Alain Aspect Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Alain Aspect Alain Aspect à l'université de Tel Aviv (2010) Alain Aspect pendant une conférence en 2012 Alain Aspect est un physicien français, né en 1947, connu notamment pour avoir conduit le premier test concluant portant sur un des paradoxes fondamentaux de la mécanique quantique, le paradoxe Einstein-Podolsky-Rosen. Alain Aspect est le lauréat de la médaille d'or du CNRS en 2005, du Prix Wolf en 2010, du Prix Balzan en 2013, et a été nommé grand prix de l’Optical Society of America (OSA), la Ives Medal / Jarus Quinn Prize en 2013. Parcours professionnel[modifier | modifier le code] En 1992, il retourne à Orsay au sein de l'Institut d'optique en tant que directeur de recherche au CNRS. Il a été nommé en 2011 à la Thomson Reuters citation Laureate, ce qui fait de lui une personnalité « officiellement » nobélisable[8]. Bibliographie[modifier | modifier le code] A. Notes et références[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia :
Quantum Weirdness Replaced by Classical Fluid Dynamics – The Resonance Project Foundation A French team of scientists, led by Physicists Yves Couder and Emmanuel Fort, investigated alternative possibilities in the wave-particle duality interpretation of the double slit experiment by observing bouncing droplets in a vibrating oil bath. The remarkable results have caught the attention of the public eye as this approach may resolve some of the weirdest behaviors of particles at the quantum scale. Couder and Fort demonstrate in a simple experiment that fluid dynamics may be the classical underlying mechanism of quantum particles apparent strange behaviors without resorting to the need for a mysterious and seemingly magical interpretation of modern quantum theory. It is my firm belief that the last seven decades of the twentieth century will be characterized in history as the dark ages of theoretical physics. I no longer regard this [statistical] interpretation as a finally satisfactory one, even if it proves useful in practice. By: William Brown
La nature de la réalité … … ou comment des travaux de physiciens des liquides français vont peut-être changer notre vision du monde microscopique La mécanique quantique est le domaine de la physique à la fois le plus mystérieux et le plus popularisé auprès du grand public. Lorsqu’elle a été inventée dans les années 20, ses propriétés mathématiques parraissaient si étranges que de nombreux débats philosophiques ont eu lieu pour comprendre l’implication de cette physique sur la notion de réalité même. (source image) Ce qu’il y a d’étonnant dans la mécanique quantique est qu’elle donne une vision fondamentalement incertaine du monde. D’un point de vue purement scientifique, une école de pensée, dite de Copenhague, a fini par s’imposer. Einstein (parmi d’autres) n’accepta jamais cette interpétation. Instabilité de Faraday (tiré de Bush JW, PNAS, 2010) Transportons-nous maintenant au début des années 2000. (pour les non-anglophones, une version sous-titrée de cette vidéo est disponible sur dot sub ) Comment ? Références
A physicist's best friend: Quantum coherence in diamond augments fluorescence thermometry (Phys.org) —Thermometry – the measurement of temperature – is critical to a wide range of applications, including many industrial processes, biomedical monitoring, and environmental regulatory systems. However, measuring temperature in the presence of high RF (radio frequency) or other electromagnetic fields – such as are found in aerospace, automotive and medical systems – cannot be accomplished using electrical thermometric probes. In these cases, optical sensors that allow scientists to perform thermometry based on thermally-driven changes in fluorescence (brightness) are the instrument of choice. While typical fluorescence thermometers use millimeter-scale optical probes, smaller devices are needed to measure temperatures in intracellular and other nanoscale environments. As a result, the field has witnessed the development of nanoscale fluorescence thermometers based on quantum dots, rare-earth ions and nanogels. Prof.
Eric Lerner Professional work[edit] Lerner received a BA in physics from Columbia University[4] and started as a graduate student in physics at the University of Maryland, but left after a year due to his dissatisfaction with the mathematical rather than experimental approach there.[5][6] He then pursued a career in popular science writing. Lerner is also an active general science writer, estimating that he has had about 600 articles published.[3] He has received journalism awards between 1984 and 1993 from the Aviation Space Writers Association. In 2006 he was a Visiting Scientist at the European Southern Observatory in Chile.[18] The Big Bang Never Happened[edit] Lerner's 1991 book, The Big Bang Never Happened The Big Bang Never Happened: A Startling Refutation of the Dominant Theory of the Origin of the Universe (1991) is Lerner's controversial book which rejects mainstream Big Bang cosmology, and instead advances a non-standard plasma cosmology originally proposed by Hannes Alfvén in the 1960s.
Du quantique dans l’écoulement de l’eau Le niveau monte. Bientôt pour devenir plombier, il faudra maîtriser la physique quantique, cette théorie des particules dont on se demande bien comment elle aiderait à régler des soucis de tuyaux. Pourtant, sans elle, impossible de résoudre un problème de plomberie vieux d’une quinzaine d’années, à en croire un article paru dans Nature, le 3 février. Depuis plusieurs années, les physiciens ont découvert que l’eau s’écoule 10 000 fois plus vite dans de microscopiques tubes de quelques dizaines de nanomètres de diamètre fait en carbone. Pour expliquer ces phénomènes, Lydéric et Marie-Laure Bocquet (ENS Paris) avec Nikita Kavokine (ENS Paris et Institut Flatiron à New York) ont profité des périodes de confinement pour se plonger dans la littérature scientifique, y compris dans des grimoires que leurs spécialités, la chimie et l’hydrodynamique, ignoraient jusqu’alors. Ils ont ensuite testé une première hypothèse quantique. Idem pour l’effet du diamètre du tuyau.
LA NATURE SANS FOI NI LOI Illustration :Atelier de modélisation d'architecture des plantes, regroupant le Laboratoire de Biomodélisation du CIRAD de Montpellier, l'Institut de Botanique de l'USTL à Montpellier, le Département d'Informatique de l'ULP à Strasbourg et le Laboratoire d'Informatique de l'ENS à Paris Quatrième de couverture : Relativité générale, modèles d'univers courbes et dynamiques, explosion primordiale, mécanique de l'atome, physique quantique, trous noirs : désormais, pour dialoguer avec l'Univers, l'homme emprunte presque exclusivement la parole scientifique. La science est-elle pour autant capable de maîtriser le réel en l'enfermant dans ses équations ? La nature est-elle vraiment soumise aux lois théoriques, comme voudraient le faire croire bien des chercheurs ? L'Univers n'est-il pas, au contraire, pleinement autonome ? Ces questions dérangeantes, Christian Magnan ose les poser : à lui-même, à la communauté scientifique, à chacun d'entre nous.
Un effet quantique serait à l’origine des mutations spontanées de l'ADN ⇧ [VIDÉO] Vous pourriez aussi aimer ce contenu partenaire (après la pub) La complexité de toute forme de vie sur Terre se base principalement sur la précision de l’information génétique, compressée dans chaque cellule qui la compose. Cependant, il arrive que cette précision subisse des erreurs pouvant conduire à des incompatibilités ou des mutations de l’ADN. Il suffit que la nature des liaisons hydrogène entre les paires de bases change très légèrement pour qu’un défaut d’appariement se produise. James Watson et Francis Crick se sont inspirés des travaux de Rosalind Franklin et Maurice Wilkins pour découvrir en 1952 la structure en double hélice de l’ADN. Un défaut dans la liaison hydrogène peut rompre cet équilibre strict en faisant s’assembler les mauvaises paires de bases, et entraîner ainsi ce que l’on appelle une incompatibilité d’ADN. Source : Nature Communications Physics
Scientists invent 'quantum flute' that can make particles of light move together University of Chicago physicists have invented a "quantum flute" that, like the Pied Piper, can coerce particles of light to move together in a way that's never been seen before. Described in two studies published in Physical Review Letters and Nature Physics, the breakthrough could point the way towards realizing quantum memories or new forms of error correction in quantum computers, and observing quantum phenomena that cannot be seen in nature. Assoc. Prof. David Schuster's lab works on quantum bits—the quantum equivalent of a computer bit—which tap the strange properties of particles at the atomic and sub-atomic level to do things that are otherwise impossible. The system they devised consists of a long cavity made in a single block of metal, designed to trap photons at microwave frequencies. But their oddest discovery was the way the photons behaved together. In nature, photons hardly ever interact—they simply pass through each other. Beyond that, the experiments are just fun.
À quoi ressemble le vide quantique ? Quoique suggère son nom, rien n’est plus opposé au vide que le vide dit "quantique". C’est un espace bel et bien habité, impossible à vider totalement, empli de ce qu’on pourrait appeler de la matière "fatiguée", constituée de particules dont l’existence, sans être perceptible, n’est que potentielle. Ces particules évoluent tels des fantômes, agités, certes, mais qui ne possèdent pas assez d’énergie pour pouvoir se matérialiser et devenir directement observables. Pour réveiller ces Belles au bois dormant et les faire exister vraiment, il faut leur offrir l’énergie qui manque à leur pleine incarnation. Ces particules peuvent être de diverses natures. La chronique est à écouter dans son intégralité en cliquant sur le haut de la page.
La révolution quantique : tout comprendre en un livre Le livre. Coïncidence bienvenue, la même semaine où le Français Alain Aspect recevait le prix Nobel de physique 2022, un de ses confrères, Julien Bobroff, publiait un ouvrage narrant le cœur du travail récompensé par l’académie suédoise. C’est heureux car le sujet, la physique quantique, est difficile. Et plus particulièrement ce qu’Alain Aspect a lui-même baptisé « la seconde révolution quantique ». Heureux aussi car cette vulgarisation est faite par l’un de ses plus brillants représentants, professeur à l’université Paris-Saclay, qui creuse ce terrain depuis plusieurs années. Lire aussi : Article réservé à nos abonnés Le Nobel de physique récompense le Français Alain Aspect, pionnier de la « seconde révolution quantique » La méthode est la même. Le reste vaut aussi le détour car les applications sont déjà là, ou presque, sans qu’on le voie vraiment. Il vous reste 17.5% de cet article à lire.