09.03.2013 (Arte) Le dessous des cartes - Démographie française Colonisation et décolonisation de l'Asie et de l'Afrique aux XIXe et XXe siècles CAFORM : Formation continue des personnels de l'académie de Créteil Accès GAIA : Personnel de l'académie de Créteil : Cliquez ici : Identifiez-vous par LDAP (login et mot de passe de messagerie) Mot de passe perdu : voir ici : Une fois connecté, cliquez sur "Gestion des personnels" : Cliquez ensuite sur accès individuel (Attention, ne pas cliquer sur GAIA-CERPET mais sur Accès individuel) Cliquez sur inscription individuelle :
Visites virtuelles 360 et visites virtuelles flash HD de la France Bienvenue à Montargis, dans le Loiret, pour cette visite virtuelle 360° du jour. Nous apercevons ici le quartier de la Pêcherie, qui doit son nom aux bateaux viviers qui s'y trouvaient il y a de cela quelques siècles, et qui acheminaient le poisson vers Paris.L'un des nombreux canaux, qui valent à Montargis l'appellation de "Venise du Gâtinais", longe le mur du Moulin de la Pêcherie qui fonctionna jusqu'au milieu du XXe siècle, pour passer sous un charmant pont de pierre (il y a plus d'une centaine de ponts et passerelles à Montargis). Evidemment, si vous souhaitez satisfaire vos papilles avec les délicieuses praslines Mazet, il faudra vous rendre sur place... Visite virtuelle 360° du quartier de la Pêcherie à Montargis, Loiret Cliquez sur l'image pour lancer la vue 360° interactive
Rodolphe Dodier : Modes d’habiter périurbains et intégration sociale et urbaine. Rodolphe Dodier Hayal Oezkan Opfikerpark, Flickr, August 2010 Depuis une dizaine d’années, les travaux sur les modes d’habiter dans les espaces périurbains se sont multipliés (Pinson et Thomann, 2001, par exemple). Pourtant, à partir d’une enquête auprès de 915 ménages des espaces périurbains des Pays de la Loire, il est possible de mettre à l’épreuve trois hypothèses explicatives de la diversité des modes d’habiter périurbains, parmi les plus couramment exprimées. Comment habiter dans les espaces périurbains ? Les terrains sur lesquels s’appuie ce travail sont situés dans la France de l’Ouest et les ordres de grandeur cités ne sont valables que dans ce contexte spécifique. La diversité des modes d’habiter a été explorée ici à partir de l’enquête dite « PERIURB ». Trois de ces modes d’habiter sont plutôt des figures de souffrance. Les trois figures suivantes sont plutôt des figures « équilibrées » entre deux ou plusieurs échelles de références. Modes d’habiter et appartenance sociale.
La métropolisation de la France : entre fragmentation et hypermobilité - Sciences 26 millions et demi. C'est le nombre de personnes qui habitent, travaillent et vivent dans les 17 aires urbaines métropolitaines de France, c'est à dire dans les 17 agglomérations de plus de 400 000 habitants. Soit 45% de la population hexagonale. Pourtant, l'illusion d'optique est tenace : ces 17 aires métropolitaines d'urbanisation continue étant bien loin d'occuper 45% de la superficie de la France, elles n'éliront pas, loin de là, 45% des députés en juin prochain. Et pourtant! La notion de métropolisation désigne bien plus que le rôle absolument central des grandes villes. Terminé, le territoire découpé en régions plus ou moins rurales, qu'elles fussent agricoles ou industrielles, et polarisées par leurs capitales historiques; disparue, l'armature urbaine de villes connues pour leur spécialisation économique et hiérarchisées en fonction de leur éloignement à Paris. Les portes d'entrée de la France et les systèmes territoriaux des flux ©DATAR
L’installation périurbaine entre risque de captivité et opportunités d’autonomisation 1 Des réflexions récentes autour de l’objet « périurbain » ont lieu dans le cadre de l’atelier « Dyn (...) 1La périurbanisation est un phénomène et un processus largement étudié en France (Calenge et Jean, 1997) qui combine à la fois la diffusion d’un modèle d’habitat (le modèle pavillonnaire) en direction d’espaces agricoles et/ou naturels et une mobilité quotidienne automobile importante. Structurant fortement l’espace, ce processus tend à apparaître de plus en plus comme un modèle propre renvoyant à la fois à la dimension spatiale (forme urbaine, habitat pavillonnaire, etc.) et à la dimension sociale (propriété, mobilité automobile, etc.)1. 2 Cette formulation a été employée par une répondante lors de la première phase d’enquête. Quelle actualité pour les captifs ? 3La recherche menée dans le cadre d’une thèse de doctorat s’était intéressée à des communes périurbaines localisées en « quatrième couronne toulousaine », peu ou pas desservies par les transports en commun et mal équipées.
Lionel Rougé : Inégale mobilité et urbanité par défaut des périurbains modestes toulousains. Entre contraintes, tactiques et captivité. Lionel Rougé a Cet article a pour ambition d’appréhender, par l’observation des pratiques et des représentations de la mobilité, les processus de (dé)construction de l’urbanité, comme une façon d’être dans la ville, des ménages de catégories sociales modestes qui se mettent à distance de la ville (Monnet et Capron, 1992). Après une présentation rapide des ressorts de l’installation de ces familles en maison individuelle et des conditions de sa réalisation dans l’espace périurbain, nous porterons plus particulièrement notre attention sur les différentes modalités de leur mobilité et sur un des aspects constitutifs d’une analyse de leurs modes de vie, à savoir, la manière dont les individus rencontrés s’inscrivent dans la « ville ». La variation de la capacité de mobilité va influencer les modes d’expérimentation de la ville. Terrain et méthodologie. Une installation périurbaine sous contraintes et une accession fortement mobilisatrice. F : Ah oui !