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FERNAND LÉGER

FERNAND LÉGER

Fernand Leger Fragments d’un spectacle populaire Depuis la fin du 19e siècle, le cirque, spectacle à fois populaire et moderne, intrigue les artistes, qu’ils soient peintres, écrivains, poètes ou musiciens, auxquels il offre une source d’inspiration nouvelle. Le tableau de Fernand Léger transporte le spectateur sur la piste d’une institution célèbre à Paris, le Cirque Medrano, établi boulevard de Rochechouart, dans le quartier de Montmartre [ image principale ]. Au premier regard, on ne perçoit de la toile qu’un tourbillon de couleurs et de formes géométriques assemblées sur un même plan. À distance, on croirait une composition abstraite, jouant sur les contrastes. Mais à mesure que l’œil se rapproche, des bribes de réalité apparaissent et emportent le spectateur dans l’univers du cirque : un clown, un athlète, un chien, un écuyer perché sur un cheval, le ticket d’un spectacle. 1918 : retour à la vie civile d’un artiste transformé par la Grande Guerre « 1918 : la Paix ».

La Grande Guerre en dessins, des artistes pendant la premiere guerre mondiale 14-18 Exposition virtuelle - Sur les chemins de la Grande Guerre Chansons Contre la Guerre - Novembre 1918 Salut les gars, comment ça va? Ne faites donc pas, cette tête là Pour nous la guerre est finie On va rentrer au pays Pendant quatre ans, j'avais gardé Le médaillon de mon aimée Serré tout contre mon cœur Pour oublier ma douleur Je pensais lui dire Je t'aime à mourir Mais je ne peux plus Sourire Je m'en vais Loin du bleu horizon Ces tranchées embrumées, Pour retrouver mon cœur, ma liberté Je m'en vais Libre comme l'oiseau Dont on ouvre la cage Mais n'a plus le courage de s'envoler De se sauver, pour exister. Je voudrais lui dire Que j'ai vu mourir Des hommes en martyrs Debouts Les vendanges seront terminées Dans le village ou je suis né Ou sont passés mes copains? Heureusement que tu es là Mon tendre amour, ma part de moi Sous moi tout s'est effondré Toi seule pourras m'apaiser. Pourquoi revenir Si je n' peux bâtir Un bel avenir Pour deux. Je m'en vais Loin du bleu horizon Ces tranchées embrumées Pour retrouver, mon cœur, ma liberté

Partagez la connaissance Refrain le plus célèbre de la Grande Guerre, la chanson de Craonne laisse entendre la souffrance et la colère des poilus. En 1917, le Général Nivelle lance les hostilités au Chemin des Dames (Aisne, à côté du village de Craonne). Voulant en finir avec la guerre de tranchées, cette offensive se solde par un échec complet transformant les soldats en « chair à canon ». ‘Cette chanson évoque le quotidien des soldats dans les tranchées, et aborde les mutineries, c’est une chanson engagée. Au moment de se pencher sur la notion de guerre totale, cette chanson raconte deux univers différents : le front et l’arrière.

Bataille de Craonne, véritable boucherie de la Guerre 14-18 Quand on fusillait « pour l’exemple » les survivants de Craonne. Retour sur les événements particulièrement meurtriers de la bataille du plateau de Craonne. Une véritable boucherie. « C’est à Craonne, sur le plateau, qu’on doit laisser sa peau… » … Avoir survécu aux trois premières années de la guerre, particulièrement meurtrières, être revenu vivant d’une offensive sur le plateau de Craonne, véritable boucherie organisée par le général Nivelle, puis être condamné à mort suite à une décision aussi barbare qu’imbécile de l’état-major français, tel fut le destin du Caporal Vincent Moulia… Cette histoire qui illustre parfaitement l’état d’esprit régnant sur le front en 1917 mérite d’être contée. Avant de rentrer dans les détails de cette histoire de la bataille du plateau de Craonne, sachez quand même que le nombre de soldats condamnés à être fusillés par nos propres troupes s’élève à près de 600 pour l’ensemble de la guerre. Une boucherie sur le chemin des dames Fusillés pour l’exemple Save

Les Poilus - Le jeu Migrations et mouvements de population dans les archives de la Planète d'Albert Kahn | Mission Centenaire 14-18 Chaque mois, retrouvez sur Centenaire.org un portfolio d'autochromes des années 14-18 issus des Archives de la planète d'Albert Kahn, conservés par le Musée départemental Albert-Kahn des Hauts-de-Seine. La guerre donne lieu à d’importants mouvements de population, dans l’Europe et dans le monde. Les opérateurs filment les réfugiés de la Somme arrivant à Paris ou à Evian, les camps de travailleurs chinois à Marseille, la communauté russe en exil, les troupes alliées au Proche-Orient et bon nombre de soldats coloniaux dans les rues de Paris. Sur le territoire français, l’évacuation des civils des zones de combat commence dès le début de la guerre, avec l’avancée du front et l’occupation allemande. Les populations du Nord et de l’Est sont contraintes à l’exode. Au Proche-Orient, l’opérateur Paul Castelnau couvre le conflit.

Grande Guerre : les Gueules cassées "faisaient tache dans la population" Publié le : 17/10/2014 - 07:01Modifié le : 30/12/2014 - 10:14 Dans le cadre du centenaire de 14-18, l'Union des blessés de la face organise un colloque sur les Gueules cassées, les 17 et 18 octobre, à Paris. Les blessures de ces hommes, reflets de souffrances physiques et morales, ont fait avancer la médecine. Cent ans après la Première Guerre mondiale, les portraits des Gueules cassées sont toujours aussi glaçants et difficilement soutenables. Depuis plusieurs décennies, ce médecin spécialiste de la chirurgie maxillo-faciale s’intéresse au sort de ces grands blessés de 14-18. Laissés pour morts par les brancardiers Après l’impact, c’est un long calvaire qui débute pour les blessés de la face. Comme l’explique le chirurgien, au début du conflit, le service de santé de l’armée française n’était pas préparé à faire face à des lésions d’une telle gravité : "Il y avait trois ou quatre hôpitaux spécialisés en 1914. "Sourire quand même"

France 24 : nos aïeux qui se sont battus dans la Somme Le 1er juillet 1916, Britanniques et Français lançaient une grande offensive dans la Somme, dans le nord de la France. En cinq mois, cette bataille fit plus d’un million de morts, de blessés et de disparus, toutes nationalités confondues. À l’occasion du centenaire de ces combats, emblématiques de la Grande Guerre, France 24 donne la parole à ses journalistes, descendants de soldats. Albert Charles Todd parTony Todd Albert Charles Todd, mon grand-oncle, a été porté “disparu, probablement mort”, après que son bataillon a été sorti de sa tranchée à 7 h 30 le 1er juillet 1916. Mon grand-oncle était adolescent quand la guerre a éclaté et n’avait que 17 ans quand il s’est engagé dans l’armée britannique, en mentant sur l'année de sa naissance. Le 1er juillet, son bataillon, le 12e du régiment de Londres, avait un objectif : reprendre aux Allemands le village fortifié de Gommecourt, situé à l’extrême nord du front de la Somme. John O'Leary parMark Owen Mon grand-oncle était l’un d’entre eux. et

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