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Etes-vous plutôt cerveau gauche ou cerveau droit ?

Etes-vous plutôt cerveau gauche ou cerveau droit ?
Avant de vous parler plus longuement et dans d’autres articles de la mémoire, indissociable finalement de la lecture, j’aimerais vous parler de nos deux hémisphères… Etes-vous plutôt cerveau gauche ou cerveau droit ? Voilà un débat qui oppose régulièrement les psychothérapeutes aux spécialistes des neurosciences : y a-t-il vraiment une différence entre individus côté cerveau ? Je ne vais pas répondre à cette question car je n’en ai pas les compétences, mais je vous propose d’en savoir plus sur ces deux hémisphères qui interviennent dans notre manière de lire… Cerveau gauche, cerveau droit : les deux frères ennemis Vous n’êtes pas sans savoir que notre cerveau est composé de deux hémisphères : le gauche et le droit. Ce n’est pas tout. Cerveau droit et cerveau gauche ont également des facultés différentes, des façons de fonctionner différentes et j’en passe ! Cerveau gauche vs cerveau droit : qui l’emportera ? Cerveau gauche : Avec lui, tout est noir ou blanc ! Cerveau droit : Related:  LES NEUROSCIENCES EN EBULLITIONApprentissage et neuroscience

Neurosciences et éducation : la bataille des cerveaux Gaussel Marie & Reverdy Catherine (2013). Neurosciences et éducation : la bataille des cerveaux. Dossier d’actualité Veille et Analyses IFÉ, n° 86, septembre. Lyon : ENS de Lyon. Disponible au format PDF : 86-septembre-2013 Les débats houleux entre neurosciences et éducation existent depuis quelques décennies, mais prennent un nouveau tournant depuis les progrès considérables faits en imagerie cérébrale. Vous trouverez dans ce dossier, légèrement différent de sa forme habituelle, des renvois vers des articles de blog (de notre site Éduveille) qui nous ont permis d’approfondir des aspects techniques et d’illustrer nos propos : Ce dossier inhabituel par son volume peut être lu à plusieurs niveaux, les encadrés constituant soit un apport spécialisé (certains sont développés dans des articles publiés sur notre blog Éduveille), soit plus spécifiquement une illustration des croyances autour du cerveau, les neuromythes (également regroupés dans un article de blog Éduveille). Dyslexie

5 principes issus des neurosciences pour favoriser l'apprentissage en formation Quels sont, à votre avis, les avantages et inconvénients des pédagogies actives, ludiques et participatives ? Si les entreprises semblent conscientes de la nécessité d’amorcer un virage pédagogique dans leurs formations, elles sont parfois réticentes à l’idée de passer à l’action : est-ce vraiment utile et pertinent ? De mon point de vue, la réponse est indéniablement : OUI ! Et les recherches scientifiques menées ces dernières années vont clairement dans ce sens. Découvrez 5 principes essentiels issus des recherches en neurosciences pour mieux favoriser l’apprentissage dans vos formations. 1. Tous les êtres humains disposent d’une mémoire de travail. Le problème de notre mémoire de travail, c’est qu’elle dispose d’une capacité très limitée : elle ne peut conserver simultanément que 7 éléments (+/- 2 en fonction des individus) pendant une période de 30 secondes. De plus, les recherches montrent que l’attention des apprenants chute naturellement au bout d’environ 10 minutes. 2. 3. 4. 5. J.

Comment les émotions dirigent nos vies Les émotions dirigent notre vie… de manière très inconsciente la plupart du temps et cela en fonction des mécanismes de notre cerveau. Nous allons essayer de comprendre pourquoi et comment cela fonctionne. (Voir aussi article sur les émotions de base et leurs expressions facilales) Les émotions, le cerveau et les modes mentaux Depuis une vingtaine d’années, les neurosciences nous délivrent régulièrement de nouvelles informations sur le fonctionnement de notre cerveau. Des programmes de recherche lancés depuis quelques années apportent maintenant des résultats dans divers domaines (1) (2). Faisons tout d’abord un survol des connaissances actuelles sur la structure fonctionnelle du cerveau. Le cerveau reptilien reste la base la plus ancienne. Viennent ensuite les territoires paléo-limbiques (la partie la plus ancienne du cerveau limbique) situé en dessous du corps calleux et qui gère les rapports de force de la vie en communauté. Pourquoi ne le fait-il donc pas ? Bibliographie :

Lecture : Le cerveau attentif de Jean-Philippe Lachaux | Obifive HR Valley le blog « Ce livre est le fruit de dix ans de recherche ; il traite de ce que cela me fait de faire attention et ce qui se passe dans mon cerveau quand je fais attention. » Que notre attention soit l’effet de notre vigilance, qu’elle soit provoquée, captée voire abusée par notre environnement ou pilotée par notre volonté, c’est elle qui conditionne notre capacité à observer, comprendre et agir. L’attention est le produit de notre cerveau, elle mobilise nos sens, notre mémoire et notre système cognitif. C’est un phénomène bio physique. Pour autant, l’attention est avant tout un phénomène mental qui contribue à notre système cognitif. L’attention filtre le flow d’informations qui submergerait notre cerveau. Nous sommes attirés par, ce que nous connaissons etce qui provoque une sensation de plaisir. Nous pilotons notre attention ou parfois nous nous laissons aller à le penser… Ce livre nous apprend à domestiquer notre attention en en maitrisant le fonctionnement. nos sens. Christian Darvogne TwitThis

Comprendre le fonctionnement du cerveau avec la main (modèle de Daniel Siegel) Daniel Siegel est professeur de psychiatrie à l’UCLA School of Medicine et Directeur de Institut Mindsight. On lui doit cette modélisation de notre cerveau par la main, véritable schéma dynamique, qui vous aidera à comprendre certains comportements (comme ceux liés à la colère) et la manière de les réguler. C’est Nadine Gaudin de l’association Discipline Positive France qui nous détaille brillamment ce modèle du cerveau dans la main : L’avant-bras représente la colonne vertébrale. Le pouce contre la paume de la main est le tronc cérébral , la partie limbique des émotions. C’est le siège des émotions et des réactions en cas de stress (attaque, immobilisation, fuite). C’est la partie qui régule toutes les fonctions automatiques comme la respiration, la digestion et toutes les émotions. Lorsqu’on replie les doigts, on forme le cortex, la partie du cerveau qui permet de raisonner, de penser, de décider. Les ongles représentent le cortex préfrontal : le siège des fonctions supérieures du cerveau.

« Pourquoi certains sont-ils plus capables de gérer la complexité que... Tomas Chamorro-Premuzic*, reconnu pour ses travaux liant profilage de personnalité et leadership, livrait en février 2017 The Talent Delusion , où il dénonce l’illusion du talent : ce sont les data, pas l’intuition, qui détiennent la clé du potentiel humain. Pas plus consensuel, il avance ici comment un certain quotient de curiosité serait un bien meilleur atout que le QI face à la complexité du monde. INfluencia : en 2014, dans une tribune publiée sur le site de harvard business review, vous clamiez que la curiosité est aussi importante que l’intelligence. Selon vous, trois quotients cérébraux déterminent la capacité de l’homme à gérer la complexité, dont celui de curiosité. De quoi s’agit-il ? Tomas Chamorro-Premuzic : le quotient de curiosité [QC] est équivalent à la soif de connaissance d’un esprit. IN : la curiosité serait donc le meilleur atout face à la complexité du monde ? TCP : nous vivons dans un âge où le monde n’a jamais été aussi compliqué. TCP : non, pas un boulet.

Les dernières découverts en neuroéducation Steeve Masson, chercheur canadien en neuroéducation, propose de répondre dans la vidéo ci-dessous à la question : en quoi mieux connaître le cerveau peut-il nous aider à mieux enseigner ? Cette vidéo dure 1 heure et 15 minutes et je vous en résume les grandes lignes dans plusieurs articles : Mieux connaître le cerveau pour mieux enseigner (1/5) – Les dernières découvertes en neuroéducation Mieux connaître le cerveau pour mieux enseigner (2/5) – Utiliser la neuroplasticité pour enseigner efficacement Mieux connaître le cerveau pour mieux enseigner (3/5) – La lecture vue par les neurosciences Mieux connaître le cerveau pour mieux enseigner (4/5) – L’inhibition dans l’apprentissage des sciences et de la logique Mieux connaître le cerveau pour mieux enseigner (5/5) – 5 neuromythes invalidés par les neurosciences La plasticité du cerveau Dire que le cerveau est plastique signifie que le fait d’apprendre modifie la structure du cerveau. L’apprentissage est donc un mode dynamique.

L’optogénétique, quand la lumière prend les commandes du cerveau Depuis une dizaine d’années, le développement de l’optogénétique a bouleversé les neurosciences. En rendant les neurones sensibles à la lumière, ce nouvel outil permet d’intervenir sur le cerveau et le système nerveux. Contrôle des souvenirs, du goût, de la soif… Les domaines d’application et leurs limites sont présentées dans ce nouveau billet du blog «Aux frontières du cerveau». Le cerveau est probablement l’organe le plus complexe du corps humain. C’est un immense réseau formé de près de 100 milliards de neurones interconnectés, distribués dans différentes aires cérébrales et classés en différents sous-types selon le neurotransmetteur qu’ils libèrent en réponse à une stimulation. Pour cela, il est essentiel de pouvoir contrôler spécifiquement les différents types cellulaires qui composent les réseaux de neurones. Comment une protéine issue du monde unicellulaire pourrait-elle être utile en neurosciences ? Figure 1 : La lumière bleue ouvre la channelrhodopsine. Boyden E.

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