Neurones miroirs (I) Une découverte monumentale mais ignorée En 1996, Giacomo Rizzolatti, neurologue de l’Université de Parme, fit la surprenante découverte des neurones miroirs. Une découverte qui, bien que très peu connue du grand public, pourrait être à l’origine d’une révolution scientifique majeure dont on ne pressent que quelques contours. 1. Découvertes des neurones miroirs. Evoquer les neurones miroirs en un seul billet risque de laisser de côté nombre d’implications scientifiques mais aussi philosophiques. Ce sujet mérite à lui seul un ouvrage, ce que fit Rizzolatti dont le livre co-écrit avec Corrado Sinigaglia, philosophe des science, a été traduit en français en 2008 chez Odile Jacob. Rappel des faits. « Les neurones miroirs constituent une classe particulière de neurones initialement identifiés dans le cortex précentral du macaque. Chez l’homme, on a observé la présence des neurones miroirs dans le cerveau encore immature du jeune enfant. 2. Il existe une sorte de mécanique, voire de dialectique des miroirs.
Effects of mindful-attention and compassion meditation training on amygdala response to emotional stimuli in an ordinary, non-meditative state 1Athinoula A. Martinos Center for Biomedical Imaging, Massachusetts General Hospital, Boston, MA, USA2Center for Computational Neuroscience and Neural Technology, Boston University, Boston, MA, USA3Department of Religion, Emory University, Atlanta, GA, USA4Department of Psychiatry and Behavioral Sciences, Emory University School of Medicine, Atlanta, GA, USA5Santa Barbara Institute for Consciousness Studies, Santa Barbara, CA, USA6Department of Psychiatry, College of Medicine and Norton School of Family and Consumer Sciences, College of Agriculture, University of Arizona, Tucson, AZ, USA7Department of Electrical and Computer Engineering, Boston University, Boston, MA, USA The amygdala has been repeatedly implicated in emotional processing of both positive and negative-valence stimuli. Keywords: meditation, mindfulness, attention, compassion, amygdala, emotion, fMRI Received: 01 February 2012; Accepted: 03 October 2012; Published online: 01 November 2012.
Infections nosocomiales: le cuivre est-il une bonne arme? PARIS, 21 janvier (Direct Hôpital) – L'Hôpital privé nord parisien (HPNP) a équipé 60 de ses portes avec des poignées en cuivre, métal aux propriétés antibactériennes. Un dispositif qui laisse assez sceptiques certains industriels, à l'exemple du robinetier Delabie, qui développe d'autres techniques pour limiter la prolifération bactérienne. En juillet 2011, le centre hospitalier de Rambouillet était le premier hôpital français à doter ses services de réanimation et de pédiatrie de poignées de porte, barres de lits et mains courantes en cuivre. Les résultats de l'expérimentation ne sont pas encore connus pour cet établissement mais un deuxième hôpital a décidé de tenter l'expérience. L'Hôpital Privé Nord-Parisien (Sarcelles, Val-d'Oise) a équipé 60 portes de son centre de consultation de l'hôpital de jour et de son bâtiment principal en poignées "antibactériennes". Autre solution proposée par Delabie : des mitigeurs déclipsables, pour une désinfection plus facile.
Le sommeil lave le cerveau à grandes eaux Par Florian Gouthière rédigé le 18 octobre 2013, mis à jour le 18 octobre 2013 Le sommeil lave le cerveau à grandes eaux Le sommeil lave le cerveau à grandes eaux Bip... ''Quand le marchand de sable passe, le cerveau se décrasse...'' (© ORTF) En août 2012, l'équipe du chercheur Maiken Nedergaard résolvait un mystère de la physiologie en révélant le processus par lequel le cerveau parvenait à évacuer vers l'extérieur les molécules résiduelles de l'activité neuronale. En effet, contrairement au reste de nos organes, le cerveau n'est pas nettoyé par le système lymphatique. A l'aide d'un complexe appareillage optique, les scientifiques new-yorkais avaient pu observer le système spécifique de nettoyage du cerveau : il s'agit, très grossièrement, d'un système microscopique de "pompe" qui crée un véritable courant dans le cerveau, qui draine les fluides à la périphérie de la boîte crânienne. Source : Sleep Drives Metabolite Clearance from the Adult Brain, M. Mots clés Réagir à cet article
- TIMIDES: UN CERVEAU HYPERACTIF! - - TROMMENSCHLAGER FRANCK -PSYCHANALYSTE ET THERAPEUTE FAMILIAL SECTEUR LUXEUIL-LES-BAINS, LURE ET REMIREMONT Samedi 2 octobre 2010 6 02 /10 /Oct /2010 11:59 Le cerveau des timides est le siège d'une activité intense qui le rend très sensible aux visages des autres. Ils se cachent dans les soirées, bafouillent lors des présentations, rougissent à la moindre occasion... Les timides n'ont pas toujours la vie facile, et ils le doivent peut-être à leur cerveau. Elliott Beaton et ses collègues ont fait passer des tests de timidité à une centaine d'étudiants et ont retenu les 12 les plus timides ainsi que les 12 les moins timides pour une expérience. E. Est-ce héréditaire ? Source: Pour la science.
Zone de convergence-divergence Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La théorie des zones de convergence a été proposée par Antonio Damasio, en 1989, pour expliquer les mécanismes neuronaux de la mémorisation et de la remémoration. Elle permet également d'expliquer toutes les formes de la conscience : l'imagination créatrice, la pensée, la formation des croyances et des motivations, le développement de la conscience de soi, la socialisation de l'individu... Elle repose sur deux hypothèses principales : l'imagination est une simulation de la perception, les inscriptions cérébrales des souvenirs et du savoir conceptuel sont des réseaux neuronaux autoexcitateurs (les neurones peuvent s'y activer mutuellement). Ces deux hypothèses sont discutables. Elles me semblent presque incontestables, autant qu'il est possible pour un savoir empirique, jusqu'à preuve du contraire. L'activation des souvenirs et des pensées est très rapide, vive comme l'éclair. [modifier | modifier le code]
Alcoolisme: on peut prévoir les risques avant l'âge de 5 ans On peut parler beaucoup de l’alcoolisme des adultes, adolescents et parents. On oublie généralement les enfants qui vivent au contact de parents et/ou de proches malades de l’alcool. Planetesante.ch a déjà évoqué, vidéo et pédagogie à l’appui comme on peut le voir ici, ce sujet d’autant plus délicat qu’il n’est que très exceptionnellement abordé. Un nouvel élément d’explication et de compréhension nous est fourni avec les résultats d’une étude menée par des chercheurs travaillant aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne. Cette étude a été publiée dans la revue Alcoholism: Clinical & Experimental Research. publicité Dirigés par Danielle M. Les troubles émotionnels Avec ses collègues américains et britanniques (School of Social and Community Medicine, University of Bristol; King's College London Institute of Psychiatry), elle a fait le choix de commencer ses recherches à partir des premières années de vie. Pouvoir naturellement «résister» À lire aussi sur Slate.fr
Découverte d'une nouvelle fonction essentielle du sommeil Pendant le sommeil, s'effectue une élimination des toxines (telles que les protéines beta-amyloïdes en cause dans la maladie d'Alzheimer) qui s'accumulent pendant l'éveil. Dans l'organisme, c'est le système lymphatique qui permet d'éliminer les déchets cellulaires. Mais le cerveau reste en vase clos et dispose d'un autre mécanisme. Durant le sommeil, ont découvert les chercheurs, un "système de plomberie" qu'ils ont appelé système glymphatique s'ouvre, permettant l'écoulement rapide du fluide dans le cerveau. C'est au moyen d'une nouvelle technologie d'imagerie utilisée sur des souris que les chercheurs ont observé ce mécanisme, intégré dans le système sanguin du cerveau, qui pompe le fluide cérébro-spinal à travers les tissus et le renvoie purifié, les déchets étant transportés par le sang jusqu'au foie, où ils sont éliminés. Certaines cellules cérébrales, les cellules gliales, contrôlent le flux dans le système de glymphatique en rétrécissant ou en gonflant. Voyez également:
LES GROS CAILLOUX Cette histoire, vous la connaissez probablement car elle est un "best seller" à l'occasion des formations, souvent racontée avec enthousiasme par les formateurs. Pourtant, je vous invite à l'écouter , à la lire avec un regard neuf. En vous mettant dans la peau de ce vieux professeur. Un jour, un vieux professeur fut engagé pour faire une intervention sur la gestion du temps à l'occasion d'un colloque international réunissant les plus brillants cerveaux d'entreprises du monde entier. Le jour J est arrivé. De son cartable en cuir, il sortit un bocal ressemblant à un bocal de chimiste se terminant par un goulot puis, avec un geste lent, il y plaça à l'intérieur, un par un, des cailloux gros comme des balles de tennis. Tous répondirent sans hésitation : " Oui" et il ajouta " Vraiment ?" Alors, il replongea vers son cartable en cuir pour en extraire un sac de gravier qu'il versa dans le bocal jusqu'à ras bord. " Bien !" Et le vieux professeur de conclure : D'abord la simplicité.