background preloader

L’Oréal, leader des cosmétiques mais pas encore du développement durable - Cosmétique

L’Oréal, leader des cosmétiques mais pas encore du développement durable - Cosmétique
Alors que Jean-Paul Agon s’apprête à annoncer le nouveau plan RSE (responsabilité sociétale des entreprises) de L’Oréal pour 2015-2020, L’Usine Nouvelle a dressé le bilan développement durable du numéro un mondial des cosmétiques. Ce mercredi 23 octobre, c’est Jean-Paul Agon en personne, le PDG de L’Oréal, qui s’apprête à dévoiler le nouveau plan de responsabilité sociétale (RSE) du groupe pour l’horizon 2015-2020. Peut-on être à la fois le numéro un mondial des cosmétiques et se faire l’apôtre du développement durable ? C’est ce que veut démontrer le patron du groupe français. L’occasion pour L’Usine Nouvelle de dresser le bilan RSE du champion de la beauté. Des résultats chiffrés peu satisfaisants Les chiffres tout d’abord. Pas pionnier du développement durable L’importance de la RSE au sein des grands groupes industriels s’est accélérée il y a une dizaine d’années. Deux principes : discrétion et innovation A défaut d’être le premier, le champion de la beauté a imprimé sa marque.

Face à L’Oréal, le journalisme d’investigation impitoyable du Parisien Une enquête de « terrain » ? Le titre du dossier, « L’Oréal est-il un géant vert ? », aurait pu être celui d’une enquête qui, conduite avec rigueur, sérieux et indépendance, n’aurait pas été dénuée d’intérêt. Le texte d’ouverture est un modèle du genre… publi-reportage. Car, oui, « nous sommes allés vérifier sur le terrain la réalité des engagements pris pas la multinationale ». - « Dans le laboratoire de recherche avancée à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), les scientifiques imaginent des formules plus écologiques » Comment ? Plus loin, il est malgré tout précisé, à propos de vérification, que « le groupe [L’Oréal] a choisi de soumettre son programme de développement durable à un panel de neuf personnalités de haut vol, dirigeants d’entreprises sociales et d’ONG environnementales internationales, pour en pointer les avancées, les retards et les faiblesses ». Des chiffres « maison » ? Et les autres chiffres du dossier, dans les pages suivantes, sont à l’avenant. Benjamin Lagues

Outils d’analyse de l’environnement (SWOT & PESTEL) | Chronoos Il existe différents outils d’analyse de l’environnement interne et externe d’une entreprise. Ces outils permettent à une entreprise d’avoir conscience de ses forces et ses faiblesses et d’évaluer les menaces et les opportunités auxquelles elle peut faire face. Les deux outils présentés ci-dessous se complètent l’un l’autre. 1. Analyse SWOT Matrice SWOT Une analyse SWOT (Strengths, Weaknesses, Opportunities, Threats ou Forces, Faiblesses, Opportunités, Menaces) est l’analyse des forces et des faiblesses internes à l’entreprise et les menaces et opportunités externes à l’entreprise (son environnement). Pour compléter la matrice on peut se poser des questions du type : quelle est la tendance du marché ? L’analyse de la matrice permet à l’entreprise de déterminer ses faiblesses à effacer, ses forces à entretenir, ses opportunités à développer et ses menaces à traiter. Exemple d’analyse SWOT pour l’Oréal (source : Forces de l’Oréal 2.

Libramont: première usine verte du groupe L’Oréal | Namur - Luxembourg Elle fait partie d’une multinationale mondialement connue et c’est une des plus importantes usines de la province de Luxembourg. L’Oréal est installée à Recogne depuis 40 ans et offre de l’emploi à 400 personnes (363 équivalents temps plein), mais aussi une volée d’emplois indirects. Trop à l’étroit dans son unité de production d’Uccle, créée en 1948, L’Oréal cherchait à l’époque à s’étendre et c’est en Centre-Ardenne qu’elle jeta son dévolu, sur un site de 45 ha qu’Idélux et le gouverneur Brasseur avaient proposé avec conviction. Si L’Oréal visait au départ le marché « régional », c’est-à-dire du Benelux, France et Allemagne, avec une multitude de produits (vernis, shampooing, rouge à lèvres, coloration des cheveux), elle s’est en 1998 spécialisée dans trois produits (shampooings, aérosols et colorations), puis a éliminé les shampooings en 2002 avant de ne plus produire que les seules colorations en 2013, pour tout le marché européen.

Related: