La sieste n’est que bienveillante envers vos capacités cérébrales Faire une petit somme de temps à autre n’a jamais fait de mal à personne ! Au contraire, c’est une manière de revivre à nouveau, de démanteler le stress pour le dissiper et renaître de ses cendres comme un phénix comme en dit. Le Wall Street Journal parle de la sieste. Si la presse s’y est intéressée, c’est qu’il y a quelque chose que l’on ignore et qui s’avère bénéfique pour nous lorsqu’on dorme peu et qu’on fait une petite sieste pour se détendre. Une sieste qui dépasse une heure doit avoir un effet positif sur la mémorisation des choses qui vous ont échappé, car tant que votre mémoire résiste à vous, impossible de la réveiller ou de la titiller sans vous faire subir une délicieuse sieste allant jusqu’à une heure pour revivifier les souvenirs les plus enfouis dans votre mémoire et prendre l’équivalent d’une douche cérébrale grâce à une bonne sieste d’une heure. La sieste n’est ni paresse ni une mode, c’est un avantage cognitif inégal :
La méditation modifie durablement le fonctionnement du cerveau Selon une étude américaine, la pratique régulière de la méditation modifie l'activité de l'amygdale (en rouge ci-dessus), cette zone du cerveau notamment impliquée dans la peur, le stress et d'anxiété. Crédits : Life Science Databases(LSDB) Une étude américaine montre que la pratique régulière de la méditation modifie de façon durable le fonctionnement du cerveau. S'engager dans une pratique régulière de la méditation modifie durablement le fonctionnement du cerveau, selon une étude menée par par des chercheurs de l'Hôpital Général du Massachusets (Boston, Etats-Unis), et publiée le 1er novembre 2012 dans la revue Frontiers in Human Neuroscience. Si les neurologues savaient depuis longtemps que le cerveau d'une personne en train de méditer a un fonctionnement différent de celui habituel, cette étude vient aujourd'hui montrer que la méditation peut aussi engendrer des modifications neuronales durables, c'est-à-dire subsistant après l'activité de méditation proprement dite. Résultat ?
Comment développer les capacités de mémorisation des élèves ? Varier ce qui est à mémoriserLe maître aide les élèves à repérer les méthodes pour apprendre : un poème une saynète, un dialogue dont il dira l’une des répliques une histoire des événements et leur date un résumé un croquis, un schéma un plan, une carte des tables d’addition, de soustraction, de multiplication, de division des tables de conjugaison l’orthographe des mots d’une liste donnée une règle d’orthographe une autodictée la définition de mots en géométrie, en géographie, etc. une leçon complète en sciences, histoire, géographie, éducation civique, etc. Varier les types de supports et de formalisation des connaissances : mots/phrases/textes/schémas ; dans le cahier/le classeur/un carnet/le manuel/une fiche volante/le dictionnaire, etc. Distinguer les différentes formes de mémorisationOn répertoriera les méthodes et on examinera dans quel cas les utiliser : Organiser des traces impeccables pour favoriser une mémorisation facile. Claire Boniface, IEN Paris.
Le traitement de l’erreur et la notion de progression dans l’enseignement/apprentissage des langues 1L’erreur est souvent perçue comme un élément perturbateur dans le processus d’enseignement/apprentissage. Dans l’enseignement des langues, plus que dans tout autre domaine, l’erreur dérange ; lorsqu’un apprenant se trompe, l’enseignant a parfois l’impression d’avoir échoué dans sa mission. Si l’erreur dérange, il n’en demeure pas moins que l’enseignant y est confronté au quotidien et qu’il doit, s’il la considère comme un problème, tenter d’y remédier. Nombreux sont les enseignants de langue qui considèrent que le problème émane des apprenants. Or, notre expérience nous a permis de nous rendre compte du fait que l’enseignant devait, pour remplir au mieux sa fonction, se remettre en question, prendre du recul sur sa pratique et s’appuyer sur des connaissances théoriques solides afin d’adapter au mieux son intervention à chaque situation d’enseignement/apprentissage. Cet article, axé sur la pratique, se propose de retracer une expérience de recherche et de réflexion. 1.1. 1.2. 1.3.
Article Rolland Viau Introduction Les élèves en difficulté d’apprentissage ont souvent des problèmes de motivation. Leurs difficultés à apprendre, leurs nombreux échecs et l’image qu’ils ont aux yeux des autres élèves amènent bon nombre d’entre eux à se démotiver et à perdre tout intérêt à apprendre en contexte scolaire. Que pouvons-nous faire pour les aider à reprendre goût à l’apprentissage? Par cette conférence, nous aimerions proposer un cadre de référence afin d’aider les enseignants qui travaillent auprès des élèves en difficulté d’apprentissage à mieux analyser les problèmes motivationnels que ces élèves rencontrent et à intervenir plus efficacement sur les facteurs liés à la classe qui influent sur leur dynamique motivationnelle. Intervenir auprès des élèves afin de susciter leur motivation est souvent une tâche ardue. Pourquoi se préoccuper de la motivation de l’élève en difficulté d’apprentissage ? Dans bien des cas, l’enseignant est le seul modèle « d’apprenant » que l’enfant peut observer Deci, E.
Présentation - 8ème Colloque sur l'Autoformation Guide Compétences clés Mode d'emploi Ce guide est organisé autour de 2 livrets pour agir : l’un pour créer, l’autre pour animer des situations de formation dans le cadre des compétences clés. Ce sont 2 processus de réalisation étayés par des fiches outil et des fiches éclairage. Ces ressources sont complétées par des aides, des références et une présentation. Libre à vous d’utiliser ces ressources selon vos besoins. Avertissement : Ce guide a été conçu pour PC équipé d’Office 97-2003. Livret pour concevoir ou pour animer une situation de formation ; il indique les étapes de réalisation Fiche outil à compléter pour réaliser une des étapes du livret Au format Word ou Excel Fiche synthèse permettant de rassembler les données issues des fiches outil Fiche éclairage précisant les définitions, concepts, cadre de travail Lien pour aller plus loin : définitions, informations/points de vue complémentaires, documents de référence… Aide n°38 Guide compétences clés : visite guidée - Valérie Languet (video 18 mn)
59 Banques d'images gratuites Toute image trouvée sur Internet et que vous pouvez télécharger est gratuite et vous pouvez en faire ce que vous voulez pour un usage privé, Il est donc inutile de se poser la question. Puis-je utiliser telle ou telle photo que j’ai trouvée sur Internet? Réponse : oui. Oui à partir du moment où l’usage de la photo est strictement totalement entièrement privé (répétition volontaire). En revanche, si vous commencez à bloguer, à vous servir d’une photo pour faire de la pub, créer des encarts publicitaires, les choses sont un peu moins évidentes et il ne s’agit donc pas de rigoler sous peine d’avoir quelques ennuis, même si la probabilité d’avoir des problèmes avec la justice est minime, je ne tenterais pas trop le diable. Pour utiliser des photos pour votre travail, il y a trois solutions : Fabriquer vos photos vous-même. En tout état de cause, l’usage d’une photo de façon publique doit être premièrement régi par le bon sens. . y a t’il une personne ou plusieurs personnes sur la photo?
Où trouver des photos gratuites et de qualité pour vos créations ? Un nouveau mouvement de partage a vu le jour sur le web depuis quelques mois : les designers et photographes s’organisent pour mettre à disposition des photos gratuites, libres de droits et de qualité pour vos créations. Traditionnellement en agence, les photos pour illustrer nos maquettes et un projet finalisé proviennent de banques d’images comme IStock, Fotolia, Shutterstock ou encore Getty Image pour ne citer qu’elles. Les banques de photos libres de droits et gratuites existent-elle depuis belle lurette, comme le site SXC.hu par exemple. Au-delà de ces méthodes « classiques », une sorte de tendance d’entraide entre créatifs du web voit ouvrir de nouveau sites, proposant des photos gratuites de toutes beautés. Évidement, ici, pas de moteur de recherche multi-critères, pas de séries de photos, pas de portraits… Non, sur ces sites vous trouverez des photos originales pour illustrer vos sites web. Unsplash Gratisography Le site vient tout juste de voir le jour. Little Visual Dotspin
Les 15 dates qui ont fait le Web 01net le 12/03/14 à 20h30 Bon anniversaire ! Nous fêtions aujourd'hui les 25 ans du World Wide Web, cette invention géniale de Tim Berners-Lee qui a transfiguré Internet, à tel point qu'il en est devenu pour certains un synonyme. Et pourtant, le Web n'est qu'une des nombreuses applications qui fonctionne sur ce bon vieux protocole TCP/IP. 12 Mars 1989 // Première version du web « Vague, mais prometteur ». 20 décembre 1990 // Le premier site ! Le tout premier site et le tout premier serveur Web voient le jour sur l’ordinateur NeXT que Sendall a offert à TBL. Le premier site web... très dépouillé. 6 Aout 1991 // le Web s'ouvre à tous Tim Berners-Lee annonce le projet sur le groupe alt.hypertext de Usenet –les forums primordiaux d’Internet, où les pionniers échangent déjà depuis 1979 ! 30 avril 1993 // Une techno désormais publique Mosaic était le premier navigateur à pouvoir intégrer des images dans les pages web. Janvier 1994 // Yahoo! Naissance de Yahoo! Juillet 1995 // Amazon.com