Immortalité, transhumanisme : pourquoi l'intelligence artificielle est un rêve affligeant Le robot italien iCub, qui aide les chercheurs dans le domaine de l'intelligence artificielle, à Lyon, le 19 mars 2013 (L.CIPRIANI/SIPA). Ils rêvent d’un monde où l’humain, trop humain, serait supplanté par sa magnifique création, l’ordinateur... Exit la responsabilité individuelle, la machine aurait le dernier mot. Durant de nombreuses années, l'intelligence artificielle (IA) s'est contentée d'être ce qu'elle est : une technologie. L'ordinateur a été créé par... l'homme ! Il n’empêche. On aurait pu croire que cette vision demeurait l’apanage de la SF, mais pas du tout. Je me souviens d’un débat à la radio où l’on m’a rappelé que Deep Blue – l’ordinateur d’IBM – avait battu Kasparov, le champion d’échecs. Alors oui des programmeurs d’IBM (des humains) ont battu Kasparov (un humain). L'intelligence artificielle, une nouvelle Église Seulement voilà. Le pape du domaine s'appelle Ray Kurzweil, désormais un des hauts penseurs chez Google – lui-même se voit devenir immortel vers 2050.
Intelligence artificielle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Définition[modifier | modifier le code] Le terme « intelligence artificielle », créé par John McCarthy, est souvent abrégé par le sigle « I.A. » (ou « A.I. » en anglais, pour Artificial Intelligence). Il est défini par l’un de ses créateurs, Marvin Lee Minsky, comme « la construction de programmes informatiques qui s’adonnent à des tâches qui sont, pour l’instant, accomplies de façon plus satisfaisante par des êtres humains car elles demandent des processus mentaux de haut niveau tels que : l’apprentissage perceptuel, l’organisation de la mémoire et le raisonnement critique »[1],[2]. On y trouve donc le côté « artificiel » atteint par l'usage des ordinateurs ou de processus électroniques élaborés et le côté « intelligence » associé à son but d'imiter le comportement. Même si elles respectent globalement la définition de Minsky, il existe un certain nombre de définitions différentes de l'IA qui varient sur deux points fondamentaux[3] :
Le scénario prospectif, outil d'exploration de l'intention stratégique ? L’objet de cette communication est de montrer l’intérêt du scénario prospectif comme outil permettant d’explorer l’intention stratégique des acteurs dans un environnement organisationnel ayant subi des ruptures d’ordre sociétal, environnemental, politique... Elle s’appuie sur une étude prospective réalisée en 2006 pour le 3e Programme de Recherche, d’Expérimentation et d’Innovation dans les Transports terrestres (PREDIT), subventionnée par l’ADEME. Cette recherche, destinée à explorer les organisations logistiques du commerce de détail à l’horizon 25-30 ans, nous a permis d’étudier les conséquences potentielles de l’institutionnalisation du développement durable (DD) sur les choix stratégiques des entreprises, à travers les intentions projetées des acteurs en matière de stratégies collectives. 1.2 - La théorie néo-institutionnaliste sociologique (IS) 1.1.1 - Présentation 1.1.2 - Institutions et organisations Schéma 1 - Fondements de l’IS et ses notions-clés Source : Elaboration personnelle.
Définition de l'intelligence artificielle L’ordinateur surclasse déjà depuis longtemps l’humain dans des activités mécaniques comme les calculs numériques, la mémorisation ou les tâches répétitives. Mais, on ne peut pas parler vraiment d’intelligence. Jacques Attali a défini l’intelligence dans une conférence aux côtés du chercheur en IA Jean Ponce “comme la faculté du cerveau humain à faire des liens entre des choses qui n’en avaient apparemment pas”. Les chercheurs en intelligence artificielle tentent à terme de développer – artificiellement donc – cette aptitude. Ils recherchent ainsi des moyens pouvant permettre à l’ordinateur d’accomplir des tâches réalisées par les humains et d’acquérir des capacités intellectuelles comparables voire supérieures à celles de l’homme. Le but des laboratoires en IA est d’accroître les performances de l’ordinateur dans des activités où l’humain réussit normalement mieux.
Corps augmenté : rêve bionique ou cauchemar prométhéen ? Matthew Naggle est un jeune Américain de vingt-six ans qui eut la malchance de recevoir un coup de couteau dans le cou lors d’une vulgaire bagarre de rue. Il resta tétraplégique. Son nom ne demeurera pas dans les annales des innombrables faits divers de ce genre. Il ne s’agit pas de télépathie, mais d’une prouesse technologique dévoilée par la revue Nature du 13 juillet dernier. L’intérêt médical d’une telle expérimentation est immense. Cette nouvelle mérite toutefois qu’on dépasse l’euphorie de la découverte scientifique et médicale, et qu’on s’interroge sur la nature étrange de cette hybridation entre technologies et corps humain. La virtualisation des objets conduit à l’invention de nouvelles modalités pour les définir et les animer, créant ainsi un nouvel espace perceptif où voir, parler, bouger, sentir, ressentir, se déplacer... recomposent la nature même de leurs opérations. L’information numérique, par les langages, était extérieure à l’homme.
Intelligence artificielle Intelligence artificielle L'intelligence artificielle (IA) est un ensemble de théories et de techniques visant à réaliser des machines capables de simuler l'intelligence humaine[1]. Les applications de l'IA comprennent notamment les moteurs de recherche, les systèmes de recommandation, l'aide au diagnostic médical, la compréhension du langage naturel, les voitures autonomes, les chatbots, les outils de génération d'images, les outils de prise de décision automatisée, les programmes compétitifs dans des jeux de stratégie et certains personnages non-joueurs de jeu vidéo[3]. Depuis l'apparition du concept, les finalités, les enjeux et le développement de l'IA suscitent de nombreuses interprétations, fantasmes ou inquiétudes, que l'on retrouve dans les récits ou films de science-fiction, dans les essais philosophiques[4] ainsi que parmi des économistes. Avant les années 2000, d'autres définitions sont proches de celle de Minsky, mais varient sur deux points fondamentaux[7] : — Nick Bostrom
Le transhumanisme: ce qui est possible n’est pas toujours souhaitable | Humanités numériques Sommaire Qu’est que le transhumanisme ? Passage de l’homme au posthumain. État de l’art : aujourd’hui ou en est on ? Qui sont les acteurs du transhumanisme? Innovation très controversée : extrait des arguments des partis Qu’est ce que le transhumanisme ? Dans cette partie je m’attacherais à définir la notion de transhumanisme pour pouvoir ensuite m’intéresser aux problématiques liées à l’intégration du numérique dans le corps humain. « Le transhumanisme est une classe de philosophies ayant pour but de nous guider vers une condition posthumaine. Les transhumanistes s’engagent dans des approches interdisciplinaires pour comprendre et évaluer les possibilités de dépasser les limitations biologiques. Il existe plusieurs sous catégories de courant de pensées dans le transhumanisme. (Schéma de Marc Roux, président de l’association française de transhumanisme, Passage de l’homme au post humain. Sources:
Définition de l'Intelligence Artificielle Auroville Auroville (« la ville de Sri Aurobindo » mais aussi « la ville de l'Aurore »[1]) est une ville expérimentale située à une dizaine de kilomètres au nord de Pondichéry dans l'État du Tamil Nadu en Inde. Elle fut créée en 1968 par Mirra Alfassa (Mirra Richard), plus connue sous le nom de la Mère et compagne spirituelle du philosophe indien Sri Aurobindo. Auroville a pour vocation d'être, selon les termes de sa conceptrice, « le lieu d'une vie communautaire universelle, où hommes et femmes apprendraient à vivre en paix, dans une parfaite harmonie, au-delà de toutes croyances, opinions politiques et nationalités[2],[3] ». Aujourd'hui, les Aurovilliens, issus de cinquante pays, sont organisés en 35 unités de travail : agriculture, informatique, éducation, santé, artisanat, etc. Projet[modifier | modifier le code] Au centre d'Auroville, se trouvera le Matrimandir (« la Maison de la Mère »), considéré par Mirra Alfassa comme l'âme du lieu. L'UNESCO a soutenu le projet depuis le début.
Qu’est-ce qu' une intelligence artificielle?. L'intelligence artificielle : une menace pour les professions intellectuelles ? Pendant très longtemps, ce rêve resta du domaine de la spéculation et fit les beaux jours de la science-fiction et tous les cinéphiles se souviennent du chef d’œuvre de Stanley Kubrick : « 2001 : Odyssée de l’espace » (sorti en 1968) dans lequel HAL, l’ordinateur contrôlant le vaisseau spatial d’exploration, se mettait à éprouver des émotions humaines et à adopter un étrange comportement… En 1950, alors que les premiers ordinateurs sortaient à peine des laboratoires, le génial scientifique anglais Alan Turing imagina, dans la revue Computing machinery and intelligence, un fameux test consistant à confronter un ordinateur et un humain, sans que ce dernier sache s’il avait affaire à une machine ou à un autre être humain. L’idée lumineuse de ce test était que le jour où l’homme ne serait plus capable de savoir, dans une conversation en temps réel non préparée, si son interlocuteur était une machine ou un humain, les ordinateurs pourraient alors être qualifiés « d’intelligents ».
L'intelligence artificielle L’intelligence artificielle ou encore IA, est un ensemble d’algorithmes conférant à une machine des capacités d’analyse et de décision lui permettant de s’adapter intelligemment aux situations en faisant des prédictions à partir de données déjà acquises. L’intelligence artificielle associe les logiciels à des composants physiques (ou « hardware ») qui peuvent être des capteurs, des interfaces pour l’utilisateur… Comment fonctionne le deep learning ? Les chercheurs montrent un très grand nombre d’images ou de données numériques à une machine qui fonctionne à base de réseaux de neurones profonds (c’est-à-dire avec un très grand nombre de couches) en lui fixant un objectif comme « reconnaître un visage » ou « comprendre des panneaux de signalisation » ou « reconnaître un bruit sonore ». En indiquant à la machine quelles sont les données pertinentes pour la requête, les chercheurs lui « apprennent » petit à petit à reconnaître ces informations. Le test de Turing
Au-delà de la loi de Moore ? L'auteur Jean-Paul DELAHAYE est professeur à l'Université de Lille et chercheur au Laboratoire d'informatique fondamentale de Lille (lifl). La formulation la plus courante de la loi de Moore indique que la puissance des dispositifs informatiques (pour un coût donné) double tous les 18 mois. Elle est assez bien vérifiée depuis plus de 40 ans, mais on annonce aujourd'hui que sa fin est proche. Depuis sa formulation dans les années 1960, il y a toujours eu des sceptiques pour mettre en doute sa validité. Les conséquences économiques d'une rupture de la loi seraient graves, tant l'industrie électronique est habituée à ce taux d'accroissement qui lui sert de base pour programmer son développement et décider de ses investissements, au point qu'on a dit de la loi de Moore qu'elle était une prophétie autoréalisatrice. Il est capital de mieux comprendre ces versions généralisées de la loi de Moore dont dépend l'avenir de notre monde. Diverses formulations
Merci, cet article est pertinent. Nous l'avons utilisé pour notre veille. by carolineantoinehn Nov 18