Exclusif: Les hommes en mutation face aux... - Textile, habillement La mode est aussi une histoire d'homme! C'est l'un des enseignements à tirer de cette étude. D'autres faits sont à relever, comme la fin des idées reçues que commente Antoine Régis, co-fondateur de ChicTypes et commanditaire de l'étude réalisée par CCM Benchmark. Infographie complète à la fin de l'article. "D’abord elle fait tomber un préjugé persistent qui veut nous faire croire que les hommes sont fâchés avec la mode. C’est faux ! La deuxième chose que nous apprend cette étude, c’est pourquoi les hommes n’aiment pas le shopping (Graphs 9 et 10). - le “fit” des vêtements - et donc le fait de pouvoir essayer les habits avant de les acheter - la facilité de l’achat - la difficulté à trouver ce qui plaît, le monde, le fait de se déplacer sont des freins évoqués - le fait de consacrer peu de temps au shopping (en ligne ou en magasin, le temps revient comme un désagrément majeur) Enfin, on comprend que les hommes n’ont pas complètement confiance en eux pour le choix des vêtements.
Mobile Payments Fuel Starbucks Growth Starbucks reported a strong Q2 performance, with revenue up 11 percent, a 23 percent increase in quarterly profit. Mobile payments were a particularly strong performer for the company, contributing 15 percent of total quarterly revenue. In a call with investors, CEO Howard Shultz said Starbucks processed 6 million mobile transactions per week in the U.S. during the quarter that ended June 29. The company also tipped its hand slightly about forthcoming technological advances coming to consumers via the mobile app. Shultz also credited the mobile application for the strength of the Starbucks loyalty program, which claims nearly 8 million active users in the Unites States. “By integrating mobile loyalty, payment, and in-store digital experiences, we are creating game-changing technologies and experiences for our customers, and the opportunity to introduce new lines of business for our company,” Shultz told investors.
Le jeu sérieux Ludiville en BTS Banque au lycée Maximilien Sorre de Cachan L’expérimentation a été ménée par Wilhem LORDINOT (Enseignant BTS Banque) et Pradeepa THOMAS (Doctorante laboratoire d’informatique à Paris 6 (LIP6), Enseignante BTS Informatique de Gestion) qui sont également les auteurs du compte-rendu. Contexte et mise en oeuvre Le public est composé d’étudiants de BTS Banque en formation initiale au lycée Maximilien Sorre de Cachan (94). 2 groupes d’une dizaine d’étudiants sur une séance de 2h. La partie du référentiel visé concerne les techniques bancaires du marché des particuliers et notamment les besoins de financement. Le thème choisi est les « crédits immobiliers ». La séquence comprend plusieurs objectifs : Utiliser le jeu sérieux dans le cadre de la formation pour compléter les connaissances apportées par le coursAvoir un ressenti de l’enseignant et des étudiants sur ce nouveau dispositif d’apprentissageEvaluer l’évolution des connaissances après l’utilisation du jeu. Les modalités de la mise en oeuvre sont les suivantes : L’avis des étudiants
77% des internautes préparent sur Internet leurs achats offline La France compte 33 millions de cyberacheteurs. Le dernier baromètre Fevad/Médiamétrie illustre combien le numérique s'est infiltré dans les comportements des consommateurs. On dénombrait dans l'Hexagone 33 millions de cyberacheteurs au premier trimestre 2013, soit 5% de plus qu'un an avant, selon le 9ème baromètre Fevad/Médiamétrie sur les comportements d'achats des internautes. Le premier univers d'achat en ligne est le tourisme : 6 internautes sur 10 ont acheté un voyage ou un billet de transport sur Internet lors des 6 derniers mois. Le panier moyen de l'e-commerce s'établit au premier trimestre à 90 euros mais varie significativement selon les secteurs. Enfin, Internet a fini de s'intégrer au parcours d'achat.
Le prêt-à-porter masculin adopte une stratégie d'hypersegmentation Flambée des matières premières, hausse des salaires de la main-d’œuvre chinoise, arbitrages des ménages défavorables aux dépenses d’habillement… : les distributeurs de prêt-à-porter pour hommes sont soumis à rude épreuve. Les perspectives de croissance de la consommation de vêtements pour hommes s'établiraient néanmoins à + 1 % à l'aube 2013 après un recul de 0,5 % prévu cette année. Les chaînes spécialisées (Célio, Jules, etc.) sont de plus en plus concurrencées par l'arrivée d'opérateurs étrangers spécialistes du PAP mixte comme Uniqlo, Abercrombie, etc. Les véadistes reculent et la GSA regagne un peu de terrain avec des marques propres dynamiques et davantage stylisées. C'est notamment le cas de Tissaïa chez Leclerc. Seuls les grands magasins se distinguent par leur dynamisme, en particulier grâce à un bel effort de montée en gamme et à un repositionnement très tendance (comme l'espace Homme du Printemps ou du BHV Hommes).
Les nouvelles stratégies du multi-canal Le multi-canal est l’accès à la même information, sur plusieurs canaux de communication : je veux consulter mes comptes bancaires. Je peux en disposer sur un distributeur de billets, à l’agence auprès de mon conseiller clientèle, sur le portail internet de ma banque, etc… L’arrivée des nouvelles technologies apporte de nouveaux modes de relation, sur ces différents canaux ( smarphone, internet , téléphonie … ). Multi-canal, cross-canal, trans-canal, omni-canal, voilà les nouveaux concepts clés de l’entreprise. Prospective, et analyse ! L’homme est déjà multi-canal. Le multi-canal est une notion apparue avec la technologie d’internet, dans le marketing et le monde de l’entreprise. La tendance s’est accélérée depuis 2012, comme le montre le graphe des tendances de Google. Lorsqu’on parle de canal, on parle de canal de distribution : Le canal de distribution est la matérialisation du chemin suivi par un bien de son producteur au consommateur. L’homme en ce sens est intrasèquement muli-canal :
Les dépenses des Françaises en vêtements et... - Textile, habillement Les Françaises continuent à aimer la mode. Tel est le premier enseignement de l'étude réalisée par l'Ifop pour la Fédération française du prêt-à-porter féminin : 80% des quelque 1000 femmes de 15 à 65 ans interrogées en ligne début mai par l'institut estiment que faire du shopping est un plaisir. Un plaisir plutôt égoïste puisqu'elles sont aussi 70% à déclarer que la mode, c'est d'abord pour se faire plaisir à soi-même. Si elles estiment que ceux qui font la mode aujourd'hui sont les célébrités (citées par 45% des sondées), devant les médias (35%), les marques de prêt-à-porter (33%) et les créateurs et couturiers (30%), elles trouvent d'abord l'inspiration pour leurs achats auprès des personnes du quotidien (48%), des marques de prêt-à-porter (43%), d'internet (20%) et des médias (16%). Ne pas bouder son plaisir En moyenne, les Françaises dépensent 63€ par mois en articles de mode, un budget moyen qui grimpe à 72€ chez les 15-24 ans et les 35-44 ans. Simple et efficace
Distribution : les défis de l’omni canal - Marketing Professionnel - Marketing professionnel – Le marketing pour les professionnels La distribution en point de vente vit actuellement une phase de mutation comme elle n’en a probablement pas vécu depuis les années 70 avec l’essor de la grande distribution. En une décennie, le E Commerce tend aujourd’hui à représenter en moyenne 7 à 15% du chiffre d’affaire des marchés développés des biens de consommation, Il représente 37 milliards € en 2011 en France. Surtout, il s’agit d’un levier exceptionnel de croissance : +22% en 2011 par rapport à 2010 en France. A tel point que de nombreux leaders sont issus du E Commerce : AMAZON ou ITUNE dans la distribution de biens culturels, CDISCOUNT dans la distribution de produits bruns, FREE dans la téléphonie et SNCF dans l’industrie du voyage … Les distributeurs historiques font donc face à des concurrents puissants dont le business model implique en sus une adaptation rapide de leur part. Appréhender l’innovation A ce jeu, le point de ventes physiques est redéfini. Les nouveaux défis de la distribution
cours en e-marketing en libre accès cours en marketing digital en libre accès Cours en marketing digital en libre accès <A HREF=" Amazon.fr</A> Voici quelques uns de mes cours en e-marketing (marketing digital) faits en 2012, 2013 et 2014 au CNAM. Le premier cours est un cours d'introduction sur la e-publicité et les tendances du marché : internetsupportpublicitaire.pdf Le deuxième cours parle de SEO et de SEM : le-seo-et-le-sem.pdf Le troisième cours traite du marché du Search : lemarchedusearch.pdf Le quatrième cours est un focus sur le display : display2011.pdf Nous avons également parlé d'e-mailing : l-e-mailing.pdf mais aussi d'achat sur Facebook ou Twitter : la-publicite-sur-facebook-et-twitter.pdf et de transmédia, crossmédia bref de communication 360 degrés : du-cross-media-au-trans-media.pdf ou de marketing à la performance : Blog
«Omnicanal» et Click & Mortar: Les nouveaux relais de croissance Dans cette tribune, Luc Romano, Président Directeur Général d’Addonline, explique que la Distribution doit glisser vers un modèle « omnicanal ». De ce point de vue, le secteur a quelques points communs avec le Tourisme. Luc Romano, PDG d'Addonline Développer son activité commerciale est un enjeu-clé pour l’ensemble des acteurs économiques. Dans ce contexte, les entreprises et notamment celles de la distribution innovent en permanence pour proposer des services à valeur ajoutée à leurs clients et étendre leur zone de chalandise naturelle qui se limite à leurs points de vente. Il semble désormais que les commerçants aillent plus loin en abordant la notion de « omnicanal ». Qui ne s’est jamais rendu dans une boutique physique suite un problème lié à une commande Web et s’est vu répondre « Désolé, c’est une commande Internet, nous ne pouvons rien faire « . L’approche humaine est également un enjeu stratégique.
Comment utiliser les réseaux sociaux pour séduire les consommateurs ? Petit à petit, les réseaux sociaux prennent leur place dans les stratégies de relation client multicanal. D'ailleurs, selon la deuxième édition de l'étude Social media attitude du SNCD, ils s'imposent devant le téléphone et le courrier dans la hiérarchie des canaux de relation avec la marque suite à l'achat. D'où l'intérêt de soigner sa présence sur Facebook ou Twitter. 1-Définir les objectifs à atteindre Y aller, certes, mais pour dire quoi ? 2- Se lancer et communiquer Ouvrir une page sur Facebook ou un compte Twitter est à la portée de chacun. 3- Créer une dynamique virale Même si la course aux fans n'est pas une fin en soi, atteindre un certain niveau d'adhésion est nécessaire pour créer une communauté. " L'attachement se nourrit de la capacité de la marque à être cohérente sur tous les points de contact ", précise Philippe Masseau. 4- Animer les espaces sociaux Faire du social media marketing implique un minimum d'organisation. 5- Analyser les conversations