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Réinventer un rapport au temps, par Bernard Stiegler

Réinventer un rapport au temps, par Bernard Stiegler
Bureau de Bernard Stiegler, Épineuil-le-Fleuriel, 28 juillet 2013, cliché Dom Lacroix Ce texte fait suite à la 1ère partie (Séquences vidéo 1 et 2) : Le blues du Net (Séquence vidéo 3) Est-ce que l’Europe, aujourd’hui, a les moyens de faire une proposition au monde, et de quel type pourrait être cette proposition ? Bernard Stiegler : Elle en a évidemment les moyens intellectuels comme je l’ai dit tout à l’heure, et elle en a les moyens financiers, tout aussi bien qu’infrastructurels (très bien équipée, elle met pour le moment ces équipements surtout au service du développement de l’économie californienne), mais elle doit impérativement s’en donner les moyens politiques et organisationnels : elle en a l’obligation vitale. L’avenir de l’Europe est aujourd’hui extraordinairement menacé. Bernard Stiegler, Épineuil-le-Fleuriel28 juillet 2013, cliché Dom Lacroix C’est Thalès qui a constitué la première communauté peer to peer au 7e siècle avant J-C. La plateforme Digital studies de l’IRI NB. Related:  Informatique / numériqueRessources documentaires

Pensée computationnelle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La pensée computationnelle s'intéresse à la résolution de problèmes, à la conception de systèmes ou même à la compréhension des comportements humains en s'appuyant sur les concepts fondamentaux de l'informatique théorique[1]. Postulée par Seymour Papert en 1996[2], la pensée computationnelle est le processus réflexif impliqué dans la formulation de problèmes et de leurs solutions de manière à ce que leur résolution puisse être effectuée par un agent de traitement de l'information[3]. Description[modifier | modifier le code] À une micro-échelle, la pensée computationnelle pourrait être assimilée à l'acte de programmer mais cette conception serait trop étroite, réduisant celle-ci à l'idée de maîtriser un langage de programmation ou un autre. Attributs[modifier | modifier le code] La pensée computationnelle se distingue des autres processus réflexifs par certains attributs inter-reliés qui lui sont propres : Historique[modifier | modifier le code]

La co-éducation intergénérationnelle, monde réel et éducation traditionnelle La co-éducation intergénérationnelle : Rendre complémentaires le monde réel et l’éducation traditionnelle. Par Joël de Rosnay Pour Educavox L’éducation est au centre de toutes les stratégies de construction de l’avenir. C’est un enjeu mondial, un des grands défis du troisième millénaire, un processus primordial de survie, d’adaptation et d’évolution de l’espèce humaine que l’homme va devoir conduire dans le respect des diversités et des libertés. Sans éducation, il ne peut y avoir de participation consciente et responsable à la gouvernance des sociétés de demain. Une connaissance émiettée conduit à une éducation fragmentée. Le traitement arbitraire du savoir en territoires distincts favorise un processus d’éducation taylorien. Le changement de paradigme que nous vivons (de l’analytique au systémique) appelle d’autres modes d’éducation. Le sénior peut ainsi devenir un médiateur, un catalyseur, un animateur. Il leur manque pourtant la carte et le territoire. Joël DE ROSNAY

Mind Mapping Software - Create Mind Maps online Heuristique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom. Sur les autres projets Wikimedia : heuristique, sur le Wiktionnaire L'heuristique (du grec ancien εὑρίσκω, eurisko, « je trouve »[1]), parfois orthographiée euristique, est un terme de didactique qui signifie « l'art d'inventer, de faire des découvertes »[2]. Voir aussi[modifier | modifier le code] Sérendipité Notes et références[modifier | modifier le code]

Enfants et écrans : psychologie et cognition L’Académie des sciences vient de publier un rapport (.pdf) sur la relation des enfants aux écrans (disponible également sous la forme de livre aux éditions Le Pommier), un rapport qui tord le cou à nombre d’idées reçues sur le sujet et fait le point sur les connaissances scientifiques, éducatives et neurobiologiques. Comme le précisait Jean-François Bach, secrétaire perpétuel de l’Académie des Sciences lors de la présentation publique du rapport, l’Académie a souhaité éclaircir les bases scientifiques de nos usages excessifs des écrans (voir les vidéos des présentations). Un rapport qui a voulu insister pas seulement sur les effets délétères des écrans – des effets qui existent, qui influent par exemple sur le temps de sommeil, l’attention, mais de manière plus rare qu’on a tendance à le penser – mais surtout sur les effets positifs de notre exposition aux écrans et notamment de l’exposition des plus jeunes aux écrans. A l’inverse, chaque culture apporte également son lot d’avantages.

Formes et enjeux de la collaboration numérique Des DOI (Digital Object Identifier) sont automatiquement ajoutés aux références par Bilbo, l'outil d'annotation bibliographique d'OpenEdition.Les utilisateurs des institutions abonnées à l'un des programmes freemium d'OpenEdition peuvent télécharger les références bibliographiques pour lesquelles Bilbo a trouvé un DOI. Le service d'export bibliographique est disponible pour les institutions qui ont souscrit à un des programmes freemium d'OpenEdition.Si vous souhaitez que votre institution souscrive à l'un des programmes freemium d'OpenEdition et bénéficie de ses services, écrivez à : access@openedition.org. BORZEIX A. et COCHOY, F., 2008, « Travail et théorie de l'activité : vers des workspace studies ? », Sociologie du travail, 50 (3), pp. 273-286.DOI : 10.1016/j.soctra.2008.06.001 BRUNS, A., 2008, Blogs, Wikipedia, Second Life, and Beyond. CARDON, D., 2008, « Le design de la visibilité : un essai de cartographie du web 2.0 », Réseaux no. 152, pp. 93-137. GIBSON, J. JARZABLOWSKI, P.

Google appelé à respecter le "droit à l’oubli" : une décision à risque 01net le 14/05/14 à 15h51 La décision rendue hier par la Cour de justice européenne met de l’huile sur le feu entre l’Europe et les géants du Net. Alors que les ministres français de l'Economie et du Numérique, Arnaud Montebourg et Axelle Lemaire, saluent la décision de la CJUE, des services internet américains et des organismes de défense de la liberté d'expression, ont exprimé leurs inquiétudes. Dans cette affaire qui, rappelons-le opposait Google à un internaute espagnol qui demandait la suppression de son nom des moteurs de recherche, la justice européenne a tranché en déboutant le géant américain. À la différence de l’affaire Mosley, du nom de l’ancien patron de la Fédération international de l’automobile qui demandait la suppression d’images très intimes prises et diffusées sans son consentement, les informations concernant le plaignant espagnol, Costeja González, ne sont ni fausses, ni publiées sans son accord. En 2013, la Cnil espagnole avait même rejeté la demande de M.

Où va l’économie numérique ? Robotisation ou monopolisation "C'est peut-être difficile à croire, mais avant la fin de ce siècle, 70 % des emplois d'aujourd'hui sera remplacé par l'automatisation. Oui, cher lecteur, même votre travail vous sera enlevé par des machines. En d'autres termes, votre remplacement par un robot n'est qu'une question de temps", affirme Kevin Kelly (@kevin2kelly) dans un passionnant article pour Wired intitulé : "meilleurs que les humains : pourquoi les robots vont (et doivent) prendre votre job". Votre remplacement par un robot n'est qu'une question de temps ! Ce bouleversement est induit par une deuxième vague dans l'automatisation, estime Kevin Kelly : une vague centrée sur la cognition artificielle, les capteurs bon marché, l'apprentissage automatique et l'intelligence distribuée. Après avoir remplacé les travailleurs à la chaîne, les robots vont remplacer les travailleurs dans les entrepôts. Alors que les robots ne vont cesser d'être intégrés aux tâches manuelles, ils vont également affecter le travail en col blanc.

MOOC et e-learning, quelles différences ? La semaine passée, une internaute a adressé une question à Thot sur Twitter : "Quelle différence entre MOOCs et e-learning ?" "Difficile de répondre en 140 caractères..." a répondu notre community manager... Voici donc la réponse, un peu plus longue. Au sens strict du terme, le MOOC est une des modalités de l'e-learning. Mais cette réponse n'épuise pas le sujet. E-learning, e-learning et e-learning Très schématiquement, on range dans la catégorie "e-learning" trois objets / dispositifs distincts : - Le cours en ligne fermé, distribué par un organisme de formation ou un établissement d'enseignement, destiné à un groupe d'apprenants régulièrement inscrits et ayant donc acquitté des droits d'inscription, distribué sur une plateforme (Learning Management System ou LMS), dispensé seul ou dans le cadre d'un parcours de formation, diplômant ou pas. Exemples : La formation à distance à l'Université Laval (Québec) : Massifs, et ça change tout

BitTorrent (protocole) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. BitTorrent est un protocole de transfert de données pair à pair (P2P) à travers un réseau informatique. Le protocole a été conçu en et mis en place à l'été 2002 par le programmeur Bram Cohen[1], et est maintenu depuis 2004[2] par la société BitTorrent Inc[3]. Le protocole BitTorrent part du constat suivant : Dans cette animation, les barres colorées sous les clients représentent des pièces ou blocs individuel du fichier distribué. Après le transfert originel depuis le « seeder », les pièces sont individuellement transférées de poste à poste (de client à client). L'apparition de BitTorrent a par exemple permis la mise à disposition de distributions GNU/Linux complètes sur DVD en lieu et place des téléchargements de simples CD. Les techniques utilisées sont : le téléchargement poste à poste depuis différents « pairs » (peer) pour un même fichier (technique dite multisourcing) et le morcellement du fichier en blocs qui le permet. Exceptions :

Avons-nous vraiment envie de devenir la Silicon Valley C’est un petit pays que vous visitez en voiture. D’abord un long boulevard à trois voies, bordé de grands arbres – pins, palmiers, eucalyptus - qui cachent les maisons s’éparpillant à distance les unes des autres. De magnifiques maisons (les styles à la mode en ce moment : Château de la Loire et villa méditerranéenne), des maisons qui valent des millions, que leurs propriétaires dissimulent derrière des murs de briques et de petites forêts. Votre guide vous dit : "Ici, ce sont les Champs Elysées". Mais vous ne voyez personne sur ces Champs Elysées, à l’exception des rares voitures. D’ailleurs, précise votre guide, il y a 5 ans, il n’y avait pas grand-chose ici. Vous passez devant une école. Il suffit de tourner, d’emprunter la rue marchande de la ville, de passer la voie ferrée pour arriver dans un quartier semi-industriel où il n’y a plus aucun arbre. Maitres et serviteurs. Ce petit pays, ce n’est pas la Grèce, ni le Portugal. Pourquoi ? Xavier de la Porte

Qu’est-ce que nos internets ont en commun Dans le prolongement de l'excellent Mainstream (2010), une passionnante enquête sur le fonctionnement et l'évolution des industries culturelles à travers le monde, le journaliste et sociologue Frédéric Martel (Wikipédia, @martelf), producteur de Soft Power sur France Culture, vient de publier Smart, enquête sur les internets. Et ce livre est tout aussi passionnant que le premier. Il est passionnant parce que Martel, en nous emmenant avec lui de la Silicon Valley à Shenzhen, de Soweto à Mexico, de Bangalore à Skolkovo, de Tel-Aviv à Beyrouth, Le Caire ou Gaza... fait quelque chose que la meilleure utilisation des services web ne parviendra jamais à faire… Il les matérialise ! Internet, moteur de diversité ? Le voyage auquel nous invite Frédéric Martel est passionnant parce que la thèse qu'il défend l'est tout autant... Certes, "tous les comptes Facebook sont différents : chaque individu y a ses propres amis, y discute dans sa langue et aucune page Facebook ne ressemble à une autre."

Bram Cohen Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Cohen. Bram Cohen en 2006 Biographie[modifier | modifier le code] Cohen a grandi à Manhattan. Durant l'été 2002, Cohen collectionne des images pornographiques pour allécher les bêta testeurs du programme[réf. nécessaire]. Fin 2003, Cohen a rejoint Valve Software pour travailler sur Steam, le système distribué numérique introduit dans Half-Life 2. Fin 2005, Cohen passe un accord avec la Motion Picture Association of America pour supprimer tous les liens vers du contenu illégal sur le site officiel de BitTorrent. Cohen estime souffrir d'un « autisme de haut niveau » (syndrome d'Asperger). Autres intérêts[modifier | modifier le code] Parmi les loisirs de Cohen, citons la création d'origamis et le jonglage à cinq balles. Récompenses[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Portail du logiciel

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