Œuvres à la loupe Allez au contenu Allez au menu principal Allez à la recherche Change language Accessibilité Soutenez le Louvre Accueil>Arts & éducation>Oeuvres à la loupe Œuvres à la loupe Les Œuvres à la loupe sont conçues dans l'esprit de deux collections : Palettes, bien connue du grand public et l'Œuvre en scène, présentée à l'Auditorium du musée. Cette rubrique bénéficie du mécénat de l’entreprise eni. Oeuvres à la loupe Nb par page :5 -10 -15 Tri : Date - Titre Portrait de la marquise de Pompadour Nouveau ! Le dernier numéro de la série Focus est consacré au Portrait de la marquise de Pompadour par Maurice-Quentin de La Tour. Consultez le focus La Victoire de Samothrace Redécouvrez un chef-d’œuvre de l’époque hellénistique en compagnie de Marianne Hamiaux, ingénieur d'études, et Ludovic Laugier, conservateur du patrimoine au département des Antiquités grecques, étrusques et romaines. La Joconde Les Œuvres à la loupe font peau neuve. Le Code de Hammurabi Consultez l’œuvre à la loupe Le Scribe accroupi Newsletter
la composition et la cadrage en peinture et photographie, la règle des tiers,les lignes de force,les lignes directrices,les points naturel d intérêts des tableaux ou images,les diverses formes de composition Toute reproduction, même partielle, sans accord préalable, constitue un délit et est passible de poursuites. La Composition et le Cadrage. La composition est simplement la technique d’arrangement des éléments dans un tableau. Pour cela, il faut tout d’abord que l’artiste soit conscient de ces éléments, décide de leur importance relative puis façonne avec eux un sens d’ordre et d’harmonie. Il existe des règles que la plupart des protagonistes ont tendance à suivre, même sans en prendre conscience. Ces règles sont en grande partie fondées sur le bon sens et leur compréhension est aisée. La « règle d’or » de la composition est que le principal point d’intérêt doit être à l’intersection du tiers. Cela signifie simplement que le sujet principal doit se trouver à l’intersection de lignes imaginaires tracées verticalement et horizontalement à une distance d’environ un tiers des bords de l’œuvre. Soit 2/3 plein ou 1/3 vide ou l’inverse.
Série l'Art en question - 10 oeuvres passent aux aveux ! - 10 chefs-d'oeuvre vous réservent plus que vous n'attendez Soutenez la production et la diffusion de cette nouvelle série. En savoir plus.Objectif: Montant déjà donné: 21880€ (109.4%) Claude : 100€ le 22 janvier 2018MARIA IGNEZ : 25€ le 16 mai 2017Francois : 1€ le 6 juin 2016Bouillard : 10€ le 31 mai 2015Nicolas : 30€ le 12 mai 2015 Penser l’artiste-chercheur aujourd’hui : positions, propositions | p-e-r-f-o-r-m-a-n-c-e Frédéric Mathevet Résumé Cet article tente de reposer les spécificités du travail artistique. S’appuyant sur une sémiotique « plastique », il insiste sur les différents jalons de l’atelier contemporain : l’œuvre ou l’]œ[ , le spectateur ou ]ssspectateur[ et son milieu circonstanciel. Ainsi le méta-atelier idéal de l’artiste-chercheur rêvé décrit dans cet article, est un méta-atelier fait d’expérimentation collective, de ratures et d’ébauches et de rencontres sensibles. Un espace qui ne serait être virtuel ou conceptuel, mais qui serait un espace réel ou se pourrait se ré-écrire sans cesse l’horizon intime, social et cosmogonique d’une société en mouvement. Mots-clés Artistes-chercheurs, plasticité, méta-atelier, spectateur, œuvre. « En fait, c’est le préjugé épistémologique concernant la prétendue nécessité du caractère de de généralité d’un objet d’étude qui serait ici à mettre en question et, par voie de conséquence, le statut même de la recherche et du chercheur. Préambule Plastique Œuvre
Les couleurs du Moyen-Âge Allez au contenu Allez au menu principal Allez à la recherche Change language Accessibilité Soutenez le Louvre Accueil>Arts & éducation>Conférences en ligne>Initiation à l'histoire des arts>Les couleurs du Moyen Age Les couleurs du Moyen-Âgepar Michel Pastoureau Conférences en ligne L’historien des représentations Michel Pastoureau nous entraîne dans une exploration des couleurs au Moyen Âge. Pour ce cycle de cours, Michel Pastoureau, directeur d’études à l’École pratique des hautes études où il occupe la chaire d’histoire de la symbolique occidentale, vous entraine dans son époque de prédilection pour une exploration des couleurs au Moyen Âge. L’historien face à la couleur Pourquoi et comment étudier l’histoire des couleurs ? Pigments et colorants Histoires et recettes des matières colorantes Pratiques et codes vestimentaires Le vêtement comme principal code chromatique de la vie en société Les couleurs du blason et la symbolique des couleurs La « révolution bleue » des 12e et 13 siècles Presse
Pédagogie numérique Image et information • Rechercher, trier, indexer, formater, légender, animer… Informer par l’image, c’est maîtriser toute une chaîne d’éditorialisations qui convoquent autant de savoir faire que de cultures. Des industries de l’audiovisuel au patrimoine, en passant par l’entreprise et l’édition, des professionnels viennent raconter les coulisses de leur métier, pour partager avec nous la richesse et la complexité du médium image. • Rencontre organisée et animée par les étudiants de la licence Infocom de Paris Ouest Nanterre dans le cadre du cours « Image et Information » assuré par Louise Merzeau. Intervenants : Les genres artistiques classiques - culture artistique - histoire des arts En arts plastiques, dans l’histoire de l’art, on rencontre des images de toutes sortes, aux contenus les plus variés. Selon ces contenus, les œuvres sont classées en catégories, ou genres artistiques, dont voici les principaux : L’art sacré : toutes les représentations de divinités ou de scènes religieuses. La vierge aux anges,huile sur toile, William Bouguereau, 1881 Le genre mythologique : tous les sujets se rapportant à la mythologie grecque, romaine ou d’une autre civilisation. Ulysse et les sirènes, relevé d'un vase grec à figures rouges, Ve siècle av J. Le genre historique : toutes les œuvres dont le sujet se réfère à des évènements ou à des personnages historiques. Monument aux Bourgeois de Calais, Bronze, Auguste Rodin, 1889 Le portrait : il peut être de caractère privé, ou de caractère officiel, c’est à dire destiné à une diffusion publique. Portrait du Fayoum, Ier ou IIeme siècle ap. La corvée d'eau, batik, anonyme Nature morte au vase pique-fleur, Paul Cézanne, 1905
A propos… Blog professionnel d’Amaury Daele, docteur en sciences de l’éducation (Université de Genève), professeur formateur à la Haute École Pédagogique du canton de Vaud à Lausanne (HEP-Vaud). Conseiller pédagogique à l’Université de Lausanne de février 2009 à mai 2017. CV complet (mise à jour continue). Intentions Ce blog s’adresse davantage aux conseiller-ère-s pédagogiques qu’aux enseignant-e-s (professeur-e-s, assistant-e-s, etc.) de l’enseignement supérieur (universités et hautes écoles). Quelques objectifs de ce blog: partager des lectures, des pratiques de conseil et de formation, des réflexions…échanger avec d’autres conseiller-ère-s pédagogiques de l’enseignement supérieur…constituer mon carnet de bord réflexif de conseiller pédagogique… Plusieurs choses auxquelles j’essaye de faire attention en écrivant: Remarque importante: ce que j’écris ici n’engage que moi! Donc pas mon institution ni mes collègues! Pour citer ce blog WordPress: J'aime chargement… This page has the following sub pages.
derriere_la_gare_St_Lazare Derrière la gare Saint-Lazare, Place de l’Europe est l’une des plus fameuses photographies d’Henri Cartier-Bresson. C’est aussi l’une des plus mystérieuses et, en ce sens, des plus représentatives de son œuvre. Si, au fond, le décor ferroviaire noyé dans la brume est aisément identifiable (horloge, grilles, etc.), l’action qui se déroule au premier plan est en revanche assez énigmatique. Réalisée en 1932, cette photographie date de l’année où Cartier-Bresson devint photographe (bien qu’il ait commencé à « faire de la photo » antérieurement). L’instant décisif. Très marqué, à ses débuts, par l’œuvre d’André Kertész, Cartier-Bresson s’intéressa également aux productions des surréalistes.
"Le corps, l'image, les nouvelles technologies" par Catherine Fontaine Catherine Fontaine Dans les œuvres des artistes utilisant les nouvelles technologies se posent très fortement les questions d’identité : identité du corps, identité de l’image. Les rapports qui lient l’image, l’objet représenté, le sujet se transforment car l’image devient un langage spécifique, le langage des programmes informatiques. Mona Hatoum : « Dos de Van Gogh » « La photographie et le numérique entretiennent un rapport au réel radicalement différent. L’image numérique est une « image-matrice » ouverte à toutes les possibilités de transformations. « Physiquement, sur l’écran de l’ordinateur, l’image numérique se présente comme une matrice à deux dimensions de points élémentaires : les pixels. [… ] Le pixel fait office d’échangeur – minuscule –entre l’image et le nombre. Un travail au scalpel dans la peau de l’image. Aziz & Cucher travaillent au scalpel. Man Ray : « Noire et blanche » 1926 Le modèle de Man Ray a un visage très pur. Clonage photographique :analogique/numérique. G.
Amoureux aux oranges, rue Mazarine Robert Doisneau (1912-1994) a laissé 450 000 négatifs aux sujets les plus variés : photographies commerciales et de mode, images de l’Occupation et combats de la Libération, clichés d’un Paris touristique et reportages à la campagne et en banlieue, portraits d’écoliers, de commerçants des halles ou d’artistes… Son œuvre oscille entre travail de commande et projets plus personnels qui témoignent d’un monde en mutation. Si son travail est reconnu par des prix et des expositions depuis l’après-guerre, c’est principalement dans les années 1980 que son œuvre touche le grand public qui, de manière un peu simpliste, y voit une approche poétique du genre humain et de la photographie de rue. Calendriers, posters et cartes postales diffusent alors par milliers certaines de ses images telles que ces Amoureux aux oranges, rue Mazarine [ image principale ]. Un baiser volé C’est un beau jour de printemps à Paris en 1950. Un travail de commande « Des symboles lourds comme des coups de massue »
Enseigner la recherche à l'université ? Avant de lire ce billet il est conseillé de lire d'abord ces 2 tribunes parues dans Libé : celle d'étudiants réclamant que ce ne soient plus des enseignants-chercheurs qui dispensent les cours en 1èr cycle mais des profs "normaux", et celle de collègues expliquant qu'au contraire l'objectif de l'enseignement à l'université ne peut faire l'économie d'une transmission des savoirs assurée par ceux qui maîtrisent le lien entre enseignement et recherche (les enseignants-chercheurs donc). Dans le seconde tribune des collègues, même si j'en partage l'essentiel, beaucoup trop à mon goût de lamentation autour d'une incurie - nonobstant réelle - du politique. Il existe pourtant un modèle intermédiaire qui a fait ses preuves et permettrait de satisfaire les doléances des uns (les étudiants) et des autres (les enseignants-chercheurs). Ce modèle est celui des IUT dans lesquels on trouve un enseignement qui est assuré : Oui certains cours en amphi sont chiants comme la pluie.