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Fonctionnement de la serre bioclimatique - Florévie

Fonctionnement de la serre bioclimatique - Florévie
Au nord de la construction, un talus [1] et un toit végétal [2] la protégeront du froid. Au dessus des bardeaux de bois continueront la couverture du toit [3]. Au sud des nattes de roseaux ou de brandes limiteront l’ensoleillement sur la façade durant l’été [4]. L’eau de pluie sera récupérée pour l’arrosage et les besoins de la spiruline [5]. L’énergie électrique produite par une éolienne et des photopiles sera stockée dans des batteries remisées dans une pièce à part servant d’espace tampon [6]. Le rayonnement solaire, qui entrera dans la serre à travers de larges ouvertures pratiquées dans le toit côté sud, se reflètera sur la face interne du toit très bien isolé [7]. La façade sud du bâtiment consistera en une double paroi de tôles ondulées transparentes entre lesquelles on insufflera le soir des billes de liège pour la rendre isolante [9]. Related:  Agriculture urbaine

Expandable Hydroponics System from Junk - Flood and Drain I have been messing around with hydroponics on NO budget and HATE throwing otherwise useful things in the garbage, so being both cheap and EXTREMELY LAZY (I call it efficient), I decided to break a nail and this is what I came up with. I've learned first hand and read that the most unreliable, but seemingly necessary piece of equipment in most systems is the water pump. If you want something reliable, you are going to have to spend money and be prepared to maintain the pump and nutrient delivery system. Too much work for a potentially catastrophic failure if you ask me. I found inspiration in an instructable that I can't seem to find any more. The air pump has become a staple component in most systems for various reasons. Next, the system had to be sort of "free",so this meant parts that are common, cheap or reclaimed.

ouest-france Entretien Gilles Perole, adjoint au maire de Mouans-Sartoux (Alpes-Maritimes). Vous présentez votre expérience à Nantes. Où en êtes-vous ? Nous avions, dans notre Agenda 21 pour la préservation de l'environnement, un projet d'autosuffisance alimentaire, en tout cas pour les légumes servis à la cantine. Quels bienfaits en tirez-vous ? C'est un cercle vertueux. Vous avez aussi, pour cela, lutté contre le gaspillage ? Tout va ensemble. Par exemple ? Servir des produits de saison, arrêter de concevoir les menus à l'année. Préempter des terres constructibles, c'était difficile ? Bien sûr car la pression foncière est un enjeu fort sur la Côte d'Azur. Ce modèle est-il reproductible ? Sans doute, d'autant qu'on n'est pas obligé d'installer une régie : on peut passer un simple contrat avec des agriculteurs locaux. Béatrice LIMON.

Une régie municipale agricole pour alimenter la restauration scolaire solution Communale proposée par Commune de Mouans-Sartoux 3 questions à : Gilles Perole, Adjoint au Maire délégué à l’enfance et à l’éducation de Mouans Sarthoux 1/ Quel a été l’impact de la campagne « My positive impact » sur votre initiative ? Très sincèrement, depuis sa mise en place en 2011, notre initiative de régie municipale dédiée à la production d’aliments biologiques pour les cantines scolaires était déjà souvent médiatisée… Mais nous avons été heureux de figurer dans la liste des actions retenues par la Fondation, car nous pensons que cela peut contribuer à alimenter le débat sur ces questions d’alimentation locale, biologique et saine et surtout, donner envie à d’autres collectivités locales de faire comme nous. 2/ Qu’est ce que cette campagne a changé pour vous ? Cette campagne nous questionne sur la façon de dupliquer cette initiative dans d’autres territoires. 3/ Qu’attendez vous d’une médiatisation pour votre action ? Résumé de la solution

Et si on aménageait des fermes dans nos villes ? Du basilique pousse dans The Plant, une ferme urbaine à Chicago (Plant Chicago, NFP/Rachel Swenie) Au sud du quartier berlinois de Tempelhof, à Berlin, entre un magasin Ikea et une voie rapide, se trouve la Malzfabrik. Cet imposant complexe de briques rouges, construit en 1914, a longtemps abrité une malterie. Aujourd’hui, start-up et entreprises de design ont remplacé la production industrielle. Et d’ici la fin de l’année, on y cultivera même courgettes, tomates et salades. Une ferme de 1 800 m2 en pleine zone industrielle berlinoise, c’est le projet de l’entreprise ECF fondée début 2012 par trois trentenaires, Christian Echternacht, Karoline vom Böckel et Nicolas Leschke. « Nous serons au plus près des consommateurs. Making of Cet article a d’abord été publié dans le numéro 6 de Socialter, « le magazine de l’économie nouvelle génération ». Christian Echternacht et ses acolytes veulent changer cela. « L’agriculture urbaine est une vraie tendance. Les fermes urbaines, un bon complément

L'urbaculture, nouveau territoire des villes modernes Réagissez : Partagez : Le chiffre est significatif : 200 000. Le mot « urbaculture », s’inspire du mot permaculture. Mais que désigne-t-il ? L’urbaculture : une démarche empirique, mais pas une science L’urbaculture ne peut pas être considérée comme une science, dans la mesure où elle ne s’appuie pas sur la méthode scientifique. Le permaculteur Bob Hopkins initie en 2005, le mouvement des villes en transition qui change l’échelle de la réflexion. Mais Hopkins l’a élargi à la ville, cherchant, face à la double menace du pic pétrolier et du dérèglement climatique, à créer des communautés résilientes. L’immeuble : lieu de prédilection à venir ? La maison individuelle entourée d’un jardin n’est plus le lieu de vie de la grande majorité des citoyens. L’exode rural et l’augmentation des populations se sont conjugués pour que la majorité des populations vivent aujourd’hui dans le monde urbain, dans des ensembles collectifs : les immeubles.

Un manuel de 1944 pour révolutionner l’agriculture citadine – Toutvert Il serait impensable, en 2014, d’imaginer pouvoir apprendre de nouveaux savoir-faire agricoles, permettant d’obtenir des récoltes prolifiques sur de petites surfaces, ou des légumes mûrs en avance sur leur saison, par exemple ? Et pourtant, un ouvrage intitulé Manuel pratique de la culture maraîchère de Paris publié il y a 170 ans par J. G. Moreau et J. A LIRE ÉGALEMENT : Comment soutenir les semences libres en 4 actions ! Réédité en 2010, le Manuel en question est passé dans le domaine public il y a peu, et est désormais disponible gratuitement et téléchargeable en ligne. Cet ouvrage, établi comme un transfert de savoir-faire à « leurs enfants et aux jeunes jardiniers-maraîchers » notent les deux auteurs, a notamment été l’une des inspirations d’Eliot Coleman, agriculteur et chercheur américain, considéré comme le pionnier de l’agriculture bio aux États-Unis, et également le maraîcher parisien Louis Savier. A LIRE : Connaissez-vous l’agriculture biodynamique ?

Jardins, débrouille, partage : comment Detroit redémarre Faillite. Le mot a été lâché la semaine dernière. Sous le poids de ses 18,5 milliards de dollars de dette (14 milliards d’euros), l’ancien bastion de la construction automobile américaine a touché le fond. A Detroit, les retraités craignent désormais pour leurs pensions, les salariés municipaux pour leurs emplois. Terra eco : Alors que Detroit vient de se déclarer en faillite, vous parler de « destruction créatrice », qu’entendez-vous par là ? Flaminia Paddeu : Detroit est souvent présentée comme « la tête d’affiche de la décadence urbaine » ou comparée à la Nouvelle-Orléans après Katrina, sans l’ouragan. Sans compter l’agriculture urbaine... C’est une des manifestations les plus visibles de ce mouvement multiforme. Le protection de l’environnement est-elle au cœur de cette démarche ? Aujourd’hui, c’est le cas. A Detroit, le terreau est-il particulièrement fertile pour de telles initiatives ? Certainement. Peut-on parler de l’émergence d’un nouveau système ? Une forme d’altermondialisme ?

Et la friche urbaine devint jardin partagé... Dans le 18e arrondissement de Paris, une friche coincée entre deux immeubles sert de dépotoir depuis vingt-cinq ans. Une action a été menée pour l’investir, avec le rêve d’en faire un lieu par et pour les habitants du quartier. Un dentier, une guitare, des compteurs électriques, des pièces de monnaies de Nouvelle-Calédonie, des bouteilles aux contenus de toutes sortes, deux matelas…. Reflet de notre société de consommation et du tout jetable, la biodiversité de la friche urbaine du 71 rue Philippe de Girard dans le 18e était assez loin de celle que l’on pouvait imaginer dans pareil lieu… Depuis plus de 25 ans, cet interstice aux belles proportions – un peu moins de 200m² – fait partie de la vie quotidienne du quartier et des riverains. - La friche avant « Vous faites quoi Monsieur ? Voilà qui ne va pas de soi pour le collectif de citoyens qui a investi dimanche 22 juin la petite friche. - ... et après

Japon : Toshiba va vendre des légumes fabriqués dans une usine Connu pour ses appareils électroniques ou ses réacteurs nucléaires, le conglomérat industriel japonais Toshiba va maintenant faire parler de lui dans le monde de... l'agriculture. Il vient en effet d'annoncer ce jeudi qu'il allait vendre des légumes fabriqués en usine. «Nous allons donner une nouvelle dimension à notre division de soins sanitaires», a expliqué Toshiba dans un communiqué. Toshiba, qui est aussi un spécialiste des équipements médicaux et gère son propre hôpital à Tokyo, veut, dit-il, contribuer à maintenir les hommes en bonne santé. C'est ainsi que Toshiba est en train d'équiper une usine inutilisée dans la banlieue de Tokyo pour la doter «d'éclairages fluorescents spéciaux optimisés pour la croissance des végétaux, d'un air conditionné qui maintient toujours la même température et un degré d'humidité constant, d'un dispositif de surveillance de l'état physique des plantes et d'équipements de stérilisation pour l'emballage des produits».

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