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Petits rappels sur le genre

Petits rappels sur le genre
Petits rappels sur le genre Sexe et genre : quelle différence ? Sexe et genre sont deux notions liées, mais qu’il convient de distinguer. Le terme « sexe » renvoie aux différences physiques distinguant les hommes et les femmes (organes reproducteurs, pilosité etc.), alors que le « genre » (qu’on peut aussi appeler « sexe social ») renvoie aux rôles déterminés socialement et aux comportements qu’une société considère comme caractéristiques des hommes et des femmes. En France, dans la vie de tous les jours, on entend souvent qu’un homme se doit d’être protecteur et d’avoir une certaine autorité. « Homme » et « femme » sont donc deux catégories de sexe, tandis que « masculin » et « féminin » sont des catégories de genres. Si les sexes présentent des caractéristiques à peu près constantes à travers le temps et l’espace (partout dans le monde et de tout temps, les femmes ont eu un vagin et les hommes un pénis), les genres changent en fonction des époques et des sociétés. Des sociétés genrées ?

"Le genre, ça ne se tient pas entre les jambes, ça se tient entre les oreilles" | Site mobile Le Point Quand elle était petite, Olivia rêvait d'être pilote de ligne, pas hôtesse de l'air. Elle avait un corps de garçon, elle vivait comme un garçon, mais, au fond, elle se sentait fille. Elle grandit, se marie, fonde une famille ; elle entre au Grand Orient de France, fait une belle carrière d'architecte. Tout ça dans la peau et sous le nom d'un certain Olivier Chaumont, un type doué, charmeur, sympa. À 50 ans, celle qui n'a aucun doute sur le fait d'être une femme mais vit toujours comme un homme décide de rectifier la nature. Mais la vraie révolution est plus complexe, moins visible : c'est celle qu'engage silencieusement la communauté trans en France. Le Point.fr : À partir de quand on se rend compte qu'il y a eu maldonne, qu'on a l'air de quelqu'un que l'on n'est pas ? Olivia Chaumont : Tout de suite. Après la conviction vient la "verbalisation"... On entre alors dans la première période difficile. Dans votre cas, vous avez mis 50 ans à rouvrir le tiroir... C'est ça. Bien sûr.

Le genre Pour comprendre ce qu’est le genre, le plus facile est de l’opposer au sexe. Le sexe relève du biologique, on nait en général avec des chromosomes XX ou XY (sauf exception, voir rubrique intersexe). Cela fait qu’on nous désigne comme homme ou femme, que l’on aura un pénis, des testicules, une barbe qui pousse, une pomme d’adam ou à l’inverse des ovaires, une vulve, des seins, des hanches. Qu’on aura plus de testostérone si on nait homme et plus d’œstrogène si on nait femme. En résumé, ce sont les seules différences scientifiquement avérées. Le genre désigne les rôles sociaux que la ou les sociétés (où l’on va naître, grandir, traverser) vont nous attribuer. Souvent, le féminin sera un rôle de reproduction, de soin, de rassemblement, d’apaisement… et le masculin sera un rôle de production, de défense ou d’attaque, de commandement… Le problème se pose quand les attributs du genre se calquent sur ceux du sexe et que les personnes qui s’en écartent sont montrés du doigt.

Top 10 Myths About Transgender People Throwback Thursday: This article was originally published on 8/2/2012. Nearly one million adults in the US identify as transgender. And yet, most people know almost nothing about them. Even many feminists have trouble distinguishing identity from identity, term from term, myth from reality. How many of your friends and family can properly define the term “transgender?” If you’re like most of us, the answer is, not many. Why do we know so little about transgender people? When it comes to gender and sex, transgender people are breaking the rules. So they must be silenced. Transgender people are systematically silenced on a daily basis. They are not adequately represented in politics, government, or media. We don’t know them because, frankly, we don’t see them. When transgender people do live their lives in the open, they are deemed freaks, deviants, and perverts. We know this is wrong. But, we may still not know what’s right. That’s okay. Myth #1: Transgender people live crazy lives.

What’s So Bad About a Boy Who Wants to Wear a Dress? Lindsay Morris Above, a boy prepares for a fashion show at a camp for gender-variant children and their families. More Photos » When Alex was 4, he pronounced himself “a boy and a girl,” but in the two years since, he has been fairly clear that he is simply a boy who sometimes likes to dress and play in conventionally feminine ways. Some days at home he wears dresses, paints his fingernails and plays with dolls; other days, he roughhouses, rams his toys together or pretends to be Spider-Man. There have always been people who defy gender norms. Many parents and clinicians now reject corrective therapy, making this the first generation to allow boys to openly play and dress (to varying degrees) in ways previously restricted to girls — to exist in what one psychologist called “that middle space” between traditional boyhood and traditional girlhood.

JAPON • Ces Japonais qui ne veulent plus être des hommes Je hais les costards ! Je les hais plus que tout !” Une bourgeoise de quartier résidentiel, paraissant la quarantaine, ne s’arrêtait pas de parler. “J’en porte quand même un pour aller au bureau, je suis bien obligé. C’était en réalité un homme. Tout en refusant de me montrer sa carte d’identité professionnelle, il m’a expliqué qu’il gagnait plus de 10 millions de yens [77 500 euros] par an comme cadre dans un secteur prestigieux. Il n’a pas de tendance homosexuelle et pour lui le travestissement n’est rien d’autre qu’un hobby. Se tranvestir, un plaisir Récemment, des Japonais ont commencé à se métamorphoser en femmes en se maquillant et en s’affublant de beaux vêtements. Dans cette salle d’un immeuble de Kabukicho à Shinjuku, le quartier de la capitale qui ne dort jamais, il semblait irréel qu’à l’extérieur l’air fût glacial tant il y avait du monde. Cheveux courts, lèvres écarlates, “elle” me confia : “Tous les jours, je suis absorbé par le travail. Sortir des clichés La société change

J'enseigne le genre. Et je continuerai à le faire. Ce sera un billet énervé. Très énervé. Fatigué aussi. Fatigué d'entendre des ignares et des incompétents baver de haine sur quelque chose qu'ils ne connaissent pas. J'enseigne le genre parce que c'est ce que mon programme de Sciences économiques et sociales me demande de faire, n'en déplaise à Vincent Peillon qui double son ignorance crasse des sciences sociales - déjà étonnante pour un philosophe de profession... - d'une méconnaissance absolue de ce qui se passe dans l'administration dont il est le ministre. On étudiera les processus par lesquels l'enfant construit sa personnalité par l'intériorisation/ incorporation de manières de penser et d'agir socialement situées. De quelque façon qu'on le prenne, "la construction sociale des rôles associés au sexe", c'est le genre. J'enseigne le genre parce que c'est un fait. J'enseigne le genre parce que n'importe qui de bonne foi comprends très bien l'expérience de la boîte. Aux complices des attaques néo-réationnaires

Le genre n'est pas une théorie — Je veux comprendre Commençons par rétablir une vérité : si vous utilisez l’expression « théorie du genre » pour désigner les Gender Studies, ou « études de genre » en français, sachez que vous faites un contresens. Les Gender Studies sont un champ d’études interdisciplinaires, relativement nouveau. Elles sont apparues en Amérique du Nord dans les années 1970-1980. Elles rassemblent toutes les questions portant sur les différences de genre, de sexualité, de comportements dans des disciplines aussi diverses que la littérature, le langage, l’histoire, la politique, la sociologie, l’anthropologie, le cinéma, la communication (étude des médias), le droit, la médecine, et la liste continue. Par exemple, en politique, on étudiera le féminisme. Distinguer le sexe (la génétique) et le genre (la construction sociale) Les études de genre reposent sur le postulat que sexe et genre sont dissociés. Concrètement, le sexe d’un individu est déterminé par son code génétique. Le poids du genre dans notre société Diantre.

Oxford University changes dress code to meet needs of transgender students Oxford University has rewritten the laws governing its strict academic dress code following concerns that they were unfair towards transgender students. Under the new regulations, students taking exams or attending formal occasions will no longer have to wear ceremonial clothing that is specific to their gender. It will mean men will be able to sit tests in skirts and stockings and women will have the option of wearing suits and bow ties. The laws, which come into force next week, follow a motion put forward by the university's Lesbian, Gay, Bisexual, Trans and Queer society (LGBTQ Soc) was passed by the student union. Jess Pumphrey, LGBTQ Soc's executive officer, said the change would make a number of students' exam experience significantly less stressful. Pumphrey told The Oxford Student newspaper: "In future there will be no need for transgender students to cross-dress to avoid being confronted by invigilators or disciplined during their exam." • This article was amended on 30 July 2012.

Au nom de l'égalité, réduisons les performances des meilleurs élèves C'est l'un des projets les plus secrets du ministre de l'éducation Vincent Peillon, et pourtant l'un des plus ambitieux. Je ne peux révéler par quels contacts j'ai pu en avoir vent, car les personnes en question risqueraient de perdre leur place. Mais la controverse ne tardera guère à se nouer tant il s'agit d'une rupture radicale avec ce que nous avons l'habitude de penser comme la justice scolaire. Quel est ce projet ? Rien de moins que de réduire les performances des meilleurs élèves pour permettre une juste égalité des chances. Tout part d'un constat très simple : certains élèves sont plus doués que d'autres pour les études. Dès lors, une solution simple est proposée : réduire le niveau des meilleurs élèves afin que tout le monde ait sa chance. Ce projet se décline cependant différemment selon les sexes. Dès lors, tout garçon qui obtiendra des résultats exceptionnels devra faire la preuve qu'il est bien un garçon et pas une fille plus ou moins déguisée. Bref.

Maquillage : filles & garçons La dernière fois, sur sa page FB, Inhuman disait que merde alors, sur nos blogs beauté on avait toujours tendance à tout accorder au féminin...Et vas y qu'on parle de lectrICES, et qu'on se lance dans des "Salut les FILLES" et des "coucous mes choupinETTES" (sache que dans tout le cas, choupinet ou choupinette, je ne cautionne pas) Et ça fait écho, par ce que même si j'essaie de faire un peu attention, la plupart du temps je zappe, j'accorde tout au féminin par défaut, et quand je le réalise après j'ai un peu (beaucoup) la flemme de tout corriger. Et c'est très laid. Petrilude-Youtubeur Par ce qu'il y à des garçons qui me lisent. Et que je le sais de source sûre (genre dans les environs y'à Tomi Perry qui nous balance des maquillages super jolis sur son blog à lui, ou AlexJAbrard qui vient souvent et qui a toujours un mot gentil). Le maquillage c'est pour les filles, parait-il. Ils sont nombreux pourtant à prouver la bêtise de cette assertion. Tom Pecheux - maquilleur pour Estee Lauder

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