background preloader

Dormir permet au cerveau de se nettoyer

Dormir permet au cerveau de se nettoyer
Related:  zigue

Neurones miroirs (I) Une découverte monumentale mais ignorée En 1996, Giacomo Rizzolatti, neurologue de l’Université de Parme, fit la surprenante découverte des neurones miroirs. Une découverte qui, bien que très peu connue du grand public, pourrait être à l’origine d’une révolution scientifique majeure dont on ne pressent que quelques contours. 1. Découvertes des neurones miroirs. Evoquer les neurones miroirs en un seul billet risque de laisser de côté nombre d’implications scientifiques mais aussi philosophiques. Ce sujet mérite à lui seul un ouvrage, ce que fit Rizzolatti dont le livre co-écrit avec Corrado Sinigaglia, philosophe des science, a été traduit en français en 2008 chez Odile Jacob. Rappel des faits. « Les neurones miroirs constituent une classe particulière de neurones initialement identifiés dans le cortex précentral du macaque. Chez l’homme, on a observé la présence des neurones miroirs dans le cerveau encore immature du jeune enfant. 2. Il existe une sorte de mécanique, voire de dialectique des miroirs.

Hacking du cerveau : toujours plus loin ! Pour compléter mon article sur les "pirates" (gentils) du cerveau, voici la version longue de l'introduction et quelques liens. Le visiteur note vite que cette conférence scientifique n’a rien de typique. Pas de programmes des interventions : ce qui veulent parler inscrivent leurs noms sur un papier qui circule dans l’amphi. Pas vraiment d’exposés de plusieurs minutes non plus. Juste de brefs passages de trois minutes pour dire ce que l’on a envie de faire. (suspens...) La suite est plus sérieuse autour de l’open data en neuroimagerie, visiblement encore assez balbutiant. Un texte résume très bien la situation avec les avantages et les freins de l’open access. Un texte de référence d’un des plus actifs et militants sur le sujet Michaël Milham Un exemple d’article récent ayant bénéficié de cette ouverture des données, par des co-organisateurs de Brainhack Paris. Et une sélection d’articles pointant ce qui ne va pas dans la neuroimagerie (ce qui en soit pourrait faire un sujet !)

- TIMIDES: UN CERVEAU HYPERACTIF! - - TROMMENSCHLAGER FRANCK -PSYCHANALYSTE ET THERAPEUTE FAMILIAL SECTEUR LUXEUIL-LES-BAINS, LURE ET REMIREMONT Samedi 2 octobre 2010 6 02 /10 /Oct /2010 11:59 Le cerveau des timides est le siège d'une activité intense qui le rend très sensible aux visages des autres. Ils se cachent dans les soirées, bafouillent lors des présentations, rougissent à la moindre occasion... Les timides n'ont pas toujours la vie facile, et ils le doivent peut-être à leur cerveau. Elliott Beaton et ses collègues ont fait passer des tests de timidité à une centaine d'étudiants et ont retenu les 12 les plus timides ainsi que les 12 les moins timides pour une expérience. E. Est-ce héréditaire ? Source: Pour la science.

Notre cerveau à l’heure des nouvelles lectures Maryanne Wolf, directrice du Centre de recherche sur la lecture et le langage de l’université Tufts est l’auteur de Proust et le Calmar (en référence à la façon dont ces animaux développent leurs réseaux de neurones, que nous avions déjà évoqué en 2009). Sur la scène des Entretiens du Nouveau Monde industriel au Centre Pompidou, la spécialiste dans le développement de l’enfant est venue évoquer « la modification de notre cerveau-lecteur au 21e siècle » (voir et écouter la vidéo de son intervention)… Image : Maryanne Wolf face au public sur la scène du Centre Pompidou, photographiée par Victor Feuillat. Comment lisons-nous ? « Le cerveau humain n’était pas programmé pour être capable de lire. Il était fait pour sentir, parler, entendre, regarder… Mais nous n’étions pas programmés génétiquement pour apprendre à lire ». La présentation de Marianne Wolf via l’IRI. Pour autant, le circuit de la lecture n’est pas homogène. Pourquoi la lecture numérique est-elle différente ? Hubert Guillaud

LES GROS CAILLOUX Cette histoire, vous la connaissez probablement car elle est un "best seller" à l'occasion des formations, souvent racontée avec enthousiasme par les formateurs. Pourtant, je vous invite à l'écouter , à la lire avec un regard neuf. En vous mettant dans la peau de ce vieux professeur. Un jour, un vieux professeur fut engagé pour faire une intervention sur la gestion du temps à l'occasion d'un colloque international réunissant les plus brillants cerveaux d'entreprises du monde entier. Le jour J est arrivé. De son cartable en cuir, il sortit un bocal ressemblant à un bocal de chimiste se terminant par un goulot puis, avec un geste lent, il y plaça à l'intérieur, un par un, des cailloux gros comme des balles de tennis. Tous répondirent sans hésitation : " Oui" et il ajouta " Vraiment ?" Alors, il replongea vers son cartable en cuir pour en extraire un sac de gravier qu'il versa dans le bocal jusqu'à ras bord. " Bien !" Et le vieux professeur de conclure : D'abord la simplicité.

Comment nos neurones « attrapent » les émotions des autres -- Santé et Bien-être Voici le quatrième article sur les richesses incommensurables du cerveau ! L'article s'inspire du livre Votre cerveau n'a pas fini de vous étonner de Patrice Van Eersel, rédacteur en chef du magazine Clés. M. La neuroscience sociale Grâce au perfectionnement des techniques d'imagerie corticale, en particulier le scanner à résonance magnétique nucléaire fonctionnelle (IRMf), qui permet de visualiser avec une précision de plus en plus fine, les zones actives de notre cerveau lorsque nous agissons, pensons, parlons, rêvons, et surtout, quand nous entrons en contact avec une personne, une nouvelle discipline a pris naissance dans les années 1990 : la neuroscience sociale. Nos neurones ont absolument besoin de la présence physique des autres et d'une mise en résonance empathique avec eux. Comment nos neurones « attrapent » les émotions des autres ? Au moindre échange émotionnel avec autrui, a lieu un incroyable faisceau de réactions en cascade dans notre système nerveux central.

article - déjouer les pièges de la communication Au sein d’un groupe ou de relations inter-personnelles, une communication floue peut générer des dysfonctionnements et des problèmes relationnels. Apprenez à maîtriser sur le bout des doigts les questions simples qui dissipent les malentendus, aidez vos interlocuteurs à préciser leur propos et remotivez toute la troupe ! Cliquez sur l'image pour l'agrandir Mémorisez ce schéma et découvrez en détail dans les pages suivantes les flous de communication les plus courants et quelles questions poser pour les dissiper. Le modèle de précision : les questions qui améliorent la communication. Vous échangez à plusieurs sur un projet commun et, c’est bien normal, tout le monde n’est pas du même avis. Découvrez les 5 types de questions du modèle de précision.

Votre cerveau ne meurt jamais -- La Science de l'Esprit Juliette Demey Le JDD dim., 28 oct. 2012 13:11 CDT Les neurones du cerveau se fabriquent tout au long de la vie. (Reuters) Contrairement à l'idée communément admise, nous pouvons fabriquer des neurones à tout âge. Mais à plusieurs conditions, dont celles-ci : ne pas s'ennuyer et continuer à s'émerveiller Bonne nouvelle : contrairement à une idéee reçue, notre cerveau ne cesse pas de produire des neurones à l'âge adulte! Au fil des expériences, l'équipe a compris que cette plasticité du cerveau, fondée sur sa capacité à s'auto-régénérer, ne perdure qu'à cinq conditions : se préserver de la pollution visuelle et sonore ; éviter la consommation chronique de psychotropes ; pratiquer 15 minutes d'activité physique par jour ; lutter contre l'isolement social ; enfin, continuer à s'émerveiller, "c'est-à-dire comprendre plutôt que savoir. L'indispensable protéine-aimant Deux autres découvertes majeures ont suivi. Vers une mémoire "augmentée" * Le Cerveau sur mesure , avec Jean-Didier Vincent ( éd.

Connecté à vie : notre cerveau, le meilleur des réseaux (2/3) - Thema - Museum Copyright CNRS Photothèque/Université de Strasbourg - GRIGIS Antoine, mise en évidence par IRM (imagerie par résonance magnétique) de faisceaux de substance blanche dans un cerveau humain. Au même titre que le cerveau embryonnaire se débarasse d'un surplus de neurones « non cablés », le cerveau sélectionne les synapses les plus actives et donc les plus indispensables à son activité. Une quantité excessive de synapses peut en effet nuire à la qualité de la transmission de l'information car celles qui ne sont pas porteuses de sens produisent un bruit de fond parasite et gaspillent de l'énergie. Source : Muséum de Marseilles Elle est indispensable à l'acquisition de nouveaux apprentissages et à l'entretien de nos capacités de réflexion et d'imagination. Par exemple, elle est à l'origine de la capacité que développent les aveugles à voir avec leur mains. Ccc by-nc-nd Hé'louïse.

Related: