Olivia Lamorlette, HEC Paris - L'intelligence émotionnelle : un atout managérial Qui n’a jamais entendu la phrase « les émotions n’ont pas leur place dans le monde professionnel ! » ou encore « quand on vient au bureau, on laisse ses émotions à la maison » ? Alors c’est ce qu’on fait : prendre sur soi, mettre ses affects de côté, … et petit à petit la pression monte dans la cocotte minute jusqu’au jour où elle explose. Parce qu’on oublie que les émotions sont avant tout des informations précieuses qui nous renseignent sur nous et sur les autres. Aujourd’hui, les recruteurs portent un intérêt de plus en plus vif à la notion d’Intelligence Émotionnelle. La réussite d’un projet est semée d’imprévus, malgré la multitude de dispositifs de contrôle et de système d’information visant à maîtriser la performance. Elle est donc un facteur déterminant de l’impact, de la force d’entrainement, du leadership.
La grille de Blake et Mouton La grille de Blake et Mouton est un outil simple pour comprendre les caractéristiques, et surtout les conséquences, de notre style d'encadrement. Le manager autocratique organise le travail en solitaire, le distribue, surveille l'exécution et contrôle les résultats. Le manager démocratique au contraire aide ses subordonnées à s'organiser et n'exerce qu'un faible degré de pression hiérarchique. pour des tâches simples et répétitives (indsutrielles ou administratives), il paraît en effet obtenir les meilleurs résultats. mais cette opposition, dans beaucoup d'autres types d'activité, s'avère à l'observation un peu trop manichéenne : certains managers très dirigistes obtiennent d'excellents résultats, au contraire de certains autres, pourtant très participatifs. Le modèle oppose donc trop schématiquement le style "centré sur les relations" et le style "centré sur la production". Cette grille permet de définir cinq styles de comportement (susceptibles de variations et de nuances).
Formation maîtriser les techniques d'animation et de motivation d'équipe : Obea, conseil en management Programme 1- Optimiser l'organisation de son équipe au regard de ses missions • Identifier les missions collectives de l'équipe• Clarifier les missions et les objectifs de chacun• Valider les circuits d'information • Positionner le rôle et la valeur ajoutée du manager 2- Techniques d'animation • Identifier les différentes personnalités et leur positionnement dans l'équipe• Recenser les besoins d'encadrement de l'équipe• Repérer les niveaux et les modes de communication• Réunions et entretiens : mode d'emploi 3- Motiver son équipe : les clés pour réussir • Ressorts de motivation et de démotivation• Evaluer la motivation• Repérer les différents leviers d'action 4- Mettre en place des outils de suivi et de contrôle • Traduire les priorités en plans d'actions• Lever les blocages et les freins au changement• Choisir des indicateurs performants• Savoir recadrer et valoriser ses collaborateurs
Management clandestin : osez détourner les règles Le manager trop respectueux des procédures et de la hiérarchie peinera à résoudre des problèmes complexes. Pour obtenir de la coopération, pousser un dossier, gagner du temps, et s'épargner du stress, il faut être malin. Il ne s'agit pas de s'affranchir de la règle mais de la transgresser à la marge, de jouer sur les interstices, de s'arranger avec les uns et les autres sur le terrain. Une agilité utile en ces périodes d'incertitudes. 1. Acceptez le flou, les ambigüités. 2. " Sociogramme ". Alors dessinez le " sociogramme " des interrelations : une ligne verte soulignant les bons flux d'informations entre untel et untel et une ligne rouge indiquant là où ça bloque. 3. Sachez court-circuiter les réunions, les reportings, les mails pour pêcher ailleurs et par oral les informations utiles. 4. 5.Yeux fermés. 6.Crash programm. 7.
Les apports de Henri Mintzberg L'approche systémique pour mieux comprendre les organisations Les apports de Henri Mintzberg L'approche systémique pour mieux comprendre les organisations Dominique Grootaers, Le GRAIN asbl, 14 décembre 2005 Henry Mintzberg est une figure de référence internationale dans le domaine de la sociologie des organisations. Les modèles qu’il a élaborés permettent de mieux comprendre le fonctionnement d’une organisation. Le canadien Henri Mintzberg est apparu depuis les années 70 et 80 comme le théoricien de référence dans le domaine de l’analyse des organisations. Au fur et à mesure des essais de Henri Mintzberg s’est profilée une théorie qui est depuis lors abondamment utilisée, commentée et soumise à la critique et qui s’avère d’un intérêt fondamental pour analyser une organisation avant d’envisager la manière d’y opérer un changement. L’apport majeur de Mintzberg est d’avoir élaboré une typologie permettant de catégoriser les diverses composantes internes d’une organisation. 1. 1.1. 1.1.1. La dimension verticale 1.1.2. 1.2. 1.3. 2. 2.1. 2.2. 2.3. 2.4.
Motivez vos équipes à l'aide d'une communication interne pertinente Communication interne et performances Dans un contexte économique défavorable, la communication qu'elle soit interne ou externe représente un coût que beaucoup d'entreprises cherchent à éviter. Cependant, il s'agit d'un investissement indispensable tant pour optimiser le chiffre d'affaires que pour améliorer la productivité. La communication externe servira à dynamiser les ventes, alors que la communication interne aura davantage d'effet sur la productivité de l'entreprise, et donc sur ses marges. Sachant cela, la communication interne représente un enjeu qu'il ne faut pas prendre à la légère. Envisager la communication interne de manière stratégique Avant de se poser la question des outils et méthodes qui admettent une bonne communication interne, il faut revenir sur l'intérêt de ce type de communication, et sur les objectifs. Synergie entre communication interne, et communication externe Les supports d’une communication interne
Motiver par la communication interne Ces dernières années, le rôle de la communication interne s'est complexifié. Elle ne peut plus se contenter d'être l'outil de transmission d'informations de la hiérarchie à l'ensemble des salariés. Son véritable enjeu est celui de l'adhésion des collaborateurs à l'entreprise et à ses valeurs. Suivre l'évolution de l'entreprise dans la société Dans le contexte actuel très mouvant, marqué par les nombreuses fusions, restructurations et innovations, la relation des salariés à l'entreprise a changé. Collaborer étroitement avec les managers Pour aller au-delà du rôle informatif de leur communication interne, les entreprises doivent la repenser en profondeur. "Elle doit leur apporter un soutien opérationnel, en leur fournissant notamment les outils favorisant la diffusion de l'information. Donner du sens en communiquant sur le projet d'entreprise Pour réussir à développer l'implication des salariés par la communication, il faut d'abord réfléchir à ce qui crée de la motivation.
Franchise (réseau commercial) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La franchise est un accord commercial et juridique par lequel une entreprise appelée « franchiseur » s'engage à fournir à une seconde entreprise, dite « franchisée », une marque, un savoir-faire et une assistance permanente en contre partie d'une rémunération. Le terme « franchise » ne s'applique que si les trois conditions précédentes sont réunies. La franchise est un mode de collaboration entre une entreprise propriétaire d’une marque ou d’une enseigne (le franchiseur) et un ou plusieurs commerçants indépendants (les franchisés). Le franchisé est un commerçant juridiquement et financièrement indépendant de son franchiseur. Le franchisé peut être propriétaire de son affaire sous diverses formes juridiques, notamment sous la forme d'une société. La franchise n’apparaît cependant sous sa forme actuelle et moderne que dans la période de l’entre deux guerres, aux États-Unis. Sur les autres projets Wikimedia : franchises, sur Wikimedia Commons
Kurt Lewin : qu’est-ce que la dynamique de groupe ? Comme dans une famille ou tout cercle privé, les situations de la vie quotidienne au sein d’une équipe de travail créent des interdépendances entre individus. Celles-ci peuvent être caractérisées par des alliances, des influences ou des valeurs communes. Aussi, le comportement d’un individu est susceptible d’être fortement modifié lorsqu’il est en groupe. Kurt Lewin, psychologue d’origine allemande (1890 – 1947) est à l’origine de la théorie de la « dynamique de groupe » à travers laquelle il met l’accent sur l’amélioration de l’efficacité individuelle et sociale par le groupe. Un groupe est une association d’individus entrant en interaction dans un contexte donné et poursuivant des buts communs. D’après Lewin, les forces au sein d’un groupe s’équilibrent naturellement et contribuent à sa dynamique. L’importance du comportement du leader Si l’on en croit ces résultats, le consultant se doit d’adopter une posture de « leader démocratique » auprès des groupes qu’il doit animer.