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Photographier la nature (première partie) : comprendre la lumière naturelle

Photographier la nature (première partie) : comprendre la lumière naturelle
Temps libre, journées longues et ciel clément : les vacances d‘été réunissent les ingrédients idéaux pour les amoureux de nature et de photographie. Mais pour faire de belles images, connaître les bases de l’exposition ne suffit pas ; il faut aussi comprendre la lumière. Si, en studio, il est possible de construire la lumière souhaitée, en extérieur, il faudra jouer avec ce que nous offre la nature. Pour faire de belles photos, connaître les bases de l’exposition ne suffit pas ; il faut aussi comprendre la lumière. Si, en studio, il est possible de construire la lumière souhaitée, en extérieur, il faudra jouer avec ce que nous offre la nature. Savoir regarder les variations subtiles de la lumière et la façon dont elle est réfléchie ou absorbé par le sujet est la clef pour réaliser des images exceptionnelles. La lumière directe On appelle ainsi la lumière de face ; c’est le plus classique des éclairages. La lumière du matin est presque toujours intéressante.

MP #21 : Le couple vitesse / ouverture Suite à notre MP sur l’ouverture puis celui sur la vitesse d’obturation, il est temps de voir comment ces deux paramètres clefs fonctionnent ensemble dans votre boîtier. Parlons d’abord de la théorie. On a vu ensemble que plus l’ouverture est importante, plus la quantité de lumière qui pénètre dans le capteur est importante, et inversement. De même, plus la vitesse d’obturation est lente, plus la lumière entre, et inversement. Il va donc falloir jongler entre ces deux valeurs pour avoir une image correctement exposée. Pour une même scène et donc la même lumière, il y a plusieurs combinaisons possibles qui permettent d’avoir la même exposition : si la photo est réussie (en tout cas concernant l’exposition) à 1/500 et f/4, elle le sera aussi à 1/125 et f/8 ou 1/2000 et f/2. Qu’en est-il dans la pratique ? D’abord, il est évident que votre appareil peut tout gérer pour vous. priorité ouverture : vous choisissez l’ouverture vous même et laissez l’appareil régler la vitesse en fonction.

Profondeur de champ en macro et en photo rapprochée La profondeur de champ en macrophoto et en photo rapprochée La profondeur de champ en protographie rapprochée et en macro est très courte, souvent même très très courte, diaboliquement courte. Comme ce sujet suscite de nombreuses questions, essayons de donner les réponses claires à ces questions. Contrairement à une idée reçue commune, la profondeur de champ ne dépend pas de la focale utilisée, mais de trois choses: - L’ouverture du diaphragme (le nombre dans F/2,8 ou F/5,6); - Le grandissement (le rapport entre la taille de l’image du sujet sur le capteur et sa taille réelle); - Le cercle de confusion, qui dépend de la taille individuelle des pixels, et qui est fixe pour un appareil donné. Ce message se veut pratique. Le grandissement (G) peut s’expliquer ainsi à l’aide d’exemples: G = 2x = 2:1 -> l’image sur le capteur est deux fois plus grosse que le sujet G = 1x = 1:1 -> l’image fait la même taille que le sujet G = 0,2x = 1:5 -> l’image est cinq fois plus petite que le sujet.

Notions de base (réglage ouverture, vitesse, ISO) Lors d’une prise de vue, le photographe peut ajuster 4 paramètres pour composer et contrôler l’exposition de son image : la focale et l’ouverture sur l’objectif, la vitesse d’obturation et la sensibilité du capteur sur le boitier. En fonction des réglages, il est possible de figer une action rapide, d’isoler un sujet (arrière-plan flou), de photographier un paysage avec une grande zone de netteté en pleine journée ou de nuit (pose longue). Petit tour d’horizon des notions techniques à connaitre avant d’acquérir un reflex. Un Canon 1D MK IV en mode M (manuel) avec une vitesse d'obturation d'1/1000, une ouverture de f/2.8 et une sensibilité de 1000 ISO. La vitesse d’obturation Le boitier reflex est constitué d’un obturateur : un mécanisme à rideaux qui recouvre le capteur lorsqu’il est au repos. À retenir : La vitesse d’obturation permet de figer un sujet en mouvement (vitesse supérieure à 1/500) ou de créer un flou de mouvement. L’ouverture La sensibilité ISO La focale La profondeur de champ

Lancez vous dans la photo macro Vous êtes amateur et passionné de photo ? Vous avez toujours été intéressé par le monde du petit ? Focus Numérique vous propose une série de trois articles sur la photo macro ! Franck Petit vous guide dans vos premiers pas. Après un tour général sur le matériel nécessaire pour bien débuter et les bases techniques de la macro, vous découvrirez ce que vous pouvez obtenir avec un simple 18-55 mm (l'objectif souvent livré en kit avec les reflex ou les hybrides). Bonne lecture et bonnes photos ! La lumière et l'exposition en photographie : bien exposer ses photos pour bien capter la lumière Qu'est-ce que l'exposition ? Même dans des conditions de lumière plus banales, il est important de connaître quelques trucs qui vous permettront de restituer au mieux une scène, sans voir trop de surprises du style « ciel complètement grillé » ou encore « photo toute noire » ! Une photo sous-exposée Une photo sur-exposée Capturer la lumière : comment ça marche, au juste ? Avant toute chose, un petit point sur le fonctionnement de l'appareil photo (qu'il soit numérique ou argentique par ailleurs) : La lumière pénètre dans l'appareil via l'objectif.Le photographe appuie sur le déclencheur : on laisse cette lumière arriver jusqu'au capteur (ou la pellicule). Un constat simple (et très important) : plus on laisse de lumière entrer et arriver au capteur, plus la photo sera claire. Le temps d'exposition Le principe est donc très simple : plus on laisse de temps à la lumière pour entrer, plus la quantité de lumière est grande, plus la photo est claire. L'ouverture du diaphragme Pour aller plus loin…

Réussir son portrait animalier Le portrait animalier : introduction Dans l’absolue, il n’y a aucune différence entre un portrait animalier et un portrait d’homme, de femme ou d’enfant : le but est de mettre en valeur le modèle en plaçant la tête sur une grande surface de l’image. Enfin, si, juste une différence, minime, trois fois rien : l’animal oublie simplement d’être coopératif quand un mannequin accepte sans broncher de se mettre de 3/4 face (quoique …) Que les animaux sauvages n’en fassent qu’à leur tête est à bien y réfléchir un avantage pour vous, photographe animalier. Entendez par là que finalement vous n’avez pas à étudier toutes les techniques de la photographie de portrait de personnages : l’éclairage artificiel, l’étude de la personnalité du sujet, le décor, l’utilisation des nombreux accessoires, le maquillage (la poudre sur le nez pour pas qu’il brille !). Tout cela, je le laisse avec plaisir aux photographes de studio. Portrait de renard – © Jérôme Salvi Tout ce qu’il faut savoir 1°) Les objectifs

L'exposition : Le triangle ouverture / vitesse / sensibilité | Cours de Photo Une explication courte et simple qui met l’exposition au coeur de la création. Apprenez à équilibrez la lumière dès la prise de vue pour un résultat naturel. Ce trio est le moyen d’action principal que vous utiliserez pour obtenir l’exposition correcte de la scène que vous souhaitez capturer. Dans les cours de photo, on parle souvent du couple ouverture-vitesse mais la sensibilité, en numérique, est devenue également un paramètre important. Chaque membre de ce trio contribue à sa manière à la réussite de votre composition. Vitesse : La vitesse, ou plus exactement le temps de pose (temps pendant lequel le capteur s’expose à la lumière), définit de manière générale la netteté de la photo. Le temps de pose s’exprime en « seconde ». Ouverture : Si le temps de pose (vitesse) définit la netteté de manière générale, l’ouverture la définit de manière précise. Avec un reflex, on utilise souvent le mode priorité (A) (pour Aperture) afin de contrôler vraiment ce paramètre. Sensibilité : Alors ?

Comprendre les masques de fusion dans Photoshop cc Principes Le masque de fusion fonctionne de la même manière que ce que nous avons vu avec le mode masque. La seule différence réside dans le fait que la nouvelle couche (le masque) est enregistrée dans votre fichier. Elle n’est pas provisoire. Le masque est une sélection avec un traitement particulier sur le calque. Création du premier masque de fusion Une fois une sélection rapide créée avec le mode maque, je voudrai obtenir cette zone pour la transformer en masque. choisir un calquetravailler ma zone en mode masque (touche Q)valider ma zone (touche Q)intervertir ma sélection si nécessairecréer le masque en bas de la fenêtre calque Modification du masque Une fois le masque en place, vous pouvez le modifier de plusieurs manières: avec les outils tels que les formes ou les sélections remplies de noir ou blancavec la fenêtre Propriété pour faire des modifications basiques sur le masque (en double cliquant sur le masque elle apparaîtavec la fenêtre Améliorer le masque.

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