Jean-Paul Sartre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Œuvres principales Compléments Jean-Paul Sartre, né le dans le 16e arrondissement de Paris et mort le dans le 14e arrondissement[1], est un écrivain et philosophe français, représentant du courant existentialiste, dont l'œuvre et la personnalité ont marqué la vie intellectuelle et politique de la France de 1945 à la fin des années 1970. Intransigeant et fidèle à ses idées, il a toujours rejeté les honneurs ; il a notamment refusé le prix Nobel de littérature en 1964 ; exception notable, il a cependant accepté le titre de docteur honoris causa de l'Université de Jérusalem en 1976. Sa relation particulière avec Simone de Beauvoir est un autre élément de sa notoriété. Biographie[modifier | modifier le code] « Je n’essaie pas de protéger ma vie après coup par ma philosophie, ce qui est batard, ni de conformer ma vie à ma philosophie, ce qui est pédantesque, mais vraiment, vie et philo ne font plus qu’un. » Carnets de la drôle de guerre — Sartre autres
sans titre Nationalité : France Né(e) à : Bordeaux , le 03/06/1910 Mort(e) à : Lausanne , le 03/10/1987 Biographie : Jean Anouilh est un écrivain et dramaturge français, né le 23 juin 1910 à Bordeaux (Gironde) et mort le 3 octobre 1987 à Lausanne (Suisse). Son œuvre théâtrale commencée en 1932 est particulièrement abondante et variée : elle est constituée de nombreuses comédies souvent grinçantes et d'œuvres à la tonalité dramatique ou tragique comme sa pièce la plus célèbre, Antigone, réécriture moderne de la pièce de Sophocle. Anouilh a lui-même organisé ses œuvres en séries thématiques, faisant alterner d'abord Pièces roses et Pièces noires. Après la guerre apparaissent les Pièces brillantes qui jouent sur la mise en abyme du théâtre au théâtre (La Répétition ou l'Amour puni en 1947, Colombe en 1951), puis les Pièces grinçantes, comédies satiriques comme Pauvre Bitos ou le Dîner de têtes (1956). Jean Anouilh a également adapté plusieurs pièces d'auteurs étrangers, Shakespeare en particulier.
Etude des personnages de Candide - Candide de Voltaire | Candide de Voltaire Candide : Candide est le personnage éponyme du conte. Il tient la place du personnage principal et l’on ne sait pourtant que peu de choses à son sujet. Voltaire nous en donne une brève description physique : « Sa physionomie annonçait son âme ». Son nom a pour origine le comportement du personnage, il évoque son innocence d’âme et s’il est honnête, le jeune homme est également très naïf. Il a pour étymologie le mot latin candidus, qui signifie « blanc », couleur qui symbolise sa façon d’être, tout en ayant une consonance qui rappelle la « candeur ». Pangloss : Pangloss est le précepteur de Candide. Martin : Le personnage de Martin est en opposition à celui de Pangloss car il est, lui, pessimiste. Cunégonde: Cunégonde est la fille du baron de Thunder-Ten-Tronckh. Cacambo: Le personnage de Cacambo devient à la fin du conte l’intendant de Candide. La Vieille : Apparaissant au chapitre 7, c’est un personnage secondaire, pessimiste comme Martin. L’Abbé périgourdin : Le Gouverneur : Pococurante :
Albert Camus Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Camus. Albert Camus Albert Camus en 1957. Œuvres principales Compléments Son œuvre comprend des pièces de théâtre, des romans, des nouvelles, des films, des poèmes et des essais dans lesquels il développe un humanisme fondé sur la prise de conscience de l'absurde de la condition humaine mais aussi sur la révolte comme réponse à l'absurde, révolte qui conduit à l'action et donne un sens au monde et à l'existence, et « alors naît la joie étrange qui aide à vivre et mourir »[3]. Il ne se dérobe devant aucun combat, protestant successivement contre les inégalités qui frappent les musulmans d'Afrique du Nord, puis contre la caricature du pied-noir exploiteur, ou prenant la défense des Espagnols exilés antifascistes, des victimes du stalinisme et des objecteurs de conscience[5]. En marge des courants philosophiques, Camus est d'abord témoin de son temps, intransigeant, refusant toute compromission.
JEAN ANOUILH Pièces noires, pièces roses, pièces brillantes, pièces grinçantes : Anouilh a lui-même défini ainsi les différentes facettes de son œuvre théâtrale. Ce classement marque aussi une évolution. Anouilh a commencé par des comédies cocasses à la fois cruelles et tendres ou par la modernisation des grands mythes de la tragédie grecque, à la manière de Giraudoux. Jean Anouilh est né à Bordeaux en 1910, d'un père tailleur et d'une mère violoniste. « Ce fut ma révélation », ajoute-t-il. En 1932, L'Hermine, sa première pièce, est créée à Paris et remporte un certain succès.
Vie et œuvre de Jean Anouilh Vie et œuvre de Jean Anouilh (1910-1987). La vie de Jean Anouilh se raconte exactement comme celle de grands dramaturges comme Molière. On commence à narrer l’enfance puis vient le succès et tout à coup, il ne s’agit plus d’un homme mais de son œuvre : on enfile les titres en racontant ce qu’ils contiennent et le succès ou l’insuccès qui leur revient. Une naissance à Bordeaux d’un père tailleur et d’une mère professeur de piano, des études au lycée Chaptal, des vers précoces, des vacances à Arcachon puis l’illumination en assistant à la pièce de Giraudoux, Siegfried, à la Comédie des Champs-Élysées où il découvre que le théâtre peut s’imprégner de poésie… Cette première impression s’enrichit quand il assiste aux Mariés de la Tour Eiffel que Jean Cocteau donne au public parisien. « Je n’ai pas de biographie », déclarait-il. Il était entré aux Grands Magasins du Louvre pour répondre aux courriers des clients. Une carrière angoissée Tout auteur a son metteur en scène. Ni Brecht ni Artaud
Jean Cocteau Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jean Cocteau Jean Cocteau en 1923.Bibliothèque nationale de France Œuvres principales Signature Jean Cocteau, né le 5 juillet 1889 à Maisons-Laffitte et mort le 11 octobre 1963 dans sa maison de Milly-la-Forêt, est un poète, graphiste, dessinateur, dramaturge et cinéaste français. Comptant parmi les artistes qui ont marqué le XXe siècle, il a côtoyé la plupart de ceux qui ont animé la vie artistique de son époque. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunes années[modifier | modifier le code] Clément Eugène Jean Maurice Cocteau est né le 5 juillet 1889, dans la maison de son grand-père maternel, place Sully à Maisons-Laffitte[1] dans une famille bourgeoise de Paris. Son père qui vivait de ses rentes se suicide le 5 avril 1898 à Paris, Jean Cocteau portera longtemps cette blessure. Dès l'âge de quinze ans, Cocteau quitte le cocon familial. Portrait de Jean Cocteau peint entre 1910 et 1912. Raymond Radiguet[modifier | modifier le code]
Le personnage d'Antigone Il faut croire que le nom d'Antigone est prédestiné à une vie difficile. Les trois héroïnes que nous allons voir ont toutes connu un destin tragique. Antigone sur la tombe de son frère (© Musée du Louvre) ① Antigone est la fille incestueuse d'Oedipe, roi de Thèbes et de la reine Jocaste (qui est aussi sa grand-mère). Après le suicide de Jocaste, honteuse de son inceste involontaire, Oedipe, qui s'est crevé les yeux, s'exile à Colone sous la conduite d'Antigone. Oui, tu seras toujours chez la race nouvelle De l'amour filial le plus parfait modèle; Tant qu'il existera des pères malheureux Ton nom consolateur sera sacré pour eux: Il peindra la vertu , la pitié vive et tendre. Après la mort d'Oedipe, les jeunes filles reviendront volontairement à Thèbes où le roi Créon, leur oncle, avait promis de marier Antigone à son fils Haemon ou Hémon. Pour ne pas se souiller, Créon la condamna à être enfermée vivante dans le tombeau des Labdacides où elle devait mourir de faim.
Caligula (Camus) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Caligula est une pièce de théâtre en 4 actes écrite par Albert Camus, entamée en 1938 (le premier manuscrit date de 1939), et publiée pour la première fois en mai 1944 aux éditions Gallimard. La pièce fera par la suite l'objet de nombreuses retouches. Elle met en scène Caligula, empereur romain tyrannique qui agit avec démesure, en quête d'impossible. Voici le thème de la pièce présenté par l'auteur lui-même (dans l'édition américaine de Caligula and Three Other Plays, en 1957) : « Caligula, prince relativement aimable jusque-là, s'aperçoit à la mort de Drusilla, sa sœur et sa maîtresse, que le monde tel qu’il va n’est pas satisfaisant. Mais, si sa vérité est de se révolter contre le destin, son erreur est de nier les hommes. La version définitive est la version en quatre actes de 1944, d'abord publiée conjointement avec Le Malentendu puis éditée seule la même année. La création de Caligula en 1945 révéla Gérard Philipe. Portail du théâtre
Victorien Sardou Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Sardou. Victorien Sardou Victorien Sardou en 1880 Victorien Sardou, né le 5 septembre 1831 à Paris où il est mort le 8 novembre 1908, était un auteur dramatique français, connu également pour ses eaux-fortes médiumniques. Biographie[modifier | modifier le code] Victorien Sardou est issu d'une famille provençale qui possède une oliveraie au Cannet, près de Cannes. Ses débuts sont particulièrement difficiles. Un autre drame, Bernard Palissy, est accepté à l'Odéon, mais un changement de direction annule l'engagement. Sardou se trouve plongé dans la plus noire misère, et ses malheurs culminent avec une attaque de fièvre typhoïde qui manque de l'emporter. Victorien Sardou fait rapidement jeu égal avec les deux maîtres du théâtre d'alors, Émile Augier et Alexandre Dumas fils. Il moque la bourgeoisie égoïste et vulgaire dans Nos intimes ! Portraits[modifier | modifier le code] G. Œuvres[modifier | modifier le code]
Samuel Beckett Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Beckett. Samuel Beckett Samuel Beckett en 1977. Œuvres principales Compléments Biographie[modifier | modifier le code] Enfance[modifier | modifier le code] Samuel Barclay Beckett est né le 13 avril 1906[4] dans une famille bourgeoise irlandaise protestante : l'événement fut signalé dans la rubrique mondaine d'un journal irlandais (The Irish Times) daté du 16 avril. Formation[modifier | modifier le code] Débuts littéraires[modifier | modifier le code] C'est en 1929 que Beckett publie son premier ouvrage, un essai critique intitulé Dante... En 1930, il revient au Trinity College en tant que lecteur et écrit en 1931 un deuxième essai en anglais intitulé Proust. Après plusieurs voyages en Europe, notamment en Allemagne, il se fixe en janvier 1938 définitivement à Paris, rue des Favorites, dans le 15e arrondissement[11], peu avant la Seconde Guerre mondiale. Succès[modifier | modifier le code] — More Pricks than Kicks, 9
Jean Vilar Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Vilar. Jean Vilar Œuvres principales Le Théâtre, service public - Gallimard, 1975. Jean Vilar est un comédien de théâtre et de cinéma, un metteur en scène et un directeur de théâtre français, né le 25 mars 1912 et mort le 28 mai 1971 à Sète. Repères biographiques[modifier | modifier le code] Plaque sur la maison natale de Jean Vilar à Sète. Tombe au cimetière marin. À Avignon, la Maison Jean-Vilar rassemble ses archives personnelles, les maquettes et les costumes des spectacles qu’il a créés à Avignon à partir de 1947 et au Théâtre national populaire (1951-1963). Filmographie[modifier | modifier le code] Théâtre[modifier | modifier le code] Théâtre Jean Vilar à Montpellier. Comédien[modifier | modifier le code] Maison Jean Vilar à Avignon. Metteur en scène[modifier | modifier le code] Années 1940 Années 1950 Années 1960 Indications bibliographiques[modifier | modifier le code] Textes de Jean Vilar
Georges Courteline Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Georges Courteline Georges Courteline vers 1890. Œuvres principales Le commissaire est bon enfant (1900), L'article 330 (1900), La paix chez soi (1903), Les balances (1901) §Biographie[modifier | modifier le code] Georges Courteline est le fils de l'écrivain et auteur de théâtre Joseph Moineaux, connu sous le nom de plume de Jules Moinaux. Georges Courteline, né à Tours en 1858, fut, cependant, un authentique enfant de la Butte Montmartre. Après ses études au collège de Meaux, il fait son service militaire à Bar-le-Duc en 1879 au 13e régiment de chasseurs à cheval qui lui inspirera quelques-unes de ses célèbres satires. Georges Courteline vers 1900. Petit homme sec, ronchonnant et rouspétant, il descend, tous les jours et à la même heure, la rue Lepic pour se rendre avenue Trudaine à l'Auberge du Clou qu'il fréquente régulièrement de 1888 à 1893. Georges Courteline se définit lui-même comme un observateur avisé de la vie quotidienne.