Le plan de Monoprix pour défendre sa culture - 1 Désormais sous contrôle total du Groupe Casino, l’enseigne branchée de centre-ville cherche à préserver ce qui fait son identité. Le 10 juillet dernier, les 21 000 collaborateurs de Monoprix ont poussé un grand ouf ! de soulagement. Ils ont appris ce jour-là qu’aucun de leurs magasins ne serait sacrifié. Du populo au bobo. L’enseigne occupe en effet une place à part dans la distribution française. Conseil et proximité.
Comment le "drive" va révolutionner nos hypermarchés Le principe : on achète en ligne, puis on va chercher sa commande. A peine besoin de descendre de voiture. Et ça change tout ! Christophe Bacot n’est pas peu fier de son coup. Cet heureux propriétaire du Leclerc de Verdun vient d’ouvrir un deuxième point de vente dans le coin. Sur les plates-bandes d’un Cora et à une poignée de kilomètres du centre-ville et de ses supermarchés. Abonnez vous à l'édition digitale Auchan va lancer des produits conçus par ses clients Le groupe de grande distribution Auchan va commercialiser début 2014 les premiers produits conçus par ses clients, et issus de son partenariat avec le site américain de "création collaborative" Quirky, a-t-il annoncé mercredi lors d'un point presse. Les quatre premiers produits, crées par des clients français d'Auchan, ont été sélectionnés par les internautes hexagonaux et américains mercredi soir. Il s'agit d'un pot de fleur sécable facilitant le rempotage, d'un support permettant de transporter les gâteaux en voiture sans les renverser, d'un système permettant de peser les aliments à partir d'un bol doseur, et d'une théière à durée d'infusion programmable. Il sont issus d'une sélection de sept produits, elle-même réalisée à partir de près de 800 idées proposées sur le site internet Quirky, dans ses versions américaines et françaises - cette dernière a été lancée fin septembre. Le principe est simple: toute personne ayant une idée de produit peut la soumettre sur le site Quirky.
Audace - Burberry entame sa détox Publié le 02 février 2014 Depuis 2011, Greenpeace lutte pour la désintoxication de la mode et du prêt-à-porter. Sur la toile et dans la rue, l’ONG marie viral et guérilla pour étendre l’audience de sa campagne mondiale « Detox », qui a déjà fait plier dix-huit grandes marques. Burberry est la dernière en date... Comment utiliser le pouvoir des réseaux sociaux pour gagner un combat éthique contre une marque de vêtements de luxe en deux semaines seulement ? Egalement dans l’œil du cyclone vert « Detox » - du nom de la campagne mondiale lancée par Greenpeace en 2011, une chemise de Burberry portée par le fiston Beckham pour les besoins d’une campagne haut de gamme en juin 2013. Immédiatement, le fabricant britannique réplique en défendant son respect des standards internationaux pour l’environnement et la sécurité. Déterminée à faire plier Burberry, l’ONG active son réseau de soutiens et implique parents et influenceurs de la mode dans le combat. Les Petits Monstres parlent aux grands
Smart Flows repère les flux de clients en magasin C'est un peu le Google Analytics des magasins. La technologie mise au point par la jeune start-up Smart Flows permet d'analyser en temps réel les déplacements des clients dans un commerce en repérant leurs smartphones. Grâce à des capteurs qui récupèrent les signaux émis par les téléphones portables, l'outil de Smart Flows réalise une cartographie très précise des mouvements de personnes. Carrefour et le musée du Louvre équipés Présente au CES 2014 de Las Vegas, Smart Flows suit et analyse en temps réel les flux de personnes, offrant ainsi aux distributeurs un outil performant pour améliorer leur connaissance client. "Dans un magasin d'électronique et d'électroménager, on peut observer que sur 100 personnes visitant le rayon multimédia, 30 vont par la suite au rayon électroménager, et 70 au rayon télévisions, explique Nicolas Binet, co-fondateur de Smart Flows. Un outil qui a déjà séduit Carrefour, Gemo et même le musée du Louvre. S'inspirer du e-commerce Shopping connecté
Balsamik donne un coup de jeune à la mode senior de Daxon - Economie « La jeune senior ne veut pas s’habiller chez Daxon. » Pour le poids lourd wasquehalien de la vente à distance de textile pour les 50 et plus, il fallait réagir pour s’adapter à cette « quinq’ado » qu’ont identifiée les sociologies. En lui proposant une nouvelle marque et une mode rajeunie. Il y a deux ans, Daxon avait amorcé son virage. L’enseigne avait alors décidé d’éditer deux catalogues : l’un arborant sa marque, seule, avec des articles très « traditionnels », et un autre, où la mention web « .fr » était accolée à Daxon, orientant déjà vers plus de modernité, avec une offre qui commençait à se rajeunir. Mais ce n’était pas suffisant pour faire face à un marché qui se segmentait. En avril 2012, le PDG de Movitex Jean-Joël Huber et ses équipes, ont lancé le projet « mode, morpho et complicité ». « Daxon.fr était déjà le premier site de e-commerce sur la cible des seniors.
Gestion de bad buzz : le cas Décathlon Le 14 décembre dernier, un Décathlon des Vosges a publié sur Youtube un libdub reprenant le morceau « Call me maybe ». Les vendeurs du magasin dansaient et chantaient des paroles destinées à promouvoir les produits de Décathlon comme cadeaux de Noël… Décathlon Saint-Dié-des-Vosges Noël 2012 par Spi0n Décomplexée, voire légèrement grotesque, la vidéo a rapidement fait parler d’elle sur Twitter. Mais les soutiens, bien que plus rares, sont aussi venus : Le CM à fond la forme Rien que du très classique donc : les gens réagissent à une vidéo qui sort de l’ordinaire. Pour éteindre le feu, donnez-lui de l’oxygène La réponse au buzz ne s’arrête pas là : plutôt que d’étouffer la vidéo, le lipdub est intégrée… en home de la page Youtube de Décathlon France ! Une très bonne initiative de la part de Décathlon. Pour conclure, quelques leçons à retenir : 1. 2. Cette rapidité est probablement due à une organisation hiérarchique aplanie. 3. 4.
Les programmes de fidélisation sont-ils morts ? par Yan Claeyssen - Chronique e-Business Non ! Au contraire, dans un contexte de crise, les programmes de fidélisation ont la cote. Quel que soit le secteur d’activité, un programme de fidélisation constitue aujourd’hui le meilleur moyen de protéger sa marge. Les programmes de fidélisation sont tout d’abord de plus en plus relationnels et de moins en moins transactionnels. Autre changement de taille, ils se dématérialisent. Autre évolution : les bons programmes de fidélisation sont aujourd’hui drivés par la «connaissance client». Enfin, le digital permet de baisser les coûts d’animation d’un programme. Les programmes de fidélisation sont aujourd’hui face à deux grands défis : - Avoir une vision cross-canal du client. - Intégrer réellement les réseaux sociaux. Les programmes de fidélisation permettent à la marque d’avoir un contact direct avec leurs clients sans passer par les media de masse et/ou les points de vente. Côté e-commerce, le secteur connaît une croissance à deux chiffres depuis 15 ans, mais cela ne va pas durer.
Le consommateur roi " Ce qui a changé au cours des trente dernières années, c'est le consommateur ", a lancé Marc Lolivier, délégué général de la Fevad. Un sentiment partagé par les intervenants de la table ronde du CMD intitulée " Rêve de marketing, marketing de rêve ". Marc Lolivier a exposé la règle des 3C - compétence, choix et communication - imposé par la révolution Internet : le consommateur est, aujourd'hui, un expert qui a accès à un choix considérable, 7 jours/7, 24 heures/24 et qui, grâce à Internet, a le pouvoir de s'exprimer et de donner son avis. Caroline Villecroze, directrice marketing et communication d'Adrexo a, ainsi, constaté que le consommateur est au centre de toutes les communications des marques : " Nous sommes passés du marketing produit au marketing client ". Quel avenir pour le marketing ? Daniel Kaplan est, cependant, convaincu que dans l'avenir, le marketing passera par le VRM (Vendor Relationship Management). Le concours des 30 ans du CMD Le palmarès :
10 effets positifs d’une vraie stratégie Social Media sur un site eCommerce Les réseaux sociaux sont encore fortement assimilés au community management; pourtant, pour un site eCommerce, les possibilités vont bien au-delà de la diffusion de contenu ou de l’organisation d’un jeu viral. Une stratégie Social Media peut s’appliquer directement au sein d’un site eCommerce et avoir de réelles répercussions positives sur le nombre de visites, d’inscrits, les ventes, … Dans cet article, je partage avec vous 10 raisons d’intégrer les réseaux sociaux au sein même de votre site de vente en ligne, chacune avec un objectif concret. 1. Augmenter le taux d’inscription En moyenne, 2% des visiteurs d’un site eCommerce passent une commande. L’intégration de “Facebook Login” s’inscrit dans cette logique d’augmentation du taux d’inscription. 2. 70% des paniers commencés sont abandonnés par les internautes. 3. Chaque partage est une source gratuite de visibilité et de trafic. 4. 5. 6. Il est important que l’internaute conserve la maîtrise de ces publications. 7. 8. 9. 10. Conclusion
Performance web des principaux sites d'e-commerce en France : état des lieux Dans le Top 300 des sites web les plus visités en France, seulement 22 % des sites e-commerce se chargent en moins de 3 secondes. Qui sont les bons et les mauvais élèves ? Présentation des données et analyse. Entre 2012 et 2013 la connexion Internet moyenne des français s'est améliorée de 9,7 % en un an. En 2009, Amazon avait perdu 1 % de son chiffre d'affaires pour 100ms de temps de chargement supplémentaire. L'éditeur du service www.dareboost.com fait son état des lieux du e-commerce en France en avril 2014. Un temps de chargement moyen de 5,2 secondes Les sites e-commerce les plus visités par les français, classés par temps de chargement : Quelques chiffres pour aller plus loin Environ 20 % de ces sites comportent au moins une ressource (une image par exemple) en erreur (parmi lesquels environ 40% avec la fameuse erreur 404). Plus de 67 % des contenus sont des images Les technologies en vogue : jQuery utilisé sur 52 % des sites testés
[Outils] Les marketplaces sont-elles en train de façonner l'avenir de l'e-commerce? A l’occasion de la conférence sur les marketplaces organisée par LearnAssembly, l’université collaborative des entrepreneurs, Maddyness réalise une ébauche des tendances du secteur. Tous les acteurs historiques de l’e-commerce y viennent progressivement : ils ouvrent leur propre place de marché, sur laquelle ils accueillent des vendeurs indépendants. Tout est parti du constat que l’e-commerce classique n’arrive pas à dégager de rentabilité suffisante et doit donc se diversifier. Mise en réseau et scalabilité Une marketplace met en relation vendeurs et acheteurs ; elle offre aux premiers l’accès à une base de prospects, un trafic existant, des mécaniques de recommandation, un back-office complet comprenant la gestion des commandes, des stocks, des solutions de paiement, d’encaissement pour compte de tiers et leur permet de se concentrer sur leur métier : la vente. Quelles sont les fonctionnalités clefs d’une marketplace ? Une concurrence accrue Marketplace généraliste ou verticale ?