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Les arbres parviennent à communiquer entre eux

Les arbres parviennent à communiquer entre eux
Quand les peupliers alertent leurs voisins Vous n'allez plus regarder votre jardin de la même façon. Oui, les plantes communiquent! Avec leur environnement, bien sûr : avec les insectes pour favoriser leur pollinisation ou repousser des agresseurs. Ainsi du plant de tabac qui, face à une attaque de chenille, émet des substances attirant une guêpe dont les œufs vont tuer l'ennemi. Des messages transitent par les racines Les végétaux échangent divers types de messages. D'autres langages semblent exister, renchérit Bruno Moulia. Un riz capable d'inhiber ses concurrents À ce jour, on n'a identifié que deux récepteurs de signaux chimiques. L'étude de la sensibilité végétale trouve déjà des applications en agriculture. * Mécanobiologie des plantes, Inra/université Blaise-Pascal, Clermont-Ferrand.** Institut méditerranéen de biodiversité et d'écologie, Aix-Marseille université/CNRS/IRD. Juliette Demey - Le Journal du Dimanche Related:  ArbresTerre

L'eucalyptus, une nouvelle piste pour trouver de l'or ? Des chercheurs australiens ont découvert des particules d'or dans les feuilles d'un eucalyptus poussant 35 mètres au-dessus d'un véritable trésor. Ils estiment que cela pourrait constituer une nouvelle technique pour localiser d'autres mines d’or éventuelles. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter L'eucalyptus se prendrait-il pour un roi ? Récemment, des traces d'or ont été retrouvées dans le sol entourant des eucalyptus en Australie. Un arbre en or Les scientifiques australiens ont donc mené une nouvelle étude et viennent de dénicher les premières preuves, dans la nature, de la présence de particules d'or dans le bois des eucalyptus. Mais ceux-ci n'avaient pas été choisi au hasard car d'anciennes explorations avaient montré que de l'or se cachait dans le sol de ces sites. Une riche fringale Toutefois, pas la peine de se précipiter sur ces pauvres eucalyptus avec une hache en espérant vous en mettre plein les poches.

Catherine, la paysanne « rebelle » qui vend ses semences illégales Une véritable « guerre des graines » semble s’être enclenchée en réaction à l’accaparement du patrimoine agricole par des groupes industriels, avec l’aval des autorités. Cette résistance s’observe à travers les cas symboliques d’individus issus de l’agriculture paysanne, de l’agroforesterie ou encore de la permaculture. Rencontre avec Catherine, responsable du groupe Semailles, qui persiste à vendre ses fameuses « graines interdites » ! Les semences constituent certainement la richesse la plus essentielle de la culture paysanne. Le marche de l’industrialisation C’était sans compter sur l’industrialisation galopante du secteur et un lobbying forcené. La Grande chambre de recours de l’Office Européen des Brevets a d’ailleurs rappelé, pas plus tard qu’en mars 2015, que la directive n’interdit en rien la « brevetabilité des traits natifs préexistants », et a donc confirmé que des plantes issues de procédés « essentiellement biologiques » peuvent aussi être brevetées. Le combat de Catherine

Socotra, le 'monde perdu' aux plantes vieilles de 20 millions d'années Ces images semblent provenir directement d'un film de science-fiction… Ce n'est pourtant pas le cas. L'île de Socotra, dans l'Océan Indien recense plus de 800 espèces de la faune et de la flore. Certaines, endémiques de l'île, évoluent même sur le terrain depuis plus de 20 millions d'années. Vous avez l'impression d'avoir fait un bond dans Jurassic Park ? La cousine des Galapagos L'île de Socotra est connue pour son incroyable diversité en matière de faune et de flore. La forme particulière des plantes est due notamment au climat très chaud et sec. Toujours est-il que l'isolation géologique de l'île a permis la préservation d'espèces vieilles de millions d'années. Des plantes millénaires et étranges La flore de ce territoire est particulièrement étonnante. La rose du désert, elle, ressemble plutôt à un éléphant en fleurs. Du tourisme oui mais écolo Vous êtes déjà abonné ?

Voici les marques d’eau en bouteilles qui possèdent le plus de polluants Le 11 février 2016 Par Alain Mirak -10 février 2016 dans On a pu détecter des pesticides ou polluants chimiques dans quelques marques d’eau en vente dans les magasins . Selon l’étude menée conjointement par France libertés et 60 millions de consommateurs, des polluants ont été retrouvés dans 10 bouteilles d’eau sur les 47 examinées. Ce qui a été retrouvé, ce sont des traces de pesticides et de médicaments. Voici les 10 marques d’eau en bouteilles incriminées avec les particules de pollution concernées. Hépar – Source Hépar Buflomédil (médicament, vasodilatateur) Mont Roucous – Source Mont Roucous Tamoxifène (hormone de synthèse utilisée pour lutter contre le cancer du sein) Saint Amand – Source du Clos de l’abbaye Tamoxifène et Naftidrofuryl (médicament, vasodilatateur) Vittel – Grande source Hydroxyatrazine (pesticide) Volvic – Source Clairvic Atrazine (pesticide) Carrefour discount – Source Céline Cristaline Tamoxifène Cora – Source Saint-Pierre Atrazine

This 380-year-old tree is still bearing fruit In the 1630s, a pear tree went into the ground in Massachusetts. It was planted, the story goes, by John Endicott, the Puritan governor of the state. By 1852, it was already being heralded as “probably the oldest cultivated fruit bearing tree in New England.” By now, it’s almost certainly the oldest cultivated fruit bearing tree in all of North America. In 1934, when the tree was just over 300 years old, it was nearly demolished by another hurricane but again it re-grew from the twisted trunk. But it’s still alive — and still making pears. Not only is the Endicott Pear is still bearing fruit 383 years after it was first planted, but throughout the centuries it’s been recognized for its historic value by poets, historians, and even Presidents. Or, as the USDA says: The fruit is of no particular consequence, according to U.P. Well you’re not exactly Angelina Jolie yourself, U.P.

VIMOB – l’habitat alternatif en kit à monter De plus en plus populaire, l’habitat alternatif se veut modulable, durable, et avec un impact minimum sur l’environnement. C’est dans cette veine qu’un studio d’architecture colombien, le Colectivo Creativo, a développé le Vimob, un habitat alternatif en kit prévu pour être livré et installé n’importe où en toute simplicité, monté avec un minimum d’outils et immédiatement habitable. Beaucoup rêvent de posséder un habitat alternatif. Photographie : © Felipe Orvi Ainsi est né le Vimob, un éco-habitat livré en pièce détachée et aussi facile à monter qu’à démonter. La structure du Vimob se compose d’un patchwork de larges panneaux de bois et de copeaux agglomérés surmonté d’une toiture en pin. Par ailleurs, le procédé de préfabrication permet d’éviter un gaspillage considérable d’énergie et de matériaux lié aux constructions traditionnelles. Petit bémol, la société ne donne aucune précision en matière d’isolation. Photographie : COLECTIVO CREATIVO Photographie : © Mauricio Carvajal

What Will the Fate Be for Bristlecones, the Oldest Trees on Earth? Written by Margaret Badore Bristlecone pines are the the world’s oldest trees, living and reproducing for thousands of years. They live high up in the arid mountains of the Western United States. In an essay for Aeon, Ross Andersen shares his struggles to understand the trees’ age: It is hard to resist cliché when conveying the antiquity of the bristlecone pine. The oldest of the living bristlecones were just saplings when the pyramids were raised. The trees have evolved to live where few organisms can survive, in thin air and with little moisture.

Comment faire pousser un stock inépuisable d'ail à la maison ? Par Suzanne Meteyer 27 avril 2015 En plus d’être l’un des aliments les plus sains à consommer, l’ail est aussi l’un des plus faciles à faire pousser chez soi. Du coup, vous économisez de l’argent en prenant soin de votre santé. De toute évidence, vous avez entendu parler des avantages étonnants de l’ail et des bienfaits qu’il peut apporter à votre corps. Vous aurez besoin de 1 bulbe d’ail.Du terreau d’empotage.Un récipient. Instructions Older trees best at fighting climate change As humans age, we tend to pass more gas. As trees age, they tend to suck more of it up. A new paper published Wednesday in the journal Nature has blown away old misconceptions about the roles that the most mature trees in forests play in combating climate change. It has long been believed that younger trees are better than their older neighbors at absorbing carbon dioxide. “In whatever forest you look at, be it old or new growth, it is the largest trees that are the greater carbon sinks,” William Morris, a PhD candidate at the University of Melbourne, told Grist. Morris and dozens of other scientists studied data related to 673,046 trees belonging to 403 tree species in managed and wild forests across the world. In absolute terms, trees 100 cm in trunk diameter typically add from 10 kg to 200 kg of aboveground dry mass each year (depending on species), averaging 103 kg per year.

Comment faire pousser 100 kilos de pommes de terre par an sur votre balcon Des tours à pomme de terre (Crédit : Wormwool/Flickr CC) Tous les jardiniers en herbe n'ont pas la chance d'avoir un jardin. Mais pour ceux qui voudraient cultiver des pommes de terre dans peu d'espace, il existe désormais une technique : la tour de patates. Très facile à bâtir, elle ne requiert qu'un peu de terreau et quelques matériaux de récupération. Inspirée de la permaculture, cette technique permet d'obtenir des rendements allant jusqu'à 100 kilos par mètre carré et par an ! À LIRE AUSSI : Créer votre propre réseau d'alimentation locale ? Le principe est le même que celui de la culture traditionnelle de la pomme de terre : le buttage. Une tour à patate en pneus (Crédit : Tony Buser/Flickr CC) Pneus, planches, grillage ou cabas Pour bâtir une tour de patates, il existe différentes techniques : pneus empilés, cadres en bois ou encore tubes en grillage. La méthode la plus simple utilise un sac cabas (Crédit : Charlotte Powell/Flickr CC) Boîtes à oeufs Culture en couche

Climate change is making private heat islands for people of color As if climate change weren’t enough of a huge jerk, now we find out that it’s racist, too — or at least it’s following America’s lead. A new study published in the journal Environmental Health Perspectives digs deep under the sidewalks and streets that are soaking up all this new heat in our cities — and finds that not all neighborhoods and racial groups are faring equally. According to the research, blacks, Asians, and Latinos are all significantly more likely to live in high-risk heat-island conditions than white people. At first glance, this seems to make some sense: Due to a long history of racist policies and lending practices, people of color are more likely than whites to live in poor neighborhoods. Dense tree cover in urban areas can improve local health factors and has even been associated with a decrease in crime in some cities. The authors, a team of researchers from UC Berkeley that includes Grist board member Rachel Morello-Frosch, say this is the first study of its kind.

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