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Les femmes de droite, par Andrea Dworkin

Les femmes de droite, par Andrea Dworkin
Les femmes de droite est un ouvrage écrit par Andrea Dworkin, féministe radicale, en 1983. Cette dernière nous propose une Andrea Dworkin explication à l’allégeance de certaines femmes à la droite américaine dure. Ce livre a été traduit en français par Martin Dufresne et Michele Briand. Le livre arrivera en France au mois de mars. Chapitre 1 : la promesse de l’extrême droite Les femmes vivent dans un milieu dangereux (viol, violence conjugale, etc.) et cherchent avant tout à survivre. De la maison du père à la maison du mari et jusqu’à la tombe qui risque encore de ne pas être la sienne, une femme acquiesce à l’autorité masculine, dans l’espoir d’une certaine protection contre la violence masculine. Chapitre 2 : la politique de l’intelligence L’intelligence est refusée aux femmes. Dworkin parle également d’une intelligence sexuelle, consistant à réussir à respecter son intégrité, à pouvoir posséder son propre corps et à n’avoir des rapports que s’ils sont désirés. Chapitre 3 : l’avortement Related:  Féminisme4

Le féminicide: le meurtre du féminin | Elsa Godart JUSTICE - "Vendredi 27 juin, aux environs de 16 h, une adolescente de 15 ans est retrouvée morte dans le quartier de villa el Salvador. Quelques jours auparavant, elle avait décidé de mettre un terme à sa relation avec Stiven Antonio Llata Flores âgé de 20 ans. Son ex-fiancé, confessa qu'il ne supportait pas l'abandon. Il l'avait alors appelée pour renouer une relation. Face au refus de la jeune fille, il la viole, puis l'étrangle. Pour certains hommes, le féminicide constitue un ultime recours pour posséder et contrôler une femme; c'est là l'expression maximale de leur domination", explique Valérie Fonne, étudiante en Master 2 à l'Institut des Hautes Etudes de l'Amérique Latine (Paris 3-Sorbonne) . A l'occasion de la journée de la femme, rappelons avec force l'importance de ce crime contre le féminin, cette négation de l'autre par son sexe et les violences ordinaires qui y sont associées. Qu'est-ce que le féminicide? Le féminicide bien au-delà du féminisme Close

Briser le silence On se prend à rêveraprès les victimes de viol de harcèlementla langue des femmes autochtonesse lie se délie contre la violence brute des hommescontre le mépris l’impunité arrogante des policiersdepuis des années depuis toujours On se prend à rêverque toutes les femmes du mondebrisent le silence prennent la parolenomment leurs agresseursen finissent avec la peurréinventent la vie On se prend à rêverqu’aucun puissant aucun riche aucun homme politiqueaucune vedette du sport de la chanson du cinéma des médiasaucun homme en situation de pouvoirne bénéficie du silence mur à mur de ses pairsd’une complicité masculine tacite intimidante massive On se prend à rêverque le courage se mue en contagion de masseque les mains se tendent pour traverser le temps les continentsque la parole ensemence trente siècles de silencesur la haine le mépris la guerre des hommes envers celles qui les ont mis au monde Setten !

Qu'est ce que c'est... le travail domestique ? À priori quand on pense au travail domestique on pense aux tâches qui ont pour but l’entretien de la maison et le soin des personnes qui composent la famille : lessive, ménage, cuisine, gestion des mômes, courses, etc. C’est notamment la définition prise dans les statistiques qui se préoccupent de quantifier les tâches ménagères. Mais le concept de travail domestique tel qu’on l’emploie ici désigne tout autre chose. Il ne décrit pas un certain type d’activité dans la maison, mais la forme de l’exploitation des femmes dans la société capitaliste. (On parle des femmes prolétaires.) Dans cet article, nous nous sommes focalisés sur le travail domestique du point de vue du rapport homme/femme. Un travail à temps plein Commençons par un exemple, un aperçu de la journée de Martine, femme au foyer, qui a deux enfants en bas âge. 6h30 : Son mari se lève pour aller bosser. 9h : Martine embraye sur les courses de la semaine, là où c’est le moins cher pour économiser. Un travail “gratuit”…

Problèmes d'armures - Lara Croft ou Barbie: Le jeu Vidéo au féminin Ah, les armures dans les jeux vidéo, et particulièrement les armures féminines, tout un programme ! Ces armures sont d'une part, rarement très "couvrantes" mais, si on devait les transférer dans la vie réelle, elles seraient carrément dangereuses... Mais avant d'analyser une peu plus ces deux points, faisons un petit détour historique. Des femmes au combat au Moyen âge Si nous nous mettons d'accord que beaucoup de jeux vidéo (héroic-fantasy) puisent leurs graphismes dans l'espace médiéval, et donc que les armures sont de cette inspiration, posons-nous la questions des armures portées par les femmes au Moyen âge: à quoi ressemblaient-elles ? Moyen âge - Une robe symbolique ? Représentation d'une armure féminine à la fin du Moyen âgeMoyenne Un armure avec juste des décorations Une onna-bugaisha La réponse est oui, évidemment, tout le monde connait Jeanne d'Arc... Un des premiers fameux épisodes avec des femmes se battant, est la défense de Tortosa en Catalogne en 1149. Les armures au Moyen âge

Banaliser la misogynie, c’est dangereux Le week-end dernier, je suis allée à un party, un gros party, comme dirait Elvis G. Qu’est-ce que j’ai eu du plaisir ! L’énergie, les échanges, les sourires, tout était agréable. Une vraie de vraie de belle soirée. L’affaire avec ces soirées parfaites, c’est que ça prend un accro, autrement, on serait dans un conte de fée version Disney et ça, eh bien, ça se peut pas. Alors voilà, j’ai croisé un sacré beau spécimen de goujat, un cas fascinant de con d’entre les cons. C’est alors qu’on est venu à ma rescousse, m’expliquant que le type en question était en fait le genre d’homme qui considère les femmes comme des être inférieurs et que la seule chose qui l’intéresse en ce qui les concerne, c’est de les baiser et que plus jeunes elles sont, mieux c’est. Avec mes 35 ans bien sonnés, mon léger embonpoint (qui se résorbe doucement, mais néanmoins...) et la présence de mon chum au party, j’imagine bien que je ne lui étais d’aucun intérêt. De l’étonnement, je suis passée à l’irritation.

Sociologie Sauvage: Oui, le féminisme change nos vies Chose promise, chose due, voici ma petite note de lecture sur Le féminisme change-t-il nos vies ?Comment le féminisme change nos vies Il s'agit d'une "petite encyclopédie critique" (selon le nom de cette récente collection des éditions Textuel, dirigée par deux politistes de Lyon, Philippe Corcuff et Lilian Mathieu) consacrée aux "acquis irréversibles comme [aux] enjeux d'avenir" de la pensée et de la lutte féministe. L'ouvrage, dirigé par Delphine Gardey, rassemble des contributions de sociologues, politistes et anthropologues de l'équipe des Etudes Genre de l'université de Genève. Delphine Gardey rappelle dans l'introduction l'évolution récente du mouvement féministe. La première contribution, d'Isabelle Giraud, se demande si le féminisme a transformé la politique. Rachel Vuagniaux se demande, elle, si le féminisme a déplacé les frontières du travail. De son côté, Lorena Parini cherche à savoir si le féminisme a redéfini nos sexualités.

De colère et d'espoir: Pourquoi des femmes ne sont pas féministes Tranquillement pas vite (pour le dire avec optimisme), on assiste à une prise de conscience sur la difficulté pour un homme d’être proféministe. Certains commencent à comprendre qu’agir de façon cohérente avec des valeurs féministes est loin d’être naturel (désolée Koriass!), facile, évident, lorsqu’on a été socialisé à exploiter et à dominer. Deux principales raisons expliquent l’existence de femmes antiféministes. 1) La misogynie internalisée Toute leur vie, les femmes entendent, apprennent et se font répéter leur infériorité. 2) Le compromis patriarcal Heureusement, de nombreuses femmes parviennent à être critiques de l’éducation patriarcale qu’elles ont reçue et à désapprendre la misogynie, ce qui fait généralement d’elles des féministes. Pourquoi c’est important Ainsi, il est erroné de prétendre que toutes les femmes sont féministes. La deuxième conséquence problématique est l’invisibilisation du travail acharné et parfois dangereux que réalisent tous les jours les féministes.

Pourquoi incrimine-t-on souvent les victimes, notamment de viol? | Laurent Bègue PSYCHOLOGIE - Dans le récent compte-rendu d'une scène de cours d'assise, l'avocate Laure Heinich-Luijer racontait que le président avait interrogé des témoins pour savoir si la victime de 26 ans, tuée et violée, pouvait être considérée comme une "fille facile". La tendance à rendre responsables les victimes de viol de leur sort est, selon les enquêtes criminologiques, très courante chez leurs agresseurs. Elle est plus rarement relevée de la part des magistrats. Chercher la responsabilité à tout prix Lorsque des victimes inconnues semblent avoir contribué à leur infortune, la menace éprouvée par un observateur reste souvent dans le champ du supportable. Les recherches consacrées à la perception des personnes atteintes de diverses maladies (Alzheimer, cancer, maladie cardio-vasculaire, paraplégie, sida...) indiquent que lorsqu'elles sont considérées responsables de leur sort, les réactions qu'elles suscitent sont plus négatives et l'on est moins susceptible de les aider ou de compatir.

Alicen Grey : Vous commencez à savoir ce qu’est la culture du viol, mais savez-vous ce qu’est la culture pédophile ? par Alicen Grey Cher Todd Nickerson, Il y a quelques jours sur le site Salon, vous avez écrit un article intitulé par provocation « Je suis un pédophile, mais pas un monstre ». On peut supposer qu’après ça, beaucoup de personnes se posent des questions comme « La pédophilie est-elle naturelle ? » ou « La pédophilie se soigne-t-elle ? ». Commençons avec un premier oubli : la grande majorité des pédophiles sont des hommes. Cela dit, la pédophilie peut paraître taboue et méprisée par les gens, mais une analyse générale et honnête de notre culture révèle tout autre chose. Dans la culture pédophile, on attend des femmes qu’elles maintiennent un degré presque impossible de minceur, qu’elles paraissent pré-pubères dans leur manque quasi-androgyne de rondeurs et de masse. Dans la culture pédophile, le top des catégories du site pornographique Pornhub est celle dite « adolescentes ». Dans la culture pédophile, on appelle souvent « filles » des femmes adultes. Reprenons : Alicen Grey WordPress:

« La pornographie, c’est la théorie, et le viol, la pratique » Merci à Euronews de me faire travailler la nuit…du coup, en fin de travail, j’ai enfin eu le temps de lire le texte de cette conférence qu’on me disait magistrale de Rebecca Whisnant. En quelques mots, quelques lignes, me voici totalement réveillée, dans tous les sens du terme : Des mots donnent corps à mes rêves, à mes réalités, un texte limpide, qui explique tout, qui comprend tout, qui répond à tout. « Le féminisme contemporain dans la culture porno : ni le playboy de papa, ni le féminisme de maman » Explication à la fois de pourquoi certaines féministes qui se disent de la troisième vague croient pouvoir être plus fortes que l’oppresseur, pourquoi c’est si difficile de lutter contre toutes ces force qui sont contre nous, mais pourquoi aussi c’est merveilleux, réjouissant, parce que, peut-être pour la première fois de notre vie, il y a pour nous, « classe des femmes » (voir citation ci-dessous), un espoir. « . .

Quels sont les rapports entre sexe et genre? Dans la lignée de mon article précédent sur le genre comme construction sociale, j’aborde maintenant la distinction entre sexe et genre qui fait partie, pourrait-on dire, de la doxa concernant le genre. Ce dernier est souvent présenté dans un rapport d’opposition avec le sexe, l’un se situant du côté du social, de la culture, et l’autre du côté du biologique, du naturel. On présente alors le genre à travers des rôles sociaux plaqués sur la différence des sexes, biologiquement constatée. J’ai bien conscience d’aborder là un sujet épineux et très sensible, surtout dans le contexte actuel, où la fameuse « théorie du genre » se voit assigner toutes formes de tares – notamment celle de nier les différences entre les sexes. Il s’agit donc de déterminer ce qui relève du social, du culturel, et ce qui relève de différences proprement biologiques, le territoire du biologique se réduisant à mesure que la compréhension du « sexe » et du « genre » progressent. En outre, explique Elsa Dorlin,

Quand le sexisme se veut bienveillant... La culture du viol, c'est quoi

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