Les troubles de l’attention (avec ou sans TDA/H) Par Francine Lussier. Pour en savoir plus sur cet ouvrage, cliquez ici. Parce que l’enfant ayant un TDA/H présente davantage de comportements impulsifs, parce qu’il est agité dans des lieux où il faudrait qu’il se tienne tranquille, parce qu’il ne semble pas obéir ou répondre aux demandes ou exigences formulées par les adultes, parce qu’il a un plus faible seuil de tolérance à la frustration, parce qu’il est davantage porté à défier l’autorité, parce qu’il vit davantage de conflits avec ses camarades ou avec sa fratrie, parce qu’il est souvent moins autonome dans ses jeux et réclame davantage la participation de ses parents, parce qu’il demande beaucoup plus d’interventions de la part de l’adulte pour le contenir, il épuise les parents qui, continuellement, sont amenés à s’interroger sur la meilleure façon d’agir avec leur enfant. Lire la suite Par Isabelle DEMAN Accompagner un élève avec PPS ou PPRE d’Isabelle Deman sera disponible le 24 mars 2014 en librairie. Lire la suite Lire la suite
Trouble déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) : repérer la souffrance, accompagner l'enfant et la famille Souvent réduit au terme "hyperactivité" ou à des enfants turbulents, le trouble déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) est pourtant un trouble complexe, difficile à repérer et qui associe différents symptômes. Le prendre en charge est pourtant essentiel pour les enfants et adolescents qui en souffrent au quotidien. La Haute Autorité de Santé (HAS) publie aujourd'hui une recommandation afin d'aider les médecins de premier recours à savoir réagir, établir un prédiagnostic et accompagner les enfants et adolescents concernés ainsi que leur famille. Les professionnels de santé sont peu ou pas formés au TDAH, et ont souvent des difficultés pour répondre aux inquiétudes des familles, identifier le trouble, apporter un soutien à l'enfant et éventuellement l'orienter vers une prise en charge adaptée. Le TDAH, une souffrance au quotidien et inscrite dans la durée… 1. le déficit de l'attention 2. l'hyperactivité motrice 3. l'impulsivité … mais dont le repérage s'avère complexe
TDAH : la méditation à l’étude Quoi de neuf? TDAH : la méditation à l’étude Publié le 18 avril 2013 par Carolann Claveau La méditation est une activité pratiquée par plusieurs adeptes désirant, entre autres, se détendre et diminuer leur niveau de stress. Il est peut-être trop tôt pour l’affirmer hors de tout doute. Selon les chercheurs, les données recueillies pendant une étude américaine permettent de constater que la capacité d’absorption donne aux participants une plus grande habileté à se concentrer sur une information précise et à filtrer les interférences. Les bienfaits cliniques de la méditation ont déjà été prouvés en ce qui concerne les troubles d’anxiété. [Consulter l’article] AK Rockefeller Dernière modification : 3 mars 2014. Mots-clés : méditation, source recherche, TDA/H, trouble_attention Contribuez à l'appréciation collective Cette information est-elle utile à votre pratique ? (Aucun vote actuellement) Il n’y a aucun commentaire présentement. Écrire un commentaire Politique éditoriale des commentaires Infolettre
De l'hyperactivité dans l'enfance à la dépressivité à l'adolescence L’historicité du trouble est très importante car le TDAH débute dans l’enfance. Les plaintes actuelles, l’évaluation systématique des symptômes psychopathologiques et l’histoire développementale seront questionnées. L’histoire de la grossesse et de l’accouchement sera investiguée en ce qui concerne les antécédents néonataux et périnataux tels que la prématurité, l’utilisation des drogues, la nicotine ou l’alcool pendant la grossesse. Le développement psychomoteur de l’enfant sera étudié : âge d’apparition de la marche, de la parole et de propreté. L’entrevue de l’adolescent avec ses parents permet d’appréhender le fonctionnement familial, l’histoire familiale ainsi que les interactions entre l’adolescent et ses parents. Le fonctionnement général du jeune à l’école, dans la société et dans le groupe de pairs pourra être évalué comme les éventuelles comorbidités qui peuvent alors être vérifiées (notamment la consommation éventuelle de toxiques).
Le trouble du déficit de l'attention/hyperactivité Présentation Cet ouvrage propose un portrait complet et réaliste du trouble du déficit de l’attention/hyperactivité (TDA/H) chez l’enfant. Avec rigueur mais en toute simplicité, il aborde les causes de ce dysfonction-nement, ses symptômes, les autres troubles qui peuvent y être associés ainsi que les traitements pharmacologiques possibles. Quatre règles de vie importantes, desquelles découlent de nombreuses stratégies éducatives et comportementales, sont également formulées pour permettre aux divers intervenants de soutenir avec optimisme l’enfant atteint du TDA/H. Un court chapitre s’adresse directement à l’enfant. Auteur Martin L. Adaptation : Stéfanie Duval Table des matières 1. Une définition du TDA/H tenant compte de la « dysfonction exécutive » Les différents types de problèmes associés au TDA/H Existe-t-il une solution ? 2. Rester positif Les chances de succès sont bonnes 3. Rester calme : éteindre le feu au lieu de l’attiser L’approche coopérative de résolution de problèmes 4. 5. 6. 7.
article7 Marc-Antoine Crocq Maison des Adolescents du Haut-Rhin, Mulhouse La nouvelle édition de la classification de l’association américaine de psychiatrie, le DSM-5, a été publiée en mai 2013. Les critères diagnostiques du trouble déficit de l’attention/hyperactivité (TDAH) ont évolué depuis le DSM-IV (1994) et le DSM-IV-TR (2000). La nouvelle édition de la classification de l’association américaine de psychiatrie, le DSM-5, a été publiée en mai 2013. Le TDAH est maintenant inclus dans un chapitre intitulé « Troubles neurodéveloppementaux », et non plus dans les « Troubles habituellement diagnostiqués pendant la première enfance, la deuxième enfance ou l’adolescence ». Tableau comparatif des critères du DSM-IV et du DSM-5 pour le TDAH. Les « types » du DSM-IV (mixte, inattention prédominante, hyperactivité/impulsivité prédominante) deviennent dans le DSM-5 des « présentations » qui peuvent être spécifiées. Références American Psychiatric Association – DSM-IV-TR. Ce qu’il faut retenir
Les 50 Trucs pour la gestion académique du déficit d’attention Les 50 Trucs pour la gestion académique du déficit d’attentionEdward M. Hallowell, M.D. et John J. Ratey, M.D. © 1992 Dr Edward M. Les professeurs savent ce que beaucoup de professionnels ignorent : il n’y a pas qu’un seul mais plusieurs syndromes du déficit d’attention. Il n’y a pas de solution facile permettant de gérer le déficit d’attention, que ce soit en classe ou à la maison. Voici quelques trucs de gestion scolaire, concernant l’enfant qui souffre d’un déficit d’attention (TDA). 1. 2. 3. 4. Mais essayez de vous asseoir avec l’enfant seul à seul, et demandez-lui de quelle façon il apprend le mieux. De plus, et surtout avec les enfants plus âgés, assurez-vous qu’ils comprennent bien ce qu’est le déficit d’attention. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. Ces enfants tolèrent mal les transitions et les changements imprévus. 13. 14. 15. 16. 17. 18. Les gros travaux ont vite fait d’écraser l’enfant qui se révolte par une réponse émotive telle que : " je-ne-serai-jamais-capable-de-faire-ça ".
Mon enfant a un trouble de l’Attention avec Hyperactivité (TAD-H) Pour évaluer les désordres de l’attention chez les enfants, les professionnels distinguent trois grands types d’attention : - L’attention soutenue, appelée encore concentration ou vigilance, qui est la capacité à maintenir son tonus mental, ou vivacité d’esprit, un long moment sur une même activité. - L’attention sélective qui définit la capacité à rehausser l’information prioritaire et inhiber les sources de distraction Quels sont les critères diagnostiques ? Il existe plusieurs types de syndromes TDA-H en fonction des critères diagnostiques ; un déficit de l’attention/hyperactivité avec inattention prédominante ou un déficit de l’attention/hyperactivité avec hyperactivité-impulsivité prédominante. Le diagnostic : sur quels examens ? un syndrome neurogénétique, une épilepsie, un traumatisme crânien, une dyspraxie visuo-spatiale, des troubles des conduites, des troubles réactionnels de l’attachement. Quelles prises en charge et quels types d’aménagements scolaires ?
Une « boîte à outils » a été créée dans le cadre d’un mémoire sur les enfants TDA/H. Une « boîte à outils » a été créée dans le cadre d’un mémoire sur les enfants TDA/H. Il s’agit d’une boîte à outils à utiliser lors du travail scolaire à domicile (devoirs, leçons, …). Celle-ci est adressée aux enfants TDA/H entre la 3ème primaire et la 6ème primaire. Cet outil vise à améliorer l’attention, la gestion du temps, ainsi que l’autonomie de l’enfant lors de son travail à domicile. Si vous ou votre enfant en avez marre des périodes de devoirs interminables et fatigantes, et si vous voulez aider une étudiante dans la réalisation de son mémoire, alors ce matériel est fait pour vous! Contactez Morgane OLIVIER, pour poser vos questions ou vous inscrire dans ce projet, … Au numéro 0499/10.43.09 (en semaine, après 19H) ou au numéro 081/46.22.22 (uniquement le week-end), ou encore via l’adresse mail : olivier.morgane@hotmail.com Merci! Like this: J'aime chargement…
L'enfant hyperactif, enfants à besoins particuliers. Tout d’abord, j’ai choisi d’aborder ce sujet, car il arrive fréquemment qu’un intervenant dans le domaine de l’éducation préscolaire ou scolaire côtoie un enfant atteint d’un déficit de l’attention avec hyperactivité. Par contre, dans la plupart des cas, le diagnostic ne se fait qu’à l’âge scolaire, même si la plupart des symptômes apparaissent avant l’âge de sept ans. Donc, grâce aux observations quotidiennes des éducateurs et éducatrices, il est possible de déceler des symptômes ressemblants de près à ce trouble de comportement et d’agir immédiatement afin d’aider le mieux possible l’enfant ainsi que ses parents à vivre avec plus de facilité cette difficulté. Il n’est pas toujours évident de partager notre quotidien avec un enfant hyperactif, car il nous demande beaucoup d’énergie et avons l’impression qu’aucune de nos interventions n’est bénéfique. Je vais vous citer quelques symptômes présents chez les enfants hyperactifs. Interventions et activités à réaliser Bonne semaine à tous !
50 trucs de gestion du déficit d'attention de l'adulte Plusieurs ont consulté différent(te)s spécialistes, sans recevoir d’aide véritable. Finalement, plusieurs d’entre eux perdent goût en leur avenir. En premier lieu, dès le début du traitement, il faudra, refaire cette confiance. Ces individus qui présentent un TDAH auront oublié le meilleur d’eux-mêmes. Ils ont perdu, depuis longtemps, le goût de s’en sortir. Ils se croient coincer dans un solide étau, et s’inventent diverses croyances ou moyens de survie, seulement pour se garder la tête hors de l’eau. Nous allons diviser le traitement du déficit d’attention en cinq sections de base : [2]1. 2. 3. 4. 5. Dans cet exposé, nous allons faire l’esquisse de quelques principes généraux qui s’appliquent autant aux enfants qu’aux adultes, à propos des aspects non-médicamenteux du traitement du TDAH. Voici cinquante (50) de ces trucs que je présente ci-dessous : 1- Autocritique et Éducation 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. II. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. 22. 23. 24. 25. 26. 27. 28.
conners_enseignant_version2_courte.pdf Trouble du déficit d’attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H) | Troubles émotionnels et du comportement Source: Il existe trois types élémentaires du TDA/H. Le déficit d’attention est la base du TDA/H, mais il se divise en différents types qui changent sur l’aspect comportemental. ■ Type déficitaire d’attention (TDA) C’est la base de ce trouble. ■ Type hyperactif (TDAH) Ce type est très connu et répandu chez les enfants. ■ Type impulsif Les gens de ce type agissent ou parlent avant de réfléchir, prennent des risques et ont un tempérament explosif. Généralement, les gens atteint de TDA/H alternent souvent entre deux ou trois de ces types, avec des cycles courts. Symptômes Toute personne qui a de la difficulté à se concentrer ou a la bougeotte ne souffre pas nécessairement d’un TDA/H pour autant. Inattention - Prête difficilement attention aux détails, fait des erreurs d’inattention. - A du mal à soutenir son attention. - Ne semble pas écouter quand on lui parle directement. 1. 2. 3. 4.
Turbulent ou hyperactif ? Il peut être difficile de distinguer la simple agitation de l'hyperactivité infantile. Des hypothèses sur cette pathologie tentent d'en comprendre les mécanismes, pour mieux envisager sa prise en charge. Que n'a t-on dit, pensé, écrit ou vu sur l'hyperactivité infantile ? Il reste toujours aujourd'hui à fournir un modèle suffisamment cohérent de l'hyperactivité de l'enfant, susceptible d'intégrer ou de rendre compte de la plupart des manifestations cliniques rencontrées au cours de l'évolution de cette pathologie. État des lieux... « Je n'en peux plus », « il est infernal », « il n'arrête jamais », « il me pousse à bout »... Comment distinguer, cependant, une simple fébrilité motrice d'une hyperactivité franchement excessive et à risque ? Lorsqu'on se place dans une perspective historique, la situation apparaît beaucoup plus nuancée. Plus récemment, concernant « l'épidémie » actuelle d'enfants instables, là encore, les dernières études permettent de relativiser les choses.