Protection des données personnelles : l'UE s'oriente vers des sanctions 01net le 22/10/13 à 09h04 Les propositions de Viviane Reding ont été approuvées à 49 voix contre 1. Prism a réveillé les Européens sur la nécessité d'avoir des règles fortes et strictes », avait déclaré la commissaire européenne chargée de la Justice, Viviane Reding en juillet dernier. Elle avait raison. Le texte, approuvé lundi soir par la commission des Libertés publiques du Parlement européen par 49 voix contre 1, soutient et renforce les propositions formulées par Viviane Reding, pour contrôler les transferts de données personnelles des citoyens de l'UE et sanctionner les mauvais usages. Le texte doit encore être approuvé par un vote en séance plénière lors d'une prochaine session du Parlement, mais la commissaire européenne s’est félicitée de ce soutien : « A une très large majorité, la commission des Libertés publiques du Parlement européen a adressé un fort signal : à compter d'aujourd'hui, la protection des données est une affaire européenne ». Des amendes dissuasives ?
Ce que les communautés créatives ouvertes tendent à oublier à propos des licences libres Les licences libres existent pour protéger l’utilisateur final, et non les auteurs. Le droit d’auteur sur-protège déjà les auteurs. Une bonne licence pour une communauté créative ouverte est une licence qui vise à protéger les utilisateurs *des* contributeurs, et non à protéger les contributeurs des utilisateurs. Car, au bout du compte, celui qui a tous les pouvoirs, c’est l’auteur. En plaçant une œuvre sous une licence libre, un auteur choisi volontairement d’accorder une protection large et permanente à l’utilisateur, contre les droits de l’auteur lui même. C’est la raison d’être de la la GPL. Ce superbe cadeau des auteurs entraine un cercle vertueux : une large utilisation, de nouvelles contributions et des écosystèmes florissants. Pensez à la manière dont un utilisateur du noyau Linux, ou de la librairie jQuery, ou de Wikipedia, est protégé des décisions arbitraire de leurs (d’abord unique puis nombreux) auteurs. La peur des usages (principalement, commerciaux) abusifs
Les MOOCs à la française laisseront-ils de côté l’ouverture juridique ? MOOCs : c’est sans doute le mot qui a le plus agité la sphère de l’enseignement en France depuis la rentrée et avec le lancement de la plateforme FUN (France Université Numérique) ce mois d’octobre, le gouvernement a montré sa volonté de donner un coup d’accélérateur au développement des cours massifs en ligne dans les universités françaises, afin d’essayer de rattraper le retard face aux États-Unis. On assiste donc à l’éclosion d’une multitude de MOOCs francophones et ce mouvement devrait s’intensifier dans les mois à venir. Michel Briand sur la page "Autour des MOOCs" qu’il entretient dénombre déjà plus de 70 cours en ligne, ouverts ou annoncés. Le potentiel disruptif des MOOCs soulève bien sûr beaucoup de questions, que ce soit au niveau des technologies mises en oeuvre, de l’impact sur les pratiques pédagogiques ou des conséquences économiques. Le point clé de l’acronymie des MOOCS réside dans le "O" de Open. Flou juridique dans les conditions de réutilisation Like this:
Défense et illustration de la clause non-commerciale Depuis le mois d’avril 2012, la fondation Creative Commons International a annoncé qu’une nouvelle version de ses licences (la 4.0) allait être publiée et un appel à commentaires a été lancé pour inviter la communauté à participer à la réflexion. Des modifications importantes sont envisagées, comme le fait de globaliser les licences pour ne plus avoir à les adapter pays par pays, en fonction des législations nationales. Mais c’est une autre question qui s’est imposée dans les discussions : celle de la conservation ou non de la clause Non Commercial – Pas d’Utilisation Commerciale (NC). Quentin Metsys. Il s’agit à vrai dire d’un vieux débat qui divise le monde du libre depuis des années. Si l’on en croît le graphique ci-dessous, publié par Creative Commons dans la brochure The Power of Open, l’option NC est retenue par une majorité d’utilisateurs : 60% sur les quelques 450 millions d’oeuvres placées sous licence Creative Commons. Le faux argument du flou juridique Grey Slate 2. WordPress:
John McAfee: Addict, coder, runaway 11 October 2013Last updated at 21:00 GMT By Leo Kelion Technology reporter Who is the real John McAfee? He's the man who went on the run after his neighbour was found dead, face-up, with a bullet in his head. He's the man who jump-started the multibillion-dollar anti-virus industry. Within tech circles he's long been a legend. He tells the BBC he had "no connection whatsoever" with his neighbour's death. Back in the US, after posting footage of young female "friends" stroking his naked tattooed torso, he now plans to neutralise the NSA's cyber-surveillance system. It might suggest a crazed, perhaps even deranged, personality. John McAfee returned to the US last December after being released from a Guatemalan jail "I've been called paranoid, schizophrenic, the wild child of Silicon Valley," McAfee acknowledges. But he has a different perspective: "I'm an entrepreneur. "We're missing that. So, who is the real John McAfee? Addicted and expelled Continue reading the main story “Start Quote
Comprendre l'omc - ADPIC À l’origine: nécessité d’une intégration dans le système commercial fondé sur des règles haut de page Les idées et les connaissances représentent une part de plus en plus importante du commerce. La valeur des médicaments nouveaux et d’autres produits de haute technicité tient surtout aux efforts d’invention, d’innovation, de recherche, de conception et d’essai nécessaires à leur fabrication. Les films, les enregistrements musicaux, les livres, les logiciels informatiques et les services en ligne sont vendus et achetés pour l’information et la créativité qui y sont incorporées, et non, en général, pour les matières plastiques, les métaux ou le papier utilisés dans leur production. Les créateurs peuvent obtenir le droit d’empêcher que d’autres utilisent leurs inventions, dessins et modèles ou autres créations, et utiliser ce droit pour négocier une rémunération en contrepartie de leur utilisation par des tiers. Le Cycle d’Uruguay a permis d'obtenir ce résultat. Droit d’auteur haut de page
Quand l'ordinateur nous fait attendre Quand l'ordinateur nous fait attendre 120 heures par an, soit presque 5 jours sur une année, passés devant un ordinateur à attendre. Voilà les joies de la vie moderne. Tout le monde connaît ça : un ordinateur qui prend son temps pour s'allumer ou pour s'éteindre, un programme qui se lance à la vitesse de l'escargot comme si on n'avait que ça à faire dans la vie que de regarder l'écran vide ou encore des fichiers qui mettent un temps fou à se transférer d'un support à un autre. En France, le temps d'attente moyen lors du démarrage de l'ordinateur serait d'environ 11 minutes. Stress Que se passe-t-il quand on en a marre d'attendre le bon vouloir de l'ordinateur ? Temps de travail perdu Le problème n'est pas nouveau. Alors que faire ? Lenteurs en série Le meilleur dérivatif reste donc la machine à café pour passer le temps.
Licence libre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. usage de l'œuvre ;étude de l'œuvre pour en comprendre le fonctionnement ou l'adapter à ses besoins ;modification (amélioration, extension, transformation) ou incorporation de l'œuvre en une œuvre dérivée ;redistribution de l'œuvre, c'est-à-dire sa diffusion à d'autres usagers, y compris commercialement. Ces libertés peuvent être soumises à conditions, notamment l'application systématique de la même licence, ou d'une licence prodiguant les mêmes droits aux utilisateurs, aux copies de l'œuvre et aux œuvres dérivées : un principe nommé copyleft. Lorsqu'une œuvre est sous licence libre, on parle alors d'œuvre libre. Définition[modifier | modifier le code] Une licence libre est un contrat juridique qui confère à toute personne morale ou physique, en tout temps et en tout lieu, les quatre possibilités suivantes sur une œuvre : Pourquoi « Open Data » « Open Source » ou « Open Standards » ? Confusions courantes[modifier | modifier le code]
Lavabit Le FBI fait fermer une société en lui récupérant sa clé de chiffrement Le FBI fait fermer une société en lui récupérant sa clé de chiffrement Publié le 03-10-2013 à 19:35:48 dans le thème Anonymat Pays : Etats-Unis - Auteur : La rédaction Pub : Tous les logiciels antiphishing gratuits disponibles sur Internet Depuis 10 ans, le site Internet Lavabit permettait de chiffrer ses informations. Aux USA, cette loi vient de tuer le projet Lavabit. Ladar Levison a reçu, en juillet, une demande de la justice américaine pour tracer l'adresse IP d'un utilisateur Lavabit. Tweet Derniers contenus Fuite de données chez SEDO 16-04-2014 à 01:28 - 0 commentaire(s) La premiére plate-forme mondiale d'achat et de vente de noms de domaine aurait été en partie visitée. Jackpot via un cheat code 16-04-2014 à 01:04 - 0 commentaire(s) A partir de manipulations de touches, des amateurs de casinos raflent 10 millions d'euros. Sur le même thème : Anonymat Peersm, le P2P sécurisé HackNowLedge Contest : direction Las Vegas