background preloader

La Seconde Guerre Mondiale en Europe jour après jour

La Seconde Guerre Mondiale en Europe jour après jour

Le tourisme de mémoire dans l'Oise La Première Guerre mondiale occupe une place importante dans l'histoire de l'Oise. À 45 minutes de Paris, ce territoire carrefour, situé sur des axes de communication majeurs, joue un véritable rôle stratégique. Occupé de septembre 1914 à mars 1917, le département a été ravagé par les combats de 1918. La Première Guerre mondiale dans l’Oise Du 6 au 12 septembre, la contre-offensive française, marquée par l’épisode des célèbres taxis parisiens, est une réussite. Dès la fin août 1914, l'armée allemande enfonce les frontières françaises et rejoint la route de Paris. On entre alors dans une guerre de position qui va durer 30 mois : du 23 septembre 1914 à fin mars 1917. Le 18 mars 1917, les troupes allemandes effectuent un repli d’environ 40 km, sur la ligne Hindenburg. Cependant, ce repli est de courte durée. L'état-major allemand suspend ses attaques jusqu’au 9 juin 1918. La bataille du Matz, de juin 1918 à la reconquête française, est une guerre de position. Quatre générations ont passé.

Working Women in the First World War World War Two’s Rosie the Riveter is an iconic figure of the era. Tough and capable, she is symbolic of women’s role in the conflict and their much needed work while men were off at war. World War One had no such figure, but equally strong women. World War Two doesn’t seem that far back. Often overlooked was the similar role of women in the First World War, a time when working a lathe, being employed in a fire brigade or even donning a pair of boots was unheard of. Above: A woman munitions worker welds at a work bench in an armaments factory, 1915. Two women replace the traditionally male porters at Marylebone Station in London during the First World war. Members of the Women’s Fire Brigade with their Chief Officer, March 1916. The Women’s Reserve of the British Army National Motor Volunteers being addressed by an officer, October 1916. 1st October 1916. Women war workers working in an engineering shop, 1917. A Woman working on an engine in an engineering shop, circa 1915.

Le 36e RI : des Normands dans la Grande Guerre Sobibor Le petit village de Sobibor, au centre de la Pologne, est situé à 5 kilomètres à l'ouest de la rivière Bug et à 8 kilomètres au sud de Wlodawa. Durant l'occupation allemande, cette région faisait partie du Gouvernement Général de Pologne. Sobibor fut le second camp d'extermination construit dans le cadre de l'Action Reinhard, plan nazi visant à exterminer tous les Juifs de Pologne. Il fut situé dans une région boisée, marécageuse, faiblement peuplée, à côté de la voie ferrée Chelm-Wlodawa. Sobibor était divisé en trois zones : une zone administrative, une zone de réception et une zone d'extermination. Après quelques expériences, les Nazis commencèrent les opérations de gazage au début de mai 1942. A Sobibor, certains prisonniers, maintenus vivants, étaient chargés d'évacuer les corps des chambres à gaz et de les enterrer dans les charniers. Les Juifs déportés à Sobibor venaient principalement des ghettos de l'est de la Pologne, surtout de la région de Lublin.

le camp d'extermination Nazi dévoile ses secrets Le 14 Octobre 1943 est une date mal connue dans les annales de la Seconde Guerre mondiale. Pourtant, elle marque un événement remarquable qui reflète un moment de triomphe dans l'histoire des milliers de victimes humaines qui se sont rendues impuissantes vers la mort, alors qu'elles étaient aux mains de leurs ravisseurs nazis dans le camp d'extermination de Sobibor, dans l'Est de la Pologne. Ce jour là, 500 prisonniers juifs entraient en rébellion et parvenaient à s'échapper. Une plaque d'identification en métal d'une fillette de six ans morte à Sobibor. L'archéologue israélien Yoram Haimi a participé aux fouilles et recherches sur le site. En utilisant les dernières technologies ainsi que les techniques classiques de fouilles et d'enregistrements archéologiques, une équipe d'archéologues a découvert des éléments de structures et des objets de victimes. Ce n'était pas la première fois que quelqu'un a tenté de fouiller le site. Source:

Indexation collaborative Rejoignez le programme d'indexation collaborative et participez à l’enrichissement de la base des Morts pour la France de la Première Guerre mondiale Le ministère de la défense propose aux internautes d'annoter les fiches de la base des Morts pour la France de la Première Guerre mondiale afin d’enrichir les index déjà existants (nom, prénoms, date de naissance, département ou pays de naissance) et ainsi permettre des recherches plus fines parmi les 1,3 million de noms que comporte la base : recherche par lieu de naissance ou décès, par date de décès, par unité, grade ou encore classe et bureau de recrutement. Le projet d'indexation collaborative des fonds est basé sur la gratuité, le volontariat, la motivation et l'esprit d'entraide des internautes. Si vous souhaitez participer à l'indexation collaborative des fonds : Merci d'avance aux volontaires de la part de tous les chercheurs ! Pour plus de renseignements, contactez le webmestre du site Mémoire des hommes. Engagement de l’annotateur

Historiques régimentaires des unités engagées dans la Première Guerre mondiale Les historiques régimentaires sont nés de la volonté du ministère de la guerre et de l'état-major de l'armée de produire une relation des faits d'armes glorieux de chaque unité, permettant ainsi d'enseigner les traditions aux jeunes soldats et de forger un esprit de corps indispensable à la bonne tenue des unités au combat. Le concept d'historique régimentaire est ancien mais son application ne s'est généralisée que sous la Troisième République. En 1900, la collection était quasi complète.

Rare colour pictures of 1930s Berlin show carefree life in Hitler’s capital before war that reduced it to rubble | War History Online This collection of rare color photos of Berlin in 1937, taken by Thomas Neumann and uncovered from Norwegian archives, show life in the German capital during a tumultuous decade. They capture scenes in the vibrant city, which was under the iron grip of Adolf Hitler and his Third Reich at the very height of his power. Yet just eight years later the city was in ruins as Russians and Allies occupied it in victory. But at the time these images were taken, Hitler’s Berlin was vibrant. Hitler had taken power after the collapse of the democratic Weimar Republic in 1933 as severe economic problems caused by the Great Depression drove ordinary Germans into the far-right party’s arms. Regal: These rare color photos of Berlin in 1937 give a unique perspective of the capital’s pre-war period. Devastated: The Stadtschloss after it was gutted by Allied bombs. Ominous: In 1937 Hitler was at the very peak of his power. Smiling: An unknown trio at a train station. Serene: An unknown park in Berlin.

Dieux du tonnerre et Kamikazes Dieux du tonnerre et Kamikazes :l’histoire des pilotes suicidaires japonais 28 mars janvier 2004 es attaques suicidaires aujourd’hui employées à des fins terroristes ont constitué l’un des chapitres les plus sombres de la Guerre du Pacifique. La lutte désespérée des pilotes japonais contre la Marine américaine reste un fait d’armes sans précédent, dont voici l’histoire. Par un chaud après-midi de l’été 1944, le lieutenant-commandeur Tadanao Miki, du laboratoire de recherche aéronautique japonais, fut appelé dans le bureau de son commandant pour avoir une conversation avec un officier en visite. "... Miki, certain que cet homme était venu offrir une autre idée déplacée pour le guidage des fusées, s'assit pour écouter. Mais la décision avait été prise. Les offensives des Kamikazes japonais à la fin de la Seconde guerre mondiale sont devenues légendaires pour leur détermination et leur efficacité. Les premiers grondements Opération Paradis N° 1 et Okinawa

Brève histoire de la mobilité Ou comment résumer une centaine d’années de mobilité humaine en 5 dessins… Extrait de l’ouvrage « Rien n’est simple » par Sempé, paru en 1962.

Related: