L'influence du pop art sur la publicité Partagez-moi ! La société de consommation s’inspire d’un art qui s’inspire d’elle, la boucle est bouclée… En effet, le pop art se veut être un mouvement artistique portant à réflexion sur le statut d’œuvre d’art et la société de consommation naissante. Alors que Marcel Duchamp provoquait le microcosme artistique du début de XXe siècle en exposant un urinoir, Andy Warhol, dessinateur publicitaire et principale tête de gondole du pop art, se plait, lui, à peindre des objets de consommation quotidienne dans les années 60. Warhol reproduit ses peintures jusqu’à l’épuisement, tentant de prouver que l’art peut être une production de masse, telle notre société qui nous gave de produits et artistes prêts à consommer. Au programme : 1. Nous sommes en 1962. Campbell’s Soup Cans : 1962 Pourquoi des cannettes de soupe ? Plusieurs hypothèses existent : Publicité Campbell’s : le vrai chef-d’œuvre est dans la conserve[/caption] Eight Elvises : 1963 Publicité les Inrockuptibles Green Coca-Cola Bottles : 1962 2.
Espace Virtuel L’ Art inspire la publicité | Graphiste Webdesigner Montpellier 10 Sep L’ Art inspire la publicité De tout temps, l’art pictural influence les sociétés et marque les périodes historiques. Tandis que les mouvements en peinture s’inspirent entre eux et se suivent au cours des siècles, certaines œuvres exercent une telle fascination sur le public qu’elles en sont presque devenues plus célèbres que leurs auteurs. Devenant des références populaires, il n’en fallait pas moins pour que les annonceurs s’emparent de ces icônes visuelles pour vendre à travers elles sur des affiches et dans des spots publicitaires toute sortes de produits et de services, de manière plus ou moins appropriée. De Botticelli à De Vinci, de Picasso à Warhol en passant par Van Gogh et Dali, je souhaitais rendre hommage à ces grands peintres si influents qu’ils sont encore présents, plusieurs décennies et siècles plus tard, dans notre société notamment au travers de la publicité. Sandro BOTTICELLI (1444 – 1510) Renaissance italienne La Naissance de Vénus, 1485 Haute Renaissance Toyota
Street art : les animaux disséqués de Nychos Nos magazines Nos applis x déconnexion Premiere.fr Ex. : World War Z, Johnny Depp, House of Cards,... Fluctuat un oeil sur la pop culture Street art : les animaux disséqués de Nychos 30/01/2013 - 11h56 1420Partager sur :2 Nychos, street artist réputé et actif dans son pays, a été élevé au sein d’une famille autrichienne de chasseurs. L'auteur Guillaume Roche Son twitter En savoir plus La vision de tous ces animaux tués influence la peinture de Nychos. L’œuvre de Nychos est flanquée d’animaux (hibou, renard, chat) représentés comme sur une planche anatomique. En 2005, le street artist a fondé le Rabbit Eye Movement (REM, à ne pas confondre avec le groupe de musique), qui est aujourd’hui un espace d’art exposant des d’artistes en provenance du monde entier. Via : Lostateminor.com Par Guillaume RocheFollow @Leyog Composez votre message... Afficher les messages : "art de barbare décadent" voilà quelqu'un qui n'a pas ouvert un seul livre d'histoire de l'art. Votre réponse... art de barbare décadent ! A la une
L'influence des tableaux de Magritte sur la publicité Partagez-moi ! René Magritte (1898 – 1967) est l’un des artistes du XXème siècle qui se prête le mieux au détournement publicitaire. Tout comme Picasso, Warhol, Dali et Mirò, le peintre surréaliste belge bénéficie d’une forte notoriété en Europe et possède un style particulier qui le rend facilement identifiable. Plus important encore, ses tableaux détiennent une esthétique basée sur la transgression, dans le but d’interpeller, de contredire la logique visuelle. A ce titre, l’œuvre de Magritte convient parfaitement à la teneur anticonformiste du discours publicitaire. Au fil de cet article, vous découvrirez l’ensemble des publicités influencées par 12 des tableaux de l’artiste belge. 1. « La trahison est images » est sans doute le tableau le plus célèbre de Magritte. Siemens (2001) Beaucoup de publicités font des références à « la trahison des images » sans en avoir réellement compris le sens, juste pour utiliser le très bon contraste entre le texte et l’image. Allianz (2006) Fiat Panda Aneb
Les codes I. Généralités II. Codes non spécifiques III. Codes spécifiques La compréhension correcte d'un film suppose la connaissance de ces cinq langages. On constate la souplesse du cinéma: il peut tout dire, il est très ouvert: ouvert aux modes diverses, aux symboles, aux courants culturels et idéologiques, aux influences artistiques extérieures. Celui qui veut analyser un film doit d'abord démonter l'importance de ces morceaux étrangers et, ensuite, se dégager de ces interférences codiques; en effet, on ne peut tout étudier à fond, être un spécialiste universel, être historien, sociologue, esthéticien. - le langage cinématographique, le total des traits qui sont supposés être dans les films caractéristiques du langage filmique, - le message total, complexe de chaque film particulier, c'est à dire l'analyse textuelle d'une oeuvre particulière. Parmi les plus importants et les plus opératoires, relevons: L'espace filmique est donc constitué sur un double niveau : F. 1. 2. 3.
Le syndrome de la Laitière jaune Omer Pesquer, vieux renard du ouèbe et consultant culture + numérique qui oeuvre pour différents musées, a retouité hier un lien vers un article en langage grand-breton intitulé Le syndrome de la Laitière jaune - des tableaux avec des problèmes d'identité. La Laitière par Johannes Vermeer, 1658 Quand un tableau est célèbre, nous dit l'article, on en trouve de multiples versions sur les internets électroniques. Une simple recherche sur Google Images permet d'ailleurs d'évaluer en une seconde l'ampleur du problème, ici quelques versions aux colorimétries aléatoires du Massacre des Innocents de Giotto : > Cliquez sur l'image pour un gros plan < Un tumblr, intitulé Yellow Milkmaid Syndrome (Syndrome de la Laitière jaune), fournit de nombreux exemples de reproductions d'oeuvres aux aspects les plus divers. Autoportrait de Vincent Van Gogh,1889 The Rocky Mountains, Lander’s Peak par Albert Bierstadt, 1863 Nature morte avec fleurs et fruits par Paul Cézanne, 1888-1890
Bibliothèque numérique La copie dans l’art La copie et le détournement dans l’art. Article en cours de rédaction Copier, détourner, est-ce créer ?Copier : Imiter, reproduire en un ou plusieurs exemplaires. Détournement : Procédé artistique qui consiste à s’approprier une œuvre ou un objet et à l’utiliser pour un usage ou une représentation différents de l’usage ou la représentation d’origine. Le détournement donc va plus loin que la copie dans le rapport à l’original qu’il ne se contente pas de reproduire mais qu’il rend autre, avec une autre dimension. Par excellence, l’art Byzantin est l’art de la copie. A la Renaissance, les modèles grecs et romains seront copiés par les artistes pour renouveler les formes artistiques. La Vénus de Botticelli s’inspire de la Vénus de Milo. Mais les peintres se copient eux-mêmes par exemple le procédé du miroir apparu dans les tableaux: Van Eyck, Arnolfini, 1434 Petrus Christus Robert Campin Bref, la copie a toujours été un mode de fonctionnement jusqu’au détournement qu’on connaît aujourd’hui. Gelini
Visitez autrement... | Musée du Louvre Privés ou publics, les théâtres souffrent à leur tour de la crise - FRANCE Publié le : 28/12/2011 - 16:26Modifié le : 28/12/2011 - 16:43 Théâtres publics et privés sont à leur tour frappés par la crise. La baisse des subventions, pour les premiers, et de la fréquentation, pour les seconds, rendent les directeurs de salles de spectacles pessimistes. AFP - Les théâtres publics font salles combles mais subissent la stagnation des subventions ; les privés connaissent une saison difficile avec une fréquentation à la baisse : la crise frappe différemment les salles de spectacles mais leurs directeurs manifestent tous la même inquiétude. "On avoisine presque les 100% de taux de remplissage sur tous les spectacles depuis la rentrée et un chiffre record d'abonnés", se félicite Pierre-Yves Lenoir, administrateur de l'Odéon-Théâtre de l'Europe à Paris, un théâtre national. "2010-2011 est la meilleure saison historique depuis 1968", renchérit Emmanuel Demarcy-Mota, directeur du Théâtre de la Ville à Paris, subventionné par la mairie. "Avignonisation"