ASCEN La pollution lumineuse, tout le monde peut facilement la voir. Il suffit de sortir de chez soi la nuit et de regarder le ciel. Elle est là, au-dessus de notre tête. Ce sont notamment ces halos lumineux orange qui surplombent les villes, les villages, les routes et les autoroutes. Mais il existe encore d'autres formes de pollution lumineuse : l'éblouissement, la lumière intrusive, les éclairages en excès et les éclairages abusifs comme les «sky-tracers» (ou «canons à lumière»). Ceux qui ne veulent pas porter de jugement de valeur parleront de «gêne due aux éclairages nocturnes». Cette pollution lumineuse a aussi des effets sur l'Homme. Pour beaucoup de personnes, l'éclairage est synonyme de sécurité face à la criminalité, comme par exemple les cambriolages. En matière de sécurité routière, nous avons en Belgique plus d'accidents par kilomètre parcouru que chez nos voisins, qui eux éclairent beaucoup moins les routes et les autoroutes que nous.
Néanderthal pouvait-il parler ? Néandertal, un grand bavard de la préhistoire ? Découverte chez Néandertal d'un gène associé au langage articulé L'étude génétique de l'institut Max Planck L'équipe de scientifiques dirigée par Johannes Krause (Max Planck Institut for Evolutionary Anthropology de Leipzig) a extrait et analysé des échantillons d'ADN de néandertaliens provenant de la grotte El Sidron en Espagne. Les ossements ont été exhumés dans des conditions stériles et congelés avant le transport vers le laboratoire. Le fameux gène FOXP2 Les généticiens ont ainsi réussi à isoler chez Néandertal le gène FOXP2 dont ont sait qu'il joue un rôle actif dans le développement des régions du cerveau liées à l'apprentissage des langues. Néandertal avait le bon gène ! Pour Svante Pääbo : "Comme nous pensions que Néandertal et l'homme moderne avaient divergé il y a plus de 300 000 ans, nous pensions que la mutation sur FOXP2 était apparue après la séparation avec sapiens". Sources : ScienceDaily Scientific American
The Lighting Archive | Home De l'espace pour les jeunes - CNES Ancient human bone reveals when we bred with Neanderthals When a human bone was found on a gravelly riverbank by a bone-carver who was searching for mammoth ivory, little did he know it would provide the oldest modern-human genome yet sequenced. The anatomically modern male thigh-bone, found near the town of Ust’-Ishim in south-western Siberia, has been radiocarbon-dated to around 45,000 years old. This was an interesting time in human prehistory. Although within the most-recent ice age, it was a relatively warm period, sometimes proposed as the point at which modern humans entered Europe. It is also when the artefacts left by many modern humans start to develop from tools similar to those used by older human species to more sophisticated ones. Isotope analysis suggests that Ust’-Ishim man’s diet included fish, and he was discovered not far from the Kara-Bom site, at which such artefacts have been found. How humans colonised the Earth The story of modern humans starts much earlier, around 200,000 years ago, in Africa. Meeting the Neanderthals
Magnifying the Universe Embed this infographic on your site! <iframe width="500" height="323" scrolling="no" src=" frameborder="0" allowfullscreen></iframe><br />Copyright 2012. <a href=" the Universe</a> by <a href=" Sleuth</a>. The above is an interactive infographic. We have also developed a complimentary poster that you can view here: Sizes of the Universe poster. Introduction: This interactive infographic from Number Sleuth accurately illustrates the scale of over 100 items within the observable universe ranging from galaxies to insects, nebulae and stars to molecules and atoms. While other sites have tried to magnify the universe, no one else has done so with real photographs and 3D renderings. How To Use: Step 1:To experience this interactive infographic in full screen (our recommendation) click the "Full Screen" button in the top right corner of the infographic. Credits:
Large-scale recent expansion of European patrilineages shown by population resequencing Samples DNA donors were recruited with informed consent (University of Leicester Research Ethics Committee reference: maj4-cb66). DNA was extracted from various sources including lymphoblastoid cell lines, peripheral blood and saliva. Samples (340) were included in the design from 17 populations (20 males each) across Europe and the Near East. Samples from Greece, Serbia, Hungary, Germany (Bavaria), Spanish Basque country, central Spain, Netherlands (Frisia), Denmark, Norway, Finland (Saami), England38 (Herefordshire and Worcestershire), Orkney38, Ireland and Turkey were collected by the authors. Bait design for target enrichment For target enrichment Agilent SureSelect (Agilent Technologies Inc., CA, USA) hybridization capture was used. In this study we focus on the eight X-degenerate regions31 of the Y chromosome which are likely to yield interpretable sequence data; other captured regions are discussed elsewhere13. Sequencing and data processing Variant calling and filtering Validation
Le mystère de la matière noire bientôt découvert ? - Sciences C'est l'un des plus grands mystères de la physique moderne : qu'est-ce que la matière noire dont serait formé près d'un quart de l'univers ? Celle-ci est au cœur de multiples spéculations et ne cesse d'être traquée. Maintes fois annoncée découverte par des chercheurs qui ont finalement dû se rétracter, cette matière sombre alimente fantasmes et hypothèses... Mais serait-on sur le point d'en percer tous les mystères ? Le physicien américain Samuel Ting, professeur au Massachusetts Institute of Technology affirme que la traque de la mystérieuse matière noire pourrait bientôt aboutir. Un excès d'antimatière d'origine inconnue Ces résultats montrent qu'il existe un excès d'antimatière, d'origine inconnue, dans le flux des rayons cosmiques captés qui pourrait avoir résulté de la réduction à néant de particules de matière noire. "Mais ces observations ne sont pas encore suffisamment concluantes pour écarter d'autres explications", ajoute le Cern.
L’homme évolue-t-il encore? La nouvelle a fait jadis le tour du monde: le gène codant pour les cheveux blonds, récessif par rapport aux gènes dominants des cheveux sombres, pourrait disparaître d’ici à 200 ans, selon une étude de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Les médias se sont tous rués sur cette histoire, la BBC affirmant même fort à propos que le «dernier blond naturel» naîtrait, logiquement, en Finlande… Peu après, il fut avéré que tout était faux, que l’OMS n’avait jamais mené une telle étude, et que l’étincelle de cette explosion médiatique provenait d’un article flou dans un magazine allemand. L’intérêt universel affiché pour ce genre de potins démontrait pourtant une fois de plus que l’homme ne cesse de se passionner pour l’histoire de ses origines et pour la destinée de son espèce. La sélection naturelle fait-elle encore ses effets sur l’être humain? Pendant longtemps d’ailleurs, l’évolution de l’homme a été reconstruite par les paléontologues. D’autres insistent toutefois sur l’idée.
VIDÉO. Planck : le big-bang de la cosmologie fait pschitt On s'attendait à un big-bang de la cosmologie de nature à révolutionner notre manière d'appréhender l'Univers, d'autant plus que l'Agence spatiale européenne avait ménagé le suspense jusqu'à la dernière seconde. Pourtant, il n'en est rien. Les résultats des mesures réalisées par le satellite européen Planck, dévoilés ce matin au siège de l'Agence spatiale européenne à Paris, sonnent plutôt comme une fantastique - et presque parfaite - confirmation du modèle standard de la cosmologie élaboré jusqu'ici par la science pour décrire l'évolution de notre Univers. Un véritable hommage au génie de l'esprit humain. Un Univers un peu plus vieux En révélant l'image la plus précise jamais réalisée de la toute première lueur émise dans l'Univers, 380 000 ans après le big-bang, lorsque les photons sont enfin parvenus à s'échapper de la dense soupe primordiale, les scientifiques ont pu vérifier un grand nombre de points théoriques. Mais alors que nous disent-elles ? Quelques anomalies stimulantes
A Seattle, plongée dans la fabrique de la conscience «Cette situation est scandaleuse! Nous manquons d’une explication cohérente pour décrire la conscience.» Lorsqu’on lui rappelle sa citation tirée d’un article paru dans la célèbre revue Scientific American en 2009 déjà, Christof Koch sourit. Et, à peine après avoir invité à admirer la vue sur la baie ensoleillée de Seattle où décolle un hydravion, il s’emballe dans des propos aussi fascinants qu’a priori abracadabrantesques sur les états de l’esprit. Lire aussi: La course (à peine) voilée pour le décryptage du cerveau Ce physicien de formation, aujourd’hui l’un des neuroscientifiques les plus courus au monde, détaille l’hypothèse originale à laquelle il adhère, proche du panpsychisme, selon laquelle il y a une conscience en toute chose. Edifice de verre d’apparence assez simple posé au fond d’une avenue de la ville maritime américaine, cet institut se veut une référence dans les neurosciences; «une usine à données», dit l’un des scientifiques rencontrés. Notre reportage vidéo:
Des astronomes découvrent de nouvelles étoiles, les plus jeunes jamais observées Mardi, la NASA a annoncé que le télescope spatial Herschel avait déniché pas moins de quinze nouvelles étoiles. Elles feraient partie des plus jeunes jamais observées dans l'univers et seraient localisées dans la constellation d'Orion. Le télescope Herschel a beau être en fin de mission, il n'a pas fini de nous dévoiler les mystères de l'Univers ! Lancé en 2009, l'engin vient de découvrir pas moins de 15 étoiles qui étaient jusqu'ici inconnues. Et pour cause, ces jeunes corps sont entourés d'enveloppes denses de gaz et de poussière (proto-étoiles) qui rendaient leur détection difficile. Il a ainsi fallu des observations d'Herschel mais aussi des télescopes Spitzer et APEX (Atacama Pathfinder Experiment) pour les mettre en évidence. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter Cette découverte fournit ainsi aux scientifiques un aperçu de l'une des phases les plus précoces et les moins bien comprises de la formation d'étoiles.
Dossier : L'Homme de Néandertal est il vraiment l'Ancêtre de tous les Européens ? - Graecopithèque, Néandertal, Dénisova, & les Haplogroupes Hyperboréens - Les Actus Scientifiques - Sciences, Archéologie & Génétique Dossier : Néandertal, est il vraiment l'Ancêtre de tous les Européens ? Dossier mis à jour régulièrement Eh bien, non, Néandertal n'a jamais disparu, puisqu'il persiste dans le génome de tous les européens. On sait maintenant, que cet humain apparu en Europe il y a entre 500 000 et 300 000 ans (mais pour l'instant la polémique persiste encore sur l'apparition de toutes les espèces en Afrique de l'Ouest, alors que cette localisation d'origine pourrait ne concerner qu' une partie des homo sapiens... est l'ancêtre de tous les humains actuels (à l'exception des africains subsahariens) et que nous portons tous dans notre génome 2 à 5% de gènes néandertaliens complets, et presque 20% de gènes incomplets. Dossier : Néandertal Néandertal est il vraiment l'ancêtre de tous les Européens ? Un système immunitaire et des maladies communes avec les hommes modernes et même le Papillomavirus du cancer du col de l'utérus et aussi nos humeurs et nos rythmes circadiens Une cage thoracique différente, D'après Eupedia,