Les hommes qui voudraient s'intéresser au féminisme Beaucoup d'hommes, lorsqu'ils en viennent à s'intéresser aux féminisme veulent aider dans les combats pré-existants. Ainsi on le voit militer pour que la rue soit à tous et toutes, militer pour l'égalité salariale ou je ne sais quoi. Mais ces combats là sont déjà pris en charge par les femmes qui n'ont donc nul besoin qu'on leur tienne à la main. En revanche, nous avons besoin qu'on détruise déconstruise la virilité. Les femmes ne sont pas discriminées toutes seules, elles le sont car les hommes ont des avantages. Si les femmes sont payées 20% de moins à compétences et poste égaux, c'est que les hommes sont payés 25% de plus. A ce sujet là donc j'avais lancé sur twitter, à destination de certains hommes aux velléités féministes, quelques conseils. Il convient de ne pas perdre de vue, jamais, quand on est un homme féministe, qu'on exerce aussi l'oppression qu'on le veuille ou non. Je ne cautionne plus le harcèlement sexiste et j'aide une femme qui y est confrontée.
The Dangerous Dynamic of Gender By Sally Raskoff Have you noticed the demographics of the people who tend to perpetrate mass shootings in public spaces? I’ve noticed they tend to be young, male, from middle class backgrounds, and socially isolated. These are not trivial factors. Gender is key to this pattern. Why is gender key? Young isolated men who are frustrated to the breaking point, with few around them to notice, can sometimes turn to violence to vent or express that powerful emotion. Looking at the research on gender and gender traits can help us understand how this works. Dr. Research illustrates consistently that persons with a full range of human traits at their disposal (androgynous) are less depressed and more flexible, especially when stressed, since they can access a range of coping skill sets without threat to their gender identity. Those at the extreme ends of either masculinity or femininity are at risk of particular health issues.
Masculinité et intimité – Sociologie et sociétés Rotundo (1989) montre que l’amitié entre jeunes hommes présente trois volets (social, intime et romantique), à chacun desquels sont rattachés des comportements explicites, dont le baiser, l’étreinte, le toucher et le partage de la couche. Le volet social comprend les relations sociales de compagnonnage, soit le travail, les sports et les autres activités collectives. Pour leur part, les relations intimes comprennent le partage des secrets et des émotions les plus discrètes et caractérisées par une proximité et un attachement qui comprend ou non une intimité physique. Enfin, les relations romantiques portent sur l’amour pour la personne avec laquelle l’intimité est partagée. La virilité n’est en rien menacée par ces types d’intimité, parce que l’idée de l’homosexualité n’était pas présente dans les esprits ou le vocabulaire. Camaraderie ou pratique de l’intime masculin La masculinité hégémonique valorise la camaraderie. La guerre exacerbe les attributs virils.
Les attributs du pouvoir et leur confiscation aux femmes. Le genre et l’espace. Partie 1 : l’occupation de l’espace Partie 2 : le temps de parole et le choix des sujets de conversation Partie 3 : l’expression de la colère Dans cette nouvelle série d’articles, nous nous intéresserons à différents comportements qui sont typiques des dominants (occuper beaucoup d’espace, avoir beaucoup de temps de parole et parler fort, exprimer certaines émotions comme la colère…). Brigitte Laloupe aborde ce thème dans son livre « Pourquoi les femmes gagnent-elles moins que les hommes ». Occuper beaucoup d’espace : un attribut du dominant Les dominants ont droit à plus d’espace1. Plus précisément, l’espace personnel des dominants est plus grand2. En corrélation avec un plus grand espace personnel, les dominants ont tendance à occuper plus d’espace avec leur corps. L’utilisation de l’espace est donc un très bon indicateur de statut social. Les espaces privés des hommes La plus faible utilisation de l’espace par les femmes est visible dans bien d’autres domaines. public. En conclusion 1. 2.
Je ne serai jamais qu'un allié (et c'est fantastique) Pré-scriptum: J'ai hésité avant de poster ce billet. Il m'apparaît toujours comme étant quelque peu arrogant, ou gonflé. Je ne sais pas pourquoi j'ai cette sensation. Un des propos qui m'avait le plus choqué alors que je commençais à m'intéresser au féminisme était le terme de « pro-féministes » que certaines femmes accolaient aux hommes, considérant qu'ils n'étaient pas féministes, qu'ils ne seraient jamais que des alliés.
Americans Prefer Boys to Girls, Just as They Did in 1941 PRINCETON, NJ -- If Americans could have only one child, they would prefer that it be a boy rather than a girl, by a 40% to 28% margin, with the rest having no preference or no opinion on the matter. These attitudes are remarkably similar to what Gallup measured in 1941, when Americans preferred a boy to a girl by a 38% to 24% margin. Gallup has asked Americans about their preferences for a boy or a girl -- using slightly different question wordings over the years -- 10 times since 1941. In each instance, the results tilt toward a preference for a boy rather than a girl. The average male child-preference gap across these 10 surveys is 11 percentage points, making this year's results (a 12-point boy-preference gap) just about average. The attitudes of American men drive the overall preference for a boy; in the current poll, conducted June 9-12, men favor a boy over a girl by a 49% to 22% margin. Preference for a boy baby is inversely related to age. Implications Survey Methods
Olivia Gazalé: «On ne naît pas homme, on le devient» «Sois un homme!», «Moi? Je suis pas une tapette», «Lui, c’est un mec, un vrai», «T’as pas de couilles ou quoi?». Les références à la virilité et à ses attributs sont partout, tout le temps, et nous dépassent largement: que dit-on vraiment en employant ces termes, quels stéréotypes sexistes perpétuons-nous sans en avoir conscience? Avec Le mythe de la virilité, la philosophe Olivia Gazalé signe un livre pertinent et facile d’accès, qui questionne les clichés éculés sur la masculinité – indissociable de la perpétuation des préjugés sexistes, et donc des inégalités. Le Temps: Votre livre s’attelle à déconstruire le «mythe» de la virilité. Olivia Gazalé: Au départ, je voulais écrire sur les femmes. Quel est ce «mythe» (au singulier) que vous cherchez à déconstruire? La révolution du féminin sera pleinement accomplie quand les hommes se seront libérés des assignations sexuées qui entretiennent, souvent de manière parfaitement inconsciente, la misogynie et l’homophobie Comment en sort-on?
Androcentrism: It’s Okay to Be a Boy, but Being a Girl… Sociologists use the term “androcentrism” to refer to a new kind of sexism, one that replaces the favoring of men over women with the favoring of masculinity over femininity. According to the rules of androcentrism, men and women alike are rewarded, but only insofar as they are masculine (e.g., they play sports, drink whiskey, and are lawyers or surgeons w00t!). Meanwhile, men are punished for doing femininity and women… well, women are required to do femininity and simultaneously punished for it. Illustrating this concept, much more concisely, is this altered photograph of James Franco in drag. Sent along by Stephanie V., the photo was originally for the cover of Candy, a “transversal style” fashion magazine. * So Caro Visi, where I found the image, credits Virus, but I can’t find it there. UPDATE: Sarah and John, in the comments thread, pointed out that the language is borrowed from a movie titled The Cement Garden. Clip from The Cement Garden:
20 conseils à destination des hommes pour être de meilleurs alliés du féminisme est une militante féministe suivie par presque 10 000 personnes sur twitter. Dimanche dernier, elle poste un thread (un fil de discussion) destiné aux hommes qui souhaitent aider le mouvement féministe. Mais attention, précise-t-elle en guise d’introduction, « ce thread n’est pas là pour convaincre les hommes d’être des alliés, mais plutôt pour donner des idées à ceux qui estiment être pour l’égalité femmes-hommes et qui veulent mettre la main à la pâte ». Et pour éviter l’effet repoussoir des injonctions, elle ajoute : « Pas de pression, chacun fait ce qu’il peut (et veut) ! » On est d’accord. Malgré ces précautions, le thread a engendré beaucoup de réactions négatives (moins que de positives, cela dit). Ses conseils, simples et clairs, devraient toutefois nous inciter à tous mettre la main à la pâte à notre façon. Savoir de quoi on parle Boucle d’Or fait référence « à ce qu’on appelle le sexisme ordinaire ». 4) Ne fais pas de « notallmen »Pas tous les hommes, on sait. Être un allié