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La photographe était une femme – Sexisme ordinaire

La photographe était une femme – Sexisme ordinaire
EDIT le 10/01/13 : Merci à Ourageis13, qui a bien voulu me donner la parole suite à cet article. Questions pertinentes de Molly Benn, réponses le nez dans mon grog, et reportage au salon de la photo. Avant tout, soyons clairs : J’adore mon métier. Aujourd’hui donc, je vais me plaindre. Je vous aurais bien parlé des difficultés de la vie de freelance, de la concurrence déloyale des amateurs (pas toujours très éclairés), des clients qu’il faut harceler pour qu’ils vous paient enfin, des demandes de retouches supplémentaires complètement délirantes (à ce stade-là, faites de la modélisation 3D directement, les mecs…), de ceux qui refusent de payer pour des photos, de ceux qui demandent des devis avant d’apprendre qu’ils n’ont en fait pas de budget du tout, de ceux qui s’offusquent que je ne travaille pas contre simple mention du copyright (rendue obligatoire par la loi, rappelons-le), de ceux qui voudraient qu’on leur rende les photos retouchées avant même qu’elles soient prises… BREF.

Je voudrais parler à UN technicien… L’histoire qui suit m’est arrivée il y a quelques années. Petit placement de contexte : à l’époque j’étais formateur / consultant pour une grosse boite de télécommunication, et je supervisais des call center chez des partenaires. Une grosse partie du job consistait à aider la montée en compétence des employés de la hotline. Ce jour là je faisais du tutorat avec une jeune femme sortie tout juste de formation et qui prenait ses premiers appels. C’était sa première expérience professionnelle, elle avait peu de qualifications et nous étions dans un bassin d’emploi totalement sinistré. En clair ce job était une grosse opportunité pour elle et elle se mettait une pression de dingue. Au bout d’un moment, mon élève tombe sur un chef d’entreprise au langage châtié qui après lui avoir demandé si il était bien au standard insiste pour « parler à UN technicien ». Je lui ai donc demandé de dire à ce client qu’il allait être rappelé d’ici 20 min. Édité par Mar_Lard

Crêpe Georgette - Etre une des seules femmes au bureau : « Le premier jour, on te fait des blagues de cul » « Je peux voir le dossier ? – Ça dépend, combien tu prends ? » Voilà un échange que ni Sophie ni Gwen ne sont plus étonnées d’entendre au bureau. Gwen est technicienne de support, Sophie est développeuse web. Elles témoignent toutes les deux d’une ambiance « potache » où familiarités et blagues salaces font partie du quotidien. « Dès le premier jour, on te fait des blagues de cul. Les dossiers ? Pour Sophie ça va plus loin. Cette atmosphère est pesante pour celles qui la subissent et pour ceux qui en sont témoins. Certaines changent de branche pour ne plus subir ces comportements. « Pourquoi on s’emmerderait à rester dans un milieu qui veut pas de nous ? La rabat-joie de l’équipe Si elle tient pour l’instant, c’est grâce à son fort tempérament. Gwen a pris le parti d’être la rabat-joie de l’équipe. « Quand on est une femme et qu’on veut se faire respecter, ça passe mal. » Sophie, elle, en a parlé à sa direction et a découvert qu’elle n’était pas la seule à être dérangée.

Commando Culotte || le blog de Mirion Malle: novembre 2013 (RAH ! Je ne sais pas pourquoi Blogger me diminue légèrement la taille de mes images à chaque fois, j'espère que c'est lisible malgré tout) J'ai fait cet article après avoir lu une énième interview, entendu une énième blague ou remarque qui disaient que les filles n'étaient pas drôles, et où cette petite idée sournoise était tranquillement, bien à l'aise, accueillie par des rires et des approbations. Et j'en ai eu marre, marre d'entendre ça sans cesse par des gens qui croient que c'est un peu rebelle cool trop politiquement incorrect de dire ça, sans réaliser que c'était relayé par 90% des gros nuls. Oui, il y a des filles qui ne sont pas drôles tout simplement parce qu'elles n'y arrivent pas, qu'elles n'ont pas le talent, et des filles pathétiques à l'humour gênant. Mon critère numéro 1 pour choisir mes amis (ex aequo avec "sont-ce des grosses nouilles ?") Maintenant, une petite série de lien à la Marion Montaigne pour vous éclairer davantage si vous le désirer : big bisous belles prunes

La rue, fief des mâles L'espace urbain est ultrasexué, pensé par et pour les hommes. Au point que les femmes érigent des barrières inconscientes et traversent les lieux publics bien plus qu'elles ne s'y attardent. LE MONDE CULTURE ET IDEES | • Mis à jour le | Par Fanny Arlandis Sur le trottoir ou dans le métro, on croise des vieux, des jeunes, des hommes, des femmes. Surtout, contrairement à ces derniers, "les femmes ne font que traverser l'espace urbain, elles ne stationnent pas", explique le géographe Yves Raibaud, coproducteur d'un rapport, en 2011, commandé par la communauté urbaine de Bordeaux. Sifflées, collées, insultées, autant de situations que vivent les femmes dans la rue. Pour la sociologue Marylène Lieber, professeur à l'Institut des études sur le genre, à Genève, les femmes subissent des "rappels à l'ordre sexués, des petits actes qui n'ont rien de grave mais qui leur rappellent sans cesse qu'elles sont des "proies" potentielles dans l'espace public : commentaires, regards soutenus, etc.".

FEMMES FRANÇAISES • Et l’émancipation, bordel ? On les imagine tout à la fois mères épanouies, confortablement épaulées par l’Etat, et femmes actives… Mais, derrière cette image de la Française resplendissante, l’égalité avec les hommes se fait toujours attendre. Quelques semaines après l’accouchement, les jeunes mamans françaises ont droit à des cours de rééducation périnéale totalement remboursés par la Sécurité sociale. Le but ? Derrière le Kazakhstan Grâce à l’Etat, les Françaises semblent avoir tout pour être heureuses : plusieurs enfants, un emploi et, souvent, un corps de rêve. A première vue, si la patrie de Simone de Beauvoir et de Brigitte Bardot ne le cède en rien aux pays scandinaves en ce qui concerne le taux d’emploi des femmes, elle conserve en réalité une mentalité de peuple latin. La France incarne le paradoxe auquel se heurtent de nombreuses femmes des pays industrialisés en ce début de XXIe siècle. Les Françaises font en moyenne 2 enfants, contre 1,5 dans l’ensemble de l’Union européenne. Le mirage de la parité

Global Gender Gap | World Economic Forum - Global Gender Gap The Global Gender Gap Report 2013 The Global Gender Gap Index introduced by the World Economic Forum in 2006, is a framework for capturing the magnitude and scope of gender-based disparities and tracking their progress. The Index benchmarks national gender gaps on economic, political, education- and health-based criteria, and provides country rankings that allow for effective comparisons across regions and income groups, and over time. The rankings are designed to create greater awareness among a global audience of the challenges posed by gender gaps and the opportunities created by reducing them. The methodology and... Post date: October 22, 2013 Five Challenges, One Solution: Women From unprecedented population ageing to increasing unemployment, from global leadership imbalances to persisting conflicts, from resource scarcity to volatile global food supplies, the world faces a series of interconnected challenges. Post date: March 15, 2013 Closing The Gender Gap Post date: March 8, 2013

Mésologie La mésologie est la science des milieux, qui étudie de manière interdisciplinaire et transdisciplinaire la relation des êtres vivants en général, ou des êtres humains en particulier, avec leur milieu de vie. Définitions[modifier | modifier le code] Suivant le sens qu’on donne à « milieu », deux définitions de la mésologie sont possibles : Dans son premier sens, le plus ancien, « milieu » désigne un endroit qui, dans un lieu ou un objet, est également distant de la périphérie ou des extrémités. Ici, le milieu (Umwelt, fûdo) n’est pas le donné environnemental objectif (Umgebung, shizen kankyô 自然環境), mais les termes dans lesquels celui-ci existe pour un certain être (individu, société, espèce…). Corrélativement, la mésologie n’est pas l’écologie. Étymologie et histoire du mot et du concept[modifier | modifier le code] Étymologie[modifier | modifier le code] Mésologie : du grec mesos (milieu ou medium), et logos (discours, étude). Histoire et fortune de la mésologie[modifier | modifier le code]

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