; parfois, elle nécessite l'intervention d'un spécialiste. (6) voir annexe ci-après 1, 353 - 359 : Didon rêve.
"NAVIGARE NECESSE EST" - Antiquité, textes, photos, liens,carnets de voyages, sites archéologiques, traductions du latin, commentaires,pédagogie. L'Art d'aimer d'Ovide - Livre II Chantez, chantez deux fois : Io Paean !, la proie que je poursuivais est tombée dans mes filets. Que l'amant joyeux couronne mon front d'un vert laurier, et m'élève au-dessus du vieillard d'Ascra et de l'aveugle de Méonie. Tel le fils de Priam, fuyant à toutes voiles la belliqueuse Amyclée, entraînait l'épouse de son hôte ; tel aussi, ô Hippodamie, Pélops, sur son char vainqueur, t'emmenait loin de ta patrie. Jeune homme, pourquoi te hâtes-tu si fort ? ta nef vogue en pleine mer, et le port où je te conduis est loin encore. Reine de Cythère, et toi, son fils, si jamais vous me fûtes favorables, c'est aujourd'hui surtout que je vous invoque ! Minos n'avait rien négligé pour s'opposer à la fuite de son hôte ; mais celui-ci osa, avec des ailes, se frayer une route. Souvent le malheur éveille l'industrie. Non loin de là s'élevait une colline, moins haute qu'une montagne, mais qui pourtant dominait la plaine. L'amour est une image de la guerre.
Bucoliques, I Cette page n'est pas chargée correctement.Veuillez suivre le lien suivant, qui vous mènera à l'entrée de notre site.Vous retrouverez cette page dans la rubrique Terminale Cette Bucolique a eu un grand succès en 2004: une première traduction-commentaire d'Eleutheria, corroborée par un deuxième commentaire de Chantal Osorio; v. 1 - 30 suivie du complément v. 27- 39, de Hubert Steiner, en 2006, avec la poursuite de 40 à 58 par Chantal Osorio en traduction-commentaire dès 2004. Qui parachèvera ce MONSTRUM, avec les vers 59 à 83? (envoyez-nous votre production, en respectant si possible la présentation des vers 27 à 39, sinon à votre choix! Eleutheria: Steinerus cor. sequens Goelzer, in collection Budé, complevitque fratribus equitibus:Osorio commentavit infra Bucoliques, I Le texte latin (1 - 83) MeliboeusTityre, tu patulae recubans sub tegmine fagi,silvestrem tenui musam meditaris avena.Nos patriae finis et dulcia linquimus arva ;nos patriam fugimus. Scansion, 1 - 58 :
GRASP Method for Acquiring Latin Paedagogica Index GRASP Preface GRASP Handout Go to a sample GRASP text. GRASP stands for GRadual Aggregative Syntactic Praxis. GRASP is a pedagogical method that presents the parts of sentences bit-by-bit, with variety and incremental complexity, to help learners attain the ability to grasp the original text in the order in which it was written, with immediate comprehension. It can be applied to any text, but it is especially helpful when applied to texts of syntactical complexity. GRASP is based upon the insight of some SLA (Second-Language Acquisition) theory that claims that solid language acquisition depends upon a proportionately great quantity of comprehensible input and upon the learners' growing abilities to interpret that input. GRASP works from small units toward the entire utterance, in effect providing some small part of the vast linguistic "background experience" or "archive" that native speakers of the target language would have had to help them interpret utterances.
Lire le latin avec la méthode Hale (1887) La méthode de William Hale a été rendue disponible par le travail d’un groupe autour d’Yves Ouvrard auquel la communauté des latinistes doit déjà beaucoup et qui a repéré en cherchant comment on enseignait le latin dans d’autres pays, le travail de Hale, professeur de latin à l’université Cornell qui avait édité une conférence intitulée “L’art de lire le latin”. Cette brochure est maintenant traduite et disponible en ligne. Nous sommes donc aux USA à la fin du 19e siècle et, comme nous l’avons vu dans un précédent billet, le latin est à l’époque la langue la plus enseignée dans le secondaire : Hale reçoit en première année d’université des étudiants qui ont derrière eux de nombreuses années d’enseignement traditionnel du latin pendant leur secondaire. Hale présente le détail de l’analyse du texte suivant de Tite-Live : Tarquinium moribundum cum qui circa erant excepissent, illos fugientes lictores comprehendunt. Je reprends : « A présent, qu’est-ce que tout cela nous apprend ?
Langues anciennes en action: présentation de la méthode audio-orale (à partir de la 5e) | Arelabor Présentation du projet Langues anciennes en action Téléchargez ici le fichier complet avec les imagesPrésentation du projet Langues anciennes en action I. Le contexte de la mise en place de l’emploi actif du latin en classe de cinquième Nous notons chez les cinquièmes des difficultés importantes en grammaire qui risquent d’entraîner un décrochage et un certain dégoût envers le travail sur le texte, si celui-ci se limite à de la traduction même « caviardée ». Les élèves ont besoin de comprendre la grammaire, et ne pas traiter ces difficultés n’est pas une solution. II. La Méthode Fiévet est une méthode d’enseignement de la langue latine pratiquée à l’Université de Pau et des Pays de l’Adour, basée sur la compréhension de textes d’enseignants, lus en TD, relus, paraphrasés à l’aide de connaissances antérieures. III. Toutes les activités présentées dans ce point ont été réalisées en classe avec des élèves et ont atteint leurs objectifs. A. Exemple 1 : I, 1 Première séquence Ego sum Tu es IV. B.
How to Write a Love Letter in Latin Posted on 11. Jun, 2014 by Brittany Britanniae in Latin Language Whether you are writing a love letter to a old or new romance, it is always a good idea to “spice” up the normal, same, banal content with something unique to make your significant other feel special. Why not add a little Latin? This post is dedicated to add some Latin to your love life in a love letter (Epistula Amoris). Archetypal lovers Romeo and Juliet portrayed by Frank Dicksee. It is often said that French is the Language of Love, but before there was even a French Language- It was Latin. Latin Love poetry is some of the most refined and beautiful pieces ever. Love’s Messenger by Marie Spartali Stillman. You are the most beautiful woman I have ever seen You have not seen me yet but love is trust. Te caeteris feminis quas cognoui pulchriorem esse censeo. Dearest ______, carissima (female subject)____________, carissime (male subject)_________________, Te amo “I love you” Nunc scio quid sit amor “Now I know what love is”