Bordeaux : mais dis-moi, jusqu'où ira ce lama ? es millions de tweets, des articles dans les journaux du monde entier, des sujets à la télé, à la radio... A moins d'avoir vécu en totale autarcie ces dix derniers jours, impossible d'être passé à côté de Serge le lama. L'escapade du sympathique camelidé a fait rire au delà des frontières et s'est révélée très intéressante pour les annonceurs à la recherche de buzz. L'engouement sur internet. Parmi les premiers à dégainer leur stratégie de marketing viral ont été les community managers d'Air France. "Dans ce genre de communication, il faut tout de suite une très grande réactivité. La marque de déodorants Axe a également pris le pli, avec un tweet sur le "Lamastronaute". Plus localement, le département du Gers a rebondi avec un montage qui fait s'indigner le lama sur fond de paysage gersois : "Pourquoi ils ne m'ont pas emmené dans le Gers !". Mais l'intérêt marketing ne s'arrête pas aux frontières d'internet. Le lama en tournée dans tout Bordeaux
Findus et le "chevalgate" : une réaction exemplaire : Réussir sa com' de crise : 5 exemples à la loupe Les crises alimentaires mettent souvent en jeu la santé des consommateurs. Leur retentissement médiatique est d'autant plus fort. Dans l'affaire du "chevalgate", il y a eu tromperie sur la marchandise et c'est la confiance du consommateur qui a été ébranlée. Le 8 février 2013, suite à des contrôles, la marque de surgelés Findus reconnaît que les lasagnes de bœuf vendues dans ses magasins au Royaume-Uni étaient en fait fabriquées avec de la viande de cheval. Rapidement, on découvre que plusieurs pays de l'Union européenne sont également concernés. Findus met en alors en place une communication de crise particulièrement maîtrisée. En prenant les devants, Findus évite une crise bien plus grave Premier point positif pour Findus, avoir révélé le scandale alors que rien ne l'y obligeait. La marque de surgelés a ensuite réagi en trois temps. Ensuite, la marque va prendre plusieurs engagements forts résumés dans une campagne de presse qui mise sur la transparence.
Le coup du "Carambarketing" Sur le site de Carambar, le compte à rebours défile ... Un compte à rebours qui annonce la mort de la blague Carambar " Le changement c'est dans ...". Depuis 1969, personne n'ouvrait un Carambar sans lire l'histoire. Le fait qu'elle soit drôle ou non n'était pas la question ... Des inconditionnels nostalgiques ont ouvert une page Facebook contre la disparition de la blague Carambar. Le buzz - + 14 000 mentions sur Twitter en 24 heures - serait-il un petit poisson d'avril ? Réactualisé le lundi 25 mars 2013 De retour au bureau ce lundi l'information qui a agité la communauté des grands enfants était une ... blague ! " La blague Carambar est depuis la fin des années 60, une des valeurs emblématiques du produits, qui capitalise sur la bonne humeur et la fantaisie associés à la gourmandise ... et ce n'est pas prêt de changer. " La relation entre Carambar et les français, c'est comme une histoire d'amour, de temps en temps il faut la raviver. Carambar c'est du sérieux !
Classement mondial des meilleures publicités qui ont fait le Buzz Toutes les marques veulent faire le buzz sur le web pour booster leur notoriété. Découvrez dans la suite de l’article les publicités qui ont fait les plus grands buzz de l’histoire. Le buzz est une technique qui consiste à faire du bruit autour d’un produit/service ou événement. Le principe est d’amplifier l’annonce du lancement d’un produit pour entretenir la curiosité des consommateurs de telle sorte à rendre le produit très attendu. Un bon buzz peut rendre le produit célèbre avant même son arrivée. Le buzz présente, cependant, une limite du fait que le « bouche à oreille » utilisé par cette technique est difficilement gérable pour l’entreprise.
Les 3 bad buzz les mieux rattrapés Cauchemar de toutes les marques, un bad buzz peut se propager à la vitesse grand V et ternir la réputation d’une marque ou d’une entreprise en l’espace de quelques heures. Il est difficile d’indiquer la marche à suivre en cas de message a consonance négative qui se propage via les réseaux sociaux comme une trainée de poudre. La gestion de crise se pilote au cas par cas, en fonction du contexte et des enjeux de chacun. Rattraper un bad buzz et réussir à rétablir une relation de confiance avec ses utilisateurs est une démarche complexe, dont il est difficile de prédire l’issue finale. Certaines marques ont su réagir à ce type de crise en faisant de cette image négative un véritable outil marketing qui agit désormais en leur faveur. EA Sports marche sur l’eau Rappelez-vous : tout commence en 2007 quand un joueur de Tigers Woods PGA tour 08, jeu développé par EA Sports, poste un vidéo sur Youtube montrant un bug flagrant dans le jeu : Tiger Woods marche sur l’eau en pleine partie de golf !
Le bad buzz de la semaine : Cuisinella Ce mardi, l’enseigne de vente de cuisine Cuisinella a tenté de faire le buzz avec une vidéo choc. Si elle a bien fait le tour du web et a été en tête des débats sur twitter, l’effet escompté n’a pas été au rendez-vous. La vidéo met en scène trois personnes choisies au hasard se faisant tirer dessus. Les balles tirées sont des billes de peinture rouge pour faire croire à du sang. Après avoir reçu une balle, malgré leur résistance, les protagonistes sont emmenés de force dans une ambulance et placés dans un cercueil. Une chute plutôt inattendue… Si l’on ne comprend pas le sens d’une telle publicité pour un vendeur de cuisine, on comprend encore moins sa chute. Le mea culpa du groupe
Les 3 secrets d’un bon buzz Faire livrer ses chaussures commandées via Internet par pigeon voyageur : plus écologique, moins onéreux et... surprenant. C'est avec un tel message que la PME bruxelloise Jojo a voulu créer le buzz sur la toile afin de faire connaître ses produits. Une courte vidéo a été placée sur YouTube en juin. Un expert y explique, le plus sérieusement du monde, comment il a dû adapter le poids de ses oiseaux pour leur permettre de porter une boîte de chaussures. Cette vidéo a été vue près de 40.000 fois sur le Web. Attirer l'attention du consommateur Internaute par un bon buzz : toutes les marques en rêvent. 1. Pour que votre concept ait une chance d'être véhiculé sur le Net, c'est-à-dire de faire l'objet d'un partage de la part des Internautes, il faut que ces derniers aient un réel intérêt à le communiquer. Certains conseillent d'y intégrer une dose de choc (violence), d'humour ou de sexe. La rumeur est le plus vieux des médias. Christophe Charlot Carlsberg. Cora de Rennes.
Comment mettre en place une politique d'utilisation des réseaux sociaux au sein de votre entreprise Publié par Kieran Flanagan Les réseaux sociaux offrent de nouvelles perspectives d’accès aux clients, auxprospects et à tout l'univers en ligne. Lorsque les entreprises en réalisent les bénéfices, chacun veut y prendre part, mais il est fréquent de,constater que les individus se trouvent submergés rapidement , L'étape suivante consiste alors tout naturellement à élargir la participation à d'autres collaborateurs de l'entreprise. En vérité, nombre descollaborateurs y participent déjà à titre personnel. Ils possèdent des pages Facebook, des comptes Twitter, publient des commentaires sur des forums ou écrivent des blogs. C’est au niveau de cette frontière entre vie personnelle et vie professionnelle que les problèmes émergent. Il convient donc d'établir, précisement, à travers la mise en place d’une politique, ce qui constitue, ou non, une utilisation acceptable des réseaux sociaux, au sein de l'entreprise. 1. Le secret réside dans la clarté. 2. 3. 4. 5. 6.
Le "buzz" raté de Michel et Augustin "Suspendues ! Nos séries limitées super-héros sont suspendues", annonce sans détour "Michel et Augustin", le fabricant de produits laitiers et de biscuits basé en région parisienne. En personnalisant ses produits phares, yaourts à boire et sablés à l’effigie des deux finalistes de la présidentielle et de leur compagne, l'opération marketing a finalement tourné court. La PME qui voulait surfer sur une campagne, selon elle, "jugée ennuyeuse par les Français" a définitivement retiré ses produits des étalages des supermarchés où ses produits sont référencés. Elle était pourtant loin de prévoir la réaction en magasin des consommateurs qui ont réservé un accueil inattendu à ce qui aurait dû être un "buzz marketing", indique la société. La mésaventure a commencé quelques jours avant le premier tour de l’élection. L'opération vit grâce au mauvais "buzz" Avant la PME Michel et Augustin, d’autres marques ont pourtant réussi à utiliser avec humour l’image des politiques.