Temperprise : l'outil RH qui mesure la météo de votre entreprise Difficile pour un dirigeant de suivre jour après jour l'ambiance de travail de ses collaborateurs et encore moins leur humeur. Pourtant, ces données ont un impact direct sur la motivation et leur implication, et donc potentiellement, sur les performances de l'entreprise. Face à cette problématique, l'International Mindfullness Institute, structure lyonnaise spécialisée dans l'accompagnement des managers, a mis au point une solution : Temperprise, "la station météo interne collaborative" des entreprises de plus de 20 salariés. Prévoir la météo de votre entreprise Subventionné par Oséo, cet outil RH propose au dirigeant de connaître jour après jour "le temps qu'il fait" dans sa société et même d'obtenir des prévisions à la semaine de la météo de son entreprise. L'intérêt ? En effet, Temperprise ne se contente pas de restituer des "relevés météo", il formule également des prévisions d'évolution semaine après semaine en se basant notamment sur les données du mois précédent. Tarifs :
Développement durable Créer de la valeur par la performance globale La démarche de développement durable de VINCI s’inscrit dans la politique générale de développement de la performance globale du Groupe. Au-delà de la qualité technico-économique des projets, l’objectif est d’accroître leur valeur ajoutée sociale, sociétale et environnementale, avec des solutions qui répondent à la fois aux attentes à court terme des clients et des utilisateurs et aux enjeux de long terme. Le développement durable dans les entités opérationnelles L’outil Advance permet à chacune de nos entreprises de s’évaluer sur 15 thèmes liés à la performance sociale, environnementale et sociétale. Performance sociale Santé sécurité et qualité de vie au travail Développement professionnel Diversité et égalité des chances Rémunération et protection sociale Dialogue social Performance sociétale
condition de travail et absentéisme Publié le 17-MAY-13 par ANACT | Imprimer Thierry Rousseau, chargé de mission à l'Anact, livre des éléments de compréhension de l'absentéisme au travail et propose des pistes d'actions aux acteurs de l'entreprise en s'appuyant sur deux études de cas. Que sait-on de l'absentéisme ? Thierry Rousseau livre tout d'abord des éléments de connaissance l'absentéisme professionnel. Cette étude montre que le taux d'absentéisme national reste relativement stable (autour de 3,7 %) et ne subit pas l'influence des fluctuations du taux de chômage. Quels sont les grands courants intellectuels qui analysent l'absentéisme ? Un courant de pensée tend à expliquer l'absentéisme comme un calcul volontaire du salarié. Un autre courant de pensée considère plutôt l'absentéisme comme le résultat d'une exposition à des facteurs de travail défavorables. Thierry Rousseau appelle à nuancer cette dernière affirmation qui porte un regard "trop mécanique" sur l'absentéisme. Études de cas et pistes d'actions
Lien avec le bien-être au travail Entreprises - La responsabilité sociétale des entreprises : une démarche déjà répandue Imprimer la page une démarche déjà répandue Émilie Ernst, division Enquêtes thématiques et études tranversales, Insee, Yolan Honoré-Rougé, Ensae Résumé En France, plus de la moitié des sociétés de 50 salariés ou plus déclarent s'impliquer dans la responsabilité sociétale des entreprises (RSE), contribution des entreprises aux enjeux du développement durable. Sommaire Encadrés Publication Deux tiers des sociétés de 50 salariés ou plus connaissent la notion de RSE 64 % des sociétés de 50 salariés ou plus ont entendu parler de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE), contribution des entreprises aux enjeux du développement durable (graphique 1). 52 % sont plus particulièrement impliquées dans cette démarche : non seulement elles en ont entendu parlé, mais elles ont aussi le sentiment de mener des actions dans cette perspective. Graphique 1 - Les trois domaines de la responsabilité sociétale des entreprises Retour au sommaire Graphique 2 - La RSE1 par taille et secteur d'activité 1. 2. 3.
Orange fait reculer l'absentéisme de ses salariés L'opérateur a ainsi récupéré 31.600 journées de travail en un an, soit l'équivalent de 4,3 millions d'euros. Ni l'abandon de la marque historique France Télécom au profit d'Orange, ni la concurrence à tous crins dans le secteur des télécoms n'auront eu raison du moral des salariés d'Orange. 90 % des personnes travaillant chez l'opérateur pensent que la qualité de vie au travail est identique ou meilleure à celle d'autres entreprises (contre 87 % il y a un an), selon le dernier baromètre social publié par le groupe. Les salariés attribuent la note de 6,9 sur 10 à leur entreprise, contre 6,4 sur 10 en moyenne pour l'ensemble des Français. Indicateur révélateur, l'absentéisme des salariés ne cesse de reculer. «C'est un signe de l'apaisement du climat social chez Orange, alors même que nous sommes entrés dans une période d'exigence très forte», souligne Bruno Mettling. «Le numérique devrait soutenir davantage la croissance et l'emploi qu'il ne le fait.
Danone, l'enjeu de la responsabilité sociale de l'entreprise_Muriel Pénicaud_tvdma.org.flv Apple Store: les salariés dénoncent la pression au quotidien Désormais, ils parlent. Et expriment leur colère à l'égard d'un employeur peu reconnaissant. Chose impensable il y a quelques mois, les salariés de l'Apple Store Opéra (Paris) ont déposé un préavis de grève pour le vendredi 21 septembre, jour de lancement de l'iPhone5 en France. Du rêve à la réalité Tous ont moins de 30 ans. Des profils plus jeunes, plus lisses. Etre sympa et bien vendre. Des vendeurs terrassés par l'affluence Les bonnes semaines, 80 000 personnes défilent dans l'Apple Store Opéra. "A 1, tu es quasi viré, à 5 tu es une star". Le Credo, la bible du salarié Chaque vendeur Apple reçoit un exemplaire du Credo, un document de quatre pages qu'il est censé porter sur lui en permanence. La positive attitude On entre chez Apple comme en religion. Fearless Feedback. La force des macarons. Des chefs qui ont l'oeil sur tout... Un manager a 25 vendeurs sous sa responsabilité. ... et des primes pour limiter les heures sup' Pas question, non plus, de trop échanger entre vendeurs.
Volet social de la RSE 7 principes de l’engagement RSE du dirigeant Quelles que soient la volonté et la motivation des parties prenantes internes et externes, force est de constater qu’en l’absence de l’implication forte et personnelle du dirigeant, elles restent réticentes sinon prudentes. Or, l’implication et la conviction personnelle du dirigeant, notamment de PME, certes indispensables à la définition et la mise en œuvre d’une démarche RSE, ne sauraient suffire non plus. Loin s’en faut. Encore faut-il que ce dernier, même s’il est sensibilisé aux enjeux et défis de la RSE, puisse disposer de ressources – méthodologiques, humaines, financières, techniques, juridiques, notamment – et de preuves suffisantes quant à la pertinence d’une telle démarche en termes économiques et financiers. Ce n’est pas une injure d’affirmer que, sauf exception, les dirigeants n’ont pas vocation à être idéaliste, humaniste ou philanthrope.
Le phénomène Lipdub : Pourquoi les salariés se mettent en scène pour valoriser l’image de leur société ? Connaissez-vous le Lipdub ? C’est une pratique où un groupe d’individus se met en scène en chantant en playback sur une chanson connue. Au départ, réservé aux internautes qui voulaient créer le buzz, cette pratique s’est rependue au sein des départements marketing et communication des entreprises au point de devenir une arme de communication positive. Ce concept s’apparente à une nouvelle politique mise en évidence par Philipe Ligier : Le Marketing des Ressources Humaines. Il s’agit d’adapter les techniques du marketing liées au produit à la gestion des ressources humaines afin d’optimiser le recrutement, l’intégration et la fidélisation des employés. En effet, pour une entreprise, maîtriser l’image qu’elle dégage est aussi important que réussir le lancement d’un produit. - l’image véhiculée par les employés (interne) : la façon dont ils parlent de l’entreprise, leurs conditions de travail, la rémunération, l’ambiance générale de travail… Quels sont les avantages de cette pratique ?
Test : Pourquoi et comment être optimiste ? L’optimisme, un état d’esprit stratégique en période de crise… tout comme le pessimisme ! Ce brin de bonheur de lol ou de joie nous motive pour réussir mais peut aussi nous entraîner dans l’illusion. Tandis que le pessimisme peut nous aider à être vigilent. Quelle part d’optimisme/ pessimisme rayonne en vous ? Pour illustrer ce billet, une photo de Grégory Pouy réalisée dans le cadre de l’opération Lol de David Ken. Comment rester optimiste en période de crise ? « Le pessimisme est d’humeur, l’optimisme est de volonté » Nous opposons naturellement l’optimisme au pessimisme. L’essentiel est de savoir comment et à quel moment, vous pouvez vous servir de son optimisme et son pessimisme. Peut être, êtes vous optimiste/pessimiste tout le temps… parfois… jamais ? Écoutez cette vidéo très enrichissante et dites-moi si vous êtes un optimiste/pessimiste de but ou de chemin. Personnellement, je pense être une optimiste de but et optimiste/pessimiste de chemin en fonction des projets. Une méthode ?
Pour une mesure de la "performance économique globale" de l'entreprise Benjamin Bibas, co-fondateur de Radiofonies Europe Depuis bientôt quatre ans, l’association Radiofonies Europe entretient une activité commerciale de communication institutionnelle, dont la marge est réinvestie dans le véritable objet de l’association : la production - structurellement déficitaire - de formes documentaires, notamment radiophoniques et vidéo. Bénéfice net de l’opération sur trois ans : 3 000 euros seulement. Une autre économie s’ébauche au cœur du capitalisme qui inverse le rapport entre productions de richesses marchandes et production de richesse humaine André Gorz, Ecologica (Galilée, 2008) Radiofonies Europe : comment, pourquoi ? Comme le stipule la Homepage de notre site Internet : « Radiofonies Europe est une association de droit français qui se consacre à la production et à l’édition de formes documentaires, notamment radiophoniques et audiovisuelles. Quatre ans après, quels résultats ? Le bénéfice net, toutefois, n’est pas notre objectif premier. Propositions :