Les hommes qui voudraient s'intéresser au féminisme Beaucoup d'hommes, lorsqu'ils en viennent à s'intéresser aux féminisme veulent aider dans les combats pré-existants. Ainsi on le voit militer pour que la rue soit à tous et toutes, militer pour l'égalité salariale ou je ne sais quoi. Mais ces combats là sont déjà pris en charge par les femmes qui n'ont donc nul besoin qu'on leur tienne à la main. En revanche, nous avons besoin qu'on détruise déconstruise la virilité. Les femmes ne sont pas discriminées toutes seules, elles le sont car les hommes ont des avantages. Si les femmes sont payées 20% de moins à compétences et poste égaux, c'est que les hommes sont payés 25% de plus. A ce sujet là donc j'avais lancé sur twitter, à destination de certains hommes aux velléités féministes, quelques conseils. Il convient de ne pas perdre de vue, jamais, quand on est un homme féministe, qu'on exerce aussi l'oppression qu'on le veuille ou non. Je ne cautionne plus le harcèlement sexiste et j'aide une femme qui y est confrontée.
The Dangerous Dynamic of Gender By Sally Raskoff Have you noticed the demographics of the people who tend to perpetrate mass shootings in public spaces? I’ve noticed they tend to be young, male, from middle class backgrounds, and socially isolated. These are not trivial factors. Gender is key to this pattern. Why is gender key? Young isolated men who are frustrated to the breaking point, with few around them to notice, can sometimes turn to violence to vent or express that powerful emotion. Looking at the research on gender and gender traits can help us understand how this works. Dr. Research illustrates consistently that persons with a full range of human traits at their disposal (androgynous) are less depressed and more flexible, especially when stressed, since they can access a range of coping skill sets without threat to their gender identity. Those at the extreme ends of either masculinity or femininity are at risk of particular health issues.
Refuser d’être un homme : Pour en finir avec la virilité de John Stoltenberg Je vais donc vous résumer le livre Refuser d'être un homme : Pour en finir avec la virilité de John Stoltenberg. Je tiens à souligner que Martin Dufresne n'a, comme d'habitude pas réussi à taire sa transphobie dans l'introduction avec la phrase "confisquer les rares ressources encore concédées aux femmes quitte à se prétendre vaguement transgenre". Que vous ne soyez pas d'accord avec le queer est un choix idéologique. Que vous en profitiez pour étaler votre transphobie n'est pas un choix, ni une opinion. On ne se prétend pas transgenre. je croyais que les tenants du "on saute d'une identité de genre à l'autre au gré de ses envies" étaient les tarés affiliés à la manif pour tous. Je constate une fois de plus qu'il y en a au sein même des mouvements féministes. Dans le brillant chapitre L'éthique du violeur, il démontre le sens politique de l'identité sexuelle. On en arrive donc au fait suivant ; l'homme viole et la femme en est blâmée.
Masculinité et intimité – Sociologie et sociétés Rotundo (1989) montre que l’amitié entre jeunes hommes présente trois volets (social, intime et romantique), à chacun desquels sont rattachés des comportements explicites, dont le baiser, l’étreinte, le toucher et le partage de la couche. Le volet social comprend les relations sociales de compagnonnage, soit le travail, les sports et les autres activités collectives. Pour leur part, les relations intimes comprennent le partage des secrets et des émotions les plus discrètes et caractérisées par une proximité et un attachement qui comprend ou non une intimité physique. Enfin, les relations romantiques portent sur l’amour pour la personne avec laquelle l’intimité est partagée. La virilité n’est en rien menacée par ces types d’intimité, parce que l’idée de l’homosexualité n’était pas présente dans les esprits ou le vocabulaire. Camaraderie ou pratique de l’intime masculin La masculinité hégémonique valorise la camaraderie. La guerre exacerbe les attributs virils.
Les attributs du pouvoir et leur confiscation aux femmes. Le genre et l’espace. Partie 1 : l’occupation de l’espace Partie 2 : le temps de parole et le choix des sujets de conversation Partie 3 : l’expression de la colère Dans cette nouvelle série d’articles, nous nous intéresserons à différents comportements qui sont typiques des dominants (occuper beaucoup d’espace, avoir beaucoup de temps de parole et parler fort, exprimer certaines émotions comme la colère…). Brigitte Laloupe aborde ce thème dans son livre « Pourquoi les femmes gagnent-elles moins que les hommes ». Occuper beaucoup d’espace : un attribut du dominant Les dominants ont droit à plus d’espace1. Plus précisément, l’espace personnel des dominants est plus grand2. En corrélation avec un plus grand espace personnel, les dominants ont tendance à occuper plus d’espace avec leur corps. L’utilisation de l’espace est donc un très bon indicateur de statut social. Les espaces privés des hommes La plus faible utilisation de l’espace par les femmes est visible dans bien d’autres domaines. public. En conclusion 1. 2.
Qu’est ce que le privilège masculin ? Lorsqu'on naît en France en 2013, on est, dans l'immense majorité des cas assigné garçon ou fille et l'on va ensuite vous socialiser en fonction de cette assignation de genre. De cette socialisation, découle ce qu'on appelle le privilège masculin, qui, vous allez le constater, dépasse bien évidemment celui qui en bénéficie. De façon universelle, les familles préfèrent avoir un garçon qu'une fille. On aura plus tendance à avorter d'un fœtus féminin, voire à tuer la nouvelle née dans certains pays. On tend également à pratiquer davantage d'échographies pour vérifier qu'on va bien accoucher d'un garçon et, dans de nombreuses familles, on dit vouloir continuer à faire des enfants jusquà ce qu'on ait un garçon. Avoir un garçon est toujours valorisé et mis en avant quelle que soit la société. Dés les premières heures de la vie : On constate ici que le garçon dés les premières années de sa vie, bénéficie d'un traitement avantageux face à la fille. Jusque dans les livres pour enfants
Je ne serai jamais qu'un allié (et c'est fantastique) Pré-scriptum: J'ai hésité avant de poster ce billet. Il m'apparaît toujours comme étant quelque peu arrogant, ou gonflé. Je ne sais pas pourquoi j'ai cette sensation. Un des propos qui m'avait le plus choqué alors que je commençais à m'intéresser au féminisme était le terme de « pro-féministes » que certaines femmes accolaient aux hommes, considérant qu'ils n'étaient pas féministes, qu'ils ne seraient jamais que des alliés.
Americans Prefer Boys to Girls, Just as They Did in 1941 PRINCETON, NJ -- If Americans could have only one child, they would prefer that it be a boy rather than a girl, by a 40% to 28% margin, with the rest having no preference or no opinion on the matter. These attitudes are remarkably similar to what Gallup measured in 1941, when Americans preferred a boy to a girl by a 38% to 24% margin. Gallup has asked Americans about their preferences for a boy or a girl -- using slightly different question wordings over the years -- 10 times since 1941. In each instance, the results tilt toward a preference for a boy rather than a girl. The average male child-preference gap across these 10 surveys is 11 percentage points, making this year's results (a 12-point boy-preference gap) just about average. The attitudes of American men drive the overall preference for a boy; in the current poll, conducted June 9-12, men favor a boy over a girl by a 49% to 22% margin. Preference for a boy baby is inversely related to age. Implications Survey Methods
Lâcher prise Nous réagissons avec fureur à l'application initiée par le Ministère des droits des femmes, nous nous énervons en lisant " "il faut sourire un peu, être avenante, mais pas trop, pour ne pas envoyer le signal qu'on peut être une proie facile". Je réagis avec colère en admettant que j'ai intégré une partie de ces règles, en admettant que si je ne m'y conforme pas, je serais en effet une cible. J'ai cru naïvement au début de ma vie professionnelle, qu'on pouvait se comportement exactement pareil qu'on soit un homme ou une femme. J'ai cru qu'on pouvait rire aux blagues de cul. J'ai cru que c'était pareil un homme et une femme. Je ne souris jamais aux hommes inconnus dans l'espace public ; du moins pas de sourire franc, joyeux. J'en ai parlé à une femme qui m'a dit, d'un air d'évidence "ah mais tu lui as souri". Le hashtag #safedanslarue s'il a permis de montrer les peurs des femmes a aussi permis selon moi de montrer le contrôle exercé sur le corps de femmes.