Des maisons de semences paysannes pour se libérer de l'agrobusiness - Souveraineté alimentaire
« Il faut nous organiser pour récupérer toutes les semences qui sont dans les banques de gènes et remettre ce trésor entre des mains sures, celles des paysans ». Au milieu d’une centaine de variétés de maïs, en plein cœur de la Dordogne, Bertrand Lassaigne raconte l’histoire de la première maison de semences paysannes en France. Installé depuis 20 ans près de Périgueux, Bertrand cultive principalement des céréales et des protéagineux – maïs, céréales à paille, soja, lentilles... Peu à peu, il développe son autonomie en semences et parvient en moins de dix ans à autoproduire la quasi-totalité de ses cultures, sauf en maïs où il continue chaque année d’acheter de la semence non reproductible qualifiée d’hybrides. En 1999, une rumeur circule parmi les producteurs de maïs : des semences polluées par des OGM auraient été vendues. S’affranchir de l’industrie semencière Le début du projet est laborieux. Onze ans plus tard, les résultats sont là. Une idée importée du Brésil Un mouvement mondial
Opération " Fruits Invasion" la révolution du Gratuit!!!
Eglise arrête de manger n'importe quoi ! Et ouvre les yeux!!
La graisse, ce faux ennemi
(Source : Santé Nature Innovation) Si vous avez mal à la tête ou si vous n’avez pas le temps, je vous conseille d’archiver immédiatement mon message parce que je risque de vous casser les pieds aujourd’hui. J’ai décidé en effet de vous faire un cours sur les graisses. Et comme vous le savez, un cours, c’est souvent long, compliqué, ennuyeux. Malheureusement, c’est aussi indispensable, de temps en temps. Si vous ne savez pas ce qu’est une graisse, vous ne pouvez rien comprendre à la nutrition. Si vous disposez des outils intellectuels pour comprendre, vous devenez libre : vous pouvez juger par vous-même, sans être obligé de faire confiance à telle ou telle autorité plus ou moins contestable. Mais un petit investissement est nécessaire au départ. La graisse a mauvaise presse La graisse a mauvaise presse. Mon meilleur ennemi Les graisses sont des molécules complexes. Imaginez une fourchette à trois dents. Donc, à la base de notre fourchette à trois dents, une molécule de glycérol. Récré !
Kokopelli - Libérer les semences !
▶ les vidéos Enviro, Écolo, Démogra, Dév durable - Blueman
Les mots tapés dans les champs TITRE et/ou COMMENTAIRE, et qui doivent être séparés par des espaces, représentent des mots clés qui peuvent ainsi être contigus ou disjoints dans le texte. Lorsqu'une présentation du résultat "En Liste" est demandée, ces deux champs doivent impérativement être constitués d'au moins 3 caractères pour permettre une recherche.Pour en savoir plus sur les possibilités offertes par cette section, affichez l'aide ci-dessus. NumVideo : Titre : Commentaire : Tri : Catégorie : Présentation du résultat : Normale En LISTE Environnement, ressources, pollution, contaminants, déchets, assainissement, écologie, agriculture bio, eau, démographie et conséquences, développement durable, associations, luttes, actions, activisme, etc. Un total de 155 vidéos sélectionnées
Vivre de sa cueillette à Strasbourg, bientôt possible
Christophe Köppel, initiateur du projet de permaculture dans le quartier Saint-Gall à Kœnigshoffen (Photo MM / Rue89 Strasbourg) D’ici quelques semaines, un groupe de 40 familles démarrera les plantations d’arbres, arbrisseaux et légumes sur 8 000 mètres carrés de terrain dans le secteur Saint-Gall à Kœnigshoffen. Ce « jardin-forêt » ou « jardin à croquer » sera cultivé en permaculture, un concept écolo total, porté par Christophe Köppel de l’association Brin de paille. Architecte et paysagiste, jardinier permaculteur et écologiste convaincu, Christophe Köppel lance ces prochaines semaines un chantier d’envergure dans le secteur Saint-Gall, à l’entrée de Kœnigshoffen, en limites du cimetière et des jardins familiaux, à une encablure de l’un des deux camps roms de Strasbourg. Rue89 Strasbourg : quelles différences entre ce projet de permaculture et les jardins partagés tels qu’on les connaît déjà à Strasbourg ? Rue89 Strasbourg : alors, la permaculture, qu’est-ce que c’est ?
254 plantes médicinales
Se soigner au naturel La phytothérapie est une alternative aux traitements médicamenteux. En effet, il s’agit d’une solution qui permet de se soigner en utilisant les vertus des plantes dites médicinales. Depuis des années, le nombre de patients qui choisissent de se soigner par les plantes ne cesse de croître dans la mesure où ce type de soin leur a permis de guérir de leur maladie. D’autre part, il y a également la catégorie de personnes qui combinent le traitement allopathique avec la phytothérapie. Phytothérapie et homéopathie : les différences Les néophytes ont tendance à ne trouver aucune différence entre l’homéopathie et la phytothérapie. Toutefois, il existe bel et bien quelques différences entre ces deux pratiques. Histoire des plantes médicinales et de la phytothérapie Contrairement à l’homéopathie, qui est une découverte assez récente du 18e siècle, la phytothérapie est une médecine ancestrale que la Chine utilisait déjà en 5 000 avant J.C-. adonis annua: fleur rouge sang
Les moissons du futur
Produire ses propres semences
Produire ses propres semences Il existe plusieurs méthodes pour produire ses propres semences. La plus simple, ou quand on connaît un jardinier, est de garder les graines des légumes qu’on récolte soi-même – quand on jardine – ou qu’on a achetés ou que quelqu’un nous a donnés. On peut ainsi récolter : en laissant monter en graines : des radis, des navets…à la condition de les laisser bien mûrir : des graines de tomate, de concombre, de courge, courgette, choux, melon, pastèque, phacélie, moutarde blanche ou jaune (ces trois derniers sont très bons pour comme engrais vert)… Bref, tous les fruits et légumes contenant des graines.en sélectionnant des plants : des pommes de terre. Récolter des graines Toutes les plantes ne produisent pas de graines (ou en produisent peu et/ou très peu fertiles). Qui dit récolte dit contenant. Les plantes potagères Avant toute chose, pour récolter des semences potagères, il faut cultiver des variétés non-hybrides. a. légumes à floraison dans l’année Les fruitiers