Hôtellerie: «Comment nous avons réussi à nous passer de Booking.com» - News Économie: Entreprises
Ils y ont réfléchi pendant deux ans avant de finalement franchir le pas. Remontés contre les techniques marketing et les clauses tarifaires de Booking.com, Lisa et Louis Papadopoulos ont retiré l’été dernier leur Maya Boutique Hôtel, à Nax (VS), de la plate-forme de réservation en ligne. Ils ne le regrettent pas. «Nous avons maintenu le même taux d’occupation tout en économisant sur le paiement de commissions», se réjouit la propriétaire. La démarche est exceptionnelle dans le secteur, alors même que le mécontentement des hôteliers à l’égard du géant néerlandais est largement répandu. Résistance clairsemée En attendant, la grande majorité des hôteliers garde une présence sur le site. Le Maya Hôtel jouit lui aussi d’un statut particulier. Peu d’hôtels pourraient cependant se permettre de s’affranchir comme eux de la plate-forme, concède Lisa Papadopoulos. «Ne pas dénigrer» Se passer de Booking.com et des autres OTA? Créé: 12.03.2017, 20h10 Votre avis Avez-vous apprécié cet article?
OTA Vs Hôteliers: La vraie menace est Google
Le désormais célèbre débat du TOTEC portait cette année sur la chaîne de valeur de l’hôtellerie. Animé par le rédacteur en chef de Tendance Hôtellerie, Guilain Denisselle, il a réuni Rémi Ohayon, qui représentait le secteur hôtelier, et trois dirigeants : Nicolas Salin, fondateur de VeryLastRoom, Jean-Pierre Nadir, fondateur d’Easyvoyage ainsi que le président d’Ecotour.com, Guillaume Victor-Thomas. Si les OTA sont montrés du doigt par le secteur, et notamment l’UHI, les Pure Players ont mis en avant les faiblesses des hôteliers et désigné une autre menace: Google. « Rouleau compresseur ». « ‘Rouleau compresseur’ est le verbatim que j’ai le plus entendu au cours de mes enquêtes que j’ai menées avant de rédiger mon livre », affirme d’entrée de jeu Rémi Ohayon, entrepreneur, Meilleur ouvrier de France en création de sites Internet en 2011 et auteur d’ « Addi(c)tion, le hold-up des intermédiaires du tourisme en ligne ». « C’est Google le vrai rouleau compresseur »
Les Français et les sites internet dans le tourisme
Oui.scnf, antérieurement Voyages-sncf, a fait réaliser par CSA Research une étude sur les Français et les sites Internet dans le tourisme (e-tourisme). Ce travail a été présenté en avant première à Oui Work, le lieu éphémère de Oui.sncf. On y apprend plusieurs données de cadrage sur les pratiques des Français en matière de numérique et plus particulièrement dans le domaine du tourisme (méthodologie : échantillon représentatif de 1 004 Français âgés de 18 ans et plus). La réservation de voyage est la première pratique d’achat en ligne des Français L’hébergement est en effet ce qui est le plus acheté en ligne suivi de la mode et des produits culturels. Les produits achetés en ligne par les Français Le nombre de sites internet dans le tourisme connus (notoriété assistée) par les Français est de 14,6 sites Internet. Les Français à la recherche d’un accompagnement en ligne plus poussé ? Le prix reste demeure un facteur essentiel pour la réservation en ligne
IV. Les chaînes d’hôtels misent sur la fidélisation et déclarent la guerre aux OTA
Les habitudes des consommateurs évoluent vers des réservations faites à la dernière minute, voire même pendant un voyage. /photo dr Alors que l’application d’Expedia a été primée meilleure application pour tablette dans la catégorie E-Commerce lors du Trophée des Apps le 14 octobre dernier, les grandes chaînes hôtelières se donnent aussi les moyens de leur ambition. Bien qu’Expedia propose un accès à 220 000 hôtels dans le monde entier, comprenant des hôtels indépendants et les plus grandes chaînes hôtelières, ces dernières ont pris les « armes technologiques » pour rentrer dans la bataille de la distribution. Avoir la politique de ses moyens Autres articles Devant la puissance des agences en ligne, les partenariats avec les hôteliers revêtent un caractère de plus en plus autoritaire, débouchant souvent sur une fuite des clients vers les OTA. Le mobile, un canal en plein essor Pour cela, une stratégie multi-canal s’impose. 56% du CA de Best Western réalisé via la distribution online
Visiteurs : "L’agence de voyages traditionnelle a de l'avenir"
Que motive encore les clients à pousser la porte d'une agence de voyages ? © Production Perig - Fotolia.com L’interrogation est légitime, car le consommateur dispose d’absolument tous les moyens pour acheter lui-même son voyage. Pourtant, si la distribution souffre, certains acteurs de cette profession affichent chaque année des résultats qui restent probants. Mieux encore Patrice Arezina, le directeur des ventes et marketing du TO Visiteurs, clame : « l'agence traditionnelle a de l'avenir ! Service, réassurance et immédiateté Autres articles i-tourisme : Vous déclarez que l'agence, dite traditionnelle, a de l'avenir. i-tourisme : Ça marche ?
D’où viennent les réservations directes ?
9 décembre 2013 par WIHP - Mots clés : wihp - OTA - (note moyenne pondérée par le nombre de votes) Contenu publié sous la responsabilité de l'annonceur Grâce à un sondage réalisé auprès de 15.000 clients d’hôtels ayant réservé directement sur des sites d’hôtels au second trimestre 2013, nous avons analysé les sources de réservations directes sur le propre site Internet des hôtels. Ces résultats additionnés à ceux des deux années précédentes permettent d’avoir une vue générale des 40.000 clients interrogés et reflètent un panel intéressant des clients de nos clients.. Les résultats de l’étude Sources de réservations directes 2011 - 2013 En voici les tendances : En 2011, le bouche à oreille entre amis et familles était la source numéro un des réservations directes. Conclusions de l’étude Une des raisons qui a fait que l’impact des OTAs sur les réservations directes a diminué avec le temps est que les OTAs se sont améliorés. C’est en amont des OTAs que TripAdvisor permet d’agir.
» Les agences de voyages traditionnelles ont encore la cote pour les croisières!
Dans l’industrie des croisières, le réseau de distribution joue un rôle primordial et le taux de pénétration des réservations en ligne est plutôt faible comparativement aux autres secteurs du voyage. L’arrivée d’Internet a changé la donne, mais sans révolutionner les façons de faire. Si bien qu’en 2010, seulement 9% des revenus totaux liés au produit croisière étaient attribuables aux ventes en ligne. Les agences traditionnelles conservent une position de force, ayant généré 72% de l’ensemble des ventes de croisières aux États-Unis. Qui sont les joueurs concernés? De nombreux acteurs prennent part à la vente de ce produit auprès des clientèles. Source : Cruiseone.com Source : Voyagesbergeron.com Finalement, les compagnies de croisières effectuent elles aussi des ventes directement auprès de leur clientèle. Le consommateur a donc l’embarras du choix lorsque vient le temps de réserver son forfait. Les réservations en ligne par rapport à celles effectuées dans les agences traditionnelles
11% des vacanciers utilisent les services d’une agence de voyages traditionnelle
Selon une étude d'Oney/CSA, filiale monétique du groupe Auchan, qui lance son 1er cahier de tendances portant sur l’expérience de consommation des Français pour les vacances d’été; 11% des vacanciers utilisent les services d'une agence de voyages traditionnelle. "Le magasin physique n'est pas mort".Oney, filiale d'Auchan, a tenu à étudier le parcours d'achat des Français pour les vacances d'été. Outre que les agences de voyages attirent 11% des Français pour l'organisation de leurs vacances d'été, on peut aussi noter quelques autres chiffres significatifs : 40% réservent directement sur le site Internet d'un prestataire dont un quart via des plateformes comme Opodo ou Expedia. 90% des Français restent connectés pendant leurs vacances, 79% privilégient la carte bleue pour régler leurs dépenses durant leur séjour et la moitié donne ensuite leur avis sur Inernet.