Anti-utopies et dystopies - Rachel G. l’Anti-utopie et la dystopie dans la littérature et le cinéma « L’idéal, c’est clair, sera atteint lorsque rien n’arrivera plus ». Eugène Zamiatine, Nous autres. Introduction Le genre littéraire de l’utopie Lorsque L’Utopie sort en 1516, Thomas More, son auteur, ne se doute pas qu’il vient de créer un genre littéraire qui existera encore cinq siècles plus tard ni qu’« Utopie » deviendra un nom commun. - ou privatif et topos (« lieu »), le lieu qui n’existe pas ; - eu (« vrai », « bon ») et topos, le lieu du bonheur. Dans son livre, More décrit l’île d’Utopie, où tous les hommes sont heureux grâce à un système politique, économique et social fondé par Utopus et fait pour durer éternellement qui est à l’opposé de celui qu’il connaît dans l’Angleterre de Henri VIII. De nombreux auteurs vont utiliser ce genre descriptif pour présenter leur société idéale, qui à partir d’un lieu isolé, tend à gagner la Terre entière. - L’Utopie de Thomas More (1516) ; - L’An 2440 de Louis-Sébastien Mercier (1771) ;
JR : La photographie sur les murs De la cité des Bosquets à Montfermeil jusqu'en Palestine, des favelas de Rio aux quais de l'Île Saint Louis à Paris, le photographe JR affiche d'immenses portraits en noir et blanc sur les murs de nos villes. Ces actions souvent collectives interrogent la place de l'art dans la cité et sa puissance d'action, entre poésie et acte politique... La légende raconte que JR aurait trouvé un appareil photo dans le métro parisien et que toute l'histoire serait partie de là. Interrogé à plusieurs reprises, ce trentaire aux lunettes fumées qui tient à son anonymat reste vague. Entre 2004 et 2006, il réalise ces premiers collages photographiques, des portraits d'habitants des quartiers de Seine Saint-Denis qu'il expose en grand format sur les murs de la cité. En 2007, c'est avec Marco qu'il réalise Face 2 Face, une gigantesque exposition illégale en Israël- Palestine. Puis c'est au Brésil que JR et son équipe décident d'intervenir, au Kenya, au Cambodge, en Inde...
Musée du Louvre MapMaker Interactive. Créer des cartes en ligne MapMaker Interactive est un formidable outil en ligne qui permet de créer de magnifiques cartes personnalisées en quelques minutes. Un excellent outil pour s’initier à la cartographie à mettre entre toutes les mains proposé par les gens de National Geographic. MapMaker Interactive est très facile à utiliser. Vous pouvez même le faire sans avoir besoin de vous identifier ou de vous inscrire. La plateforme permet de scénariser de l’information ou des données à travers des cartes. A partir d’une carte mondiale dans laquelle vous allez pouvoir naviguer et zoomer à souhait après avoir choisi entre plusieurs types de représentations, vous allez ajouter vos propres informations. MapMaker Intercative surprend par sa puissance et sa richesse. Vous pourrez ajouter des points d’information ouvrant des encadrés multimédia contenant du texte mais aussi des liens, des photos ou encore des vidéos. Vous pouvez en effet sauvegarder vos cartes en vous inscrivant gratuitement sur le site. Sur le même thème
Biographie de JR Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir JR. JR est un artiste de rue français d'origine tunisienne [Référence nécessaire] né à Paris le (31 ans)[1] . Après avoir trouvé un appareil photo dans le métro parisien en 2000, il explore l'univers de l'art urbain européen et suit ceux qui expriment leur message sur les murs[2]. En 2001[3], il parcourt l'Europe à la rencontre de ceux qui s'expriment sur les murs[4]. Entre 2004 et 2006, il réalise Portrait d’une génération, des portraits de jeunes de banlieue qu’il expose, en très grand format. En 2005, il participe au long-métrage de Kim Chapiron (Kourtrajmé) Sheitan avec Vincent Cassel, comme photographe de plateau[7] et rencontre Shepard Fairey, Blu, Zevs, Blek le Rat, Influenza, The London Police entre autres, pour réaliser un reportage sur les activistes urbains internationaux[8]. En 2007, avec Marco[9] il réalise Face 2 Face, « la plus grande expo photo illégale jamais créée »[10].
Musée du quai Branly : ressources pédagogiques L'e-mallette propose un corpus de documents qui permettent de se constituer une base de travail. Ces documents peuvent être utilisés pour préparer un cours, nourrir un débat ou servir de base à des travaux d'élèves. C'est également un espace de dialogue et d'échange puisque vos restitutions pédagogiques pourront s'intégrer à cet outil. e-mallette n°1 : des images pour penser l'autre, du mythe du bon sauvage à l'exposition coloniale de 1931 Cette version vous permettra une consultation même lorsque vous n'êtes pas connecté à internet. Vous pourrez également récupérer et utiliser séparément les différents textes et images composant l'e-mallette. Nouveau ! Cette version vous permettra une consultation même lorsque vous n'êtes pas connecté à internet.
Blog d'Adrien Guinemer | Ou ce que je fais avec mes élèves Qu'est-ce que le "Street art" ? Mouvement artistique e « Street art » est l'art, développé sous une multitude de formes, dans des endroits publiques ou dans la rue. Le terme englobe la pratique du graffiti, du graffiti au pochoir, de la projection vidéo, de la création d'affiche, du pastel sur rues et trottoirs. Le terme « street art » est habituellement utilisé pour distinguer une forme d'art d'un acte de vandalisme réalisé par un individu ou un groupe d'individus qui défendent leur territoire, qui expriment par le billet du graffiti leur appartenance à un groupe ou encore qui désirent passer un message qui n'a aucune valeur artistique. La valeur subversive du « street art » est très puissante et les motivations qui poussent les artistes à afficher leur art dans la rue sont des plus variées. Les techniques utilisées sont variées et de diverses proportions. report this adInitialement, le « street art » regroupait particulièrement les artistes graffeurs et était associé à la culture « punk ».