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Joan Miró - Centre Pompidou

Joan Miró - Centre Pompidou
Du 3 mars au 28 juin 2004, Galerie 1, niveau 6 Joan Miró © Adagp Consacrée à la période 1917-1934, celle de l’invention du langage pictural de Miró et de ses chefs-d’œuvre les plus incontestés, l’exposition permet de suivre l’élaboration d’une création articulée autour du dialogue incessant entre sa terre catalane de Montroig et les milieux artistique et littéraire parisiens que Miró rejoint en 1920. Elle rassemble près de 120 peintures et un nombre équivalent de dessins, collages, constructions, inventions sur papier de toutes sortes. LES DEUX INFINIS DE L’INFINIMENT PETIT À L’INFINIMENT GRAND • “Un brin d’herbe est aussi gracieux qu’un arbre ou une montagne” • Le tracé linéaire et minutieux du visible • Aller au-delà de l’objet visuel pour “féconder l’imagination” • “Atteindre le maximum d’intensité avec le minimum de moyens” Les deux infinis de l’infiniment petit à l’infiniment grand “Pas de simplifications ni d’abstractions, écrit Miró à son ami Ricart en 1918. Related:  Le surréalisme

Salvador Dalí - Centre Pompidou Le Grand Masturbateur, 1929 [Visage du Grand Masturbateur] Huile sur toile, 110 x 150 cmMuseo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid Retour sur un personnage Plus de trente ans après la rétrospective qu’il lui a consacrée, le Centre Pompidou déploie à nouveau l’œuvre labyrinthique de Salvador Dalí dans ses espaces. Décrivant un parcours circulaire, cette seconde rétrospective, organisée par Montse Aguer, Jean-Michel Bouhours et Thierry Dufrêne sous la direction de Jean-Hubert Martin, propose de suivre les circonvolutions de l’univers dalinien le long d’un fil chronologique. L’exposition commence avec les premières recherches picturales, l’attrait de Dalí pour l’impressionnisme, le cubisme et son rapport ambivalent à la peinture académique. Cette rétrospective articule plus de deux cents pièces − toiles, dessins, objets, films −, dont certaines comptent parmi les plus célèbres de Dalí. L’Ultralocal et l’Universel L’élaboration d’une mythologie personnelle La naissance d’un roi Liens

La Révolution surréaliste - Centre Pompidou Du 6 mars au 24 juin 2002 Parcours découverte et pistes pédagogiques pour les enseignants Vous trouverez dans ce dossier des propositions de parcours, à exploiter avec vos élèves. Quand peinture et poésie se rencontrent : Max Ernst L’intérêt pour la mythologie L’inquiétante étrangeté L’automatisme L’objet surréaliste La ville : le Paris des surréalistes Quand peinture et poésie se rencontrent : Max Ernst L’articulation littérature arts plastiques n’a jamais été aussi serrée que pendant la grande aventure surréaliste. L’œuvre d’Arthur Rimbaud et celle de Lautréamont ainsi que la psychanalyse freudienne, découverte alors récente, sont au cœur de la nouvelle esthétique. Contrairement au collage cubiste (1911) où l’enjeu était essentiellement plastique, le collage surréaliste est un procédé poétique car il cherche le merveilleux, l’extraordinaire, l’insolite (cf. à ce propos Louis Aragon, La peinture au défi, 1930). ► Max Ernst, La Puberté proche… ou Les Pléiades, 1921 Collection particulière (salle 1)

Le Surréalisme - Centre Pompidou > English text UN MOUVEMENT, UNE PERIODE Dossiers pédagogiques sur les collections du Musée national d'art moderne Genèse de l'Art surréaliste Les artistes et leurs œuvres: Giorgio De Chirico, Portrait prémonitoire de Guillaume Apollinaire, 1914 Max Ernst, Ubu Imperator, 1923 Man Ray, Le Violon d’Ingres, 1924 Joan Miró, La Sieste, 1925 René Magritte, Querelle des universaux, 1928 Salvador Dali, Lion, Cheval, Dormeuse invisibles, 1930 Victor Brauner, Loup-Table, 1939-1947 Textes de référence Texte extrait de "La glace sans tain", Les Champs magnétiques, André Breton et Philippe Soupault, 1919 Définition du Surréalisme, in André Breton, Manifeste du Surréalisme, 1924 Poème de Joan Miró, novembre 1936 Glossaire du Surréalisme Chronologie Bibliographie sélective *A NOTER Les collections du Musée comportent plus de 59 000 œuvres. Le groupe des Surréalistes s’est formé à partir de l’esprit de révolte qui caractérise les avant-gardes européennes des années 20. Biographie Biographie

La Course de taureaux de Joan Miro Miró est né à Barcelone et a commencé sa carrière avec une peinture réaliste, mais schématique et naïve [ image 1 ]. Sa production est d’abord marquée par les personnages, les animaux et les outils de la ferme de ses parents en Catalogne. Par la suite, il prend des distances par rapport au réel et élabore un langage de signes personnels et biomorphiques (comme des organismes vivants). Le taureau : entre symbole et humour Le tableau représente le face-à-face dramatique du taureau et du toréador. Une arène céleste Ce tableau témoigne de la démarche de Miró, partagée entre réel et irréel, entre matérialité de l’œuvre et immatérialité de la représentation. Miró surréaliste ? Dans La Course de taureaux, certains éléments semblent proches de l’esthétique surréaliste, comme l’aspect hybride de l’animal, mi-taureau, mi-chat. Plus méditatif que surréaliste Quand il séjourne aux États-Unis à partir de 1947, Miró entre en relation avec la jeune avant-garde américaine.

Rétrospective Miró à Barcelone - ina.fr Elevé dans la Barcelone moderniste, influencé par le dadaïsme, Joan Miró (1893, Barcelone - 1983, Palma de Majorque) a un langage pictural si unique qu'il a réussi à désorienter les surréalistes les plus avertis. Breton et Eluard, qui étaient venus visiter son atelier en 1925 pour savoir si le Catalan devait rejoindre leurs rangs, en sont ressortis désorientés. Miró dira de ces révolutionnaires qu'il sont "enfermés dans un traditionalisme bien fade". Si les jeunes années de Miró à Paris, où il est venu vivre de son art, sont marquées par la misère, la reconnaissance vient dès la fin des années 1920. Peintre, sculpteur, céramiste, Miró a montré que sa palette était bien plus complexe que les traits enfantins que lui prêtait Breton à ses débuts. Cécile Olive

Joan Miro - Fondation Maeght Peintre, sculpteur, graveur et céramiste, né à Barcelone le 20 avril 1893 et mort à Palma de Majorque le 25 décembre 1983. Une amitié profonde unissait Joan Miró à Aimé et Marguerite Maeght. C’est lui qui recommanda son ami architecte Josep Lluís Sert, qui construisit en 1956 son atelier de Majorque, pour dessiner les plans de la Fondation à Saint-Paul de Vence. Par la suite, 140 sculptures, 70 dessins, 8 peintures, une tapisserie monumentale, un vitrail et des céramiques viendront enrichir cet ensemble, donnant à la Fondation Maeght, grâce à la générosité de Joan Miró et d’Aimé Maeght, une des collections les plus importantes jamais réunie dans un musée d'art moderne sur cet artiste. « Miró s’intéressait aussi bien à la nouvelle poésie, à l’émergence de nouvelles musiques, des technologies, bref à tout notre monde moderne et à ce qui pouvait lui apporter de nouveaux moyens pour réaliser son œuvre.

Musée Magritte (Bruxelles) Il était une fois Magritte - Royal Museums of Fine Arts of Belgium Once upon a time ... Magritte Duane Michals, René Magritte, 1967 René René Magritte is world famous for his strange and poetic images. Georgette and René Magritte, 1922 Georgette At 15, Magritte meets Georgette at a fair. The man who became a painter René Magritte, Woman on Horseback, 1922, RMFAB Cubo-Futurism During his years at the Academy, Magritte meets a lot of other artists who later become his friends. Giorgio de Chirico, The Song of Love, 1914, New york, MoMA The first Surrealist works In 1923, Magritte discovers the Song of Love, by the Italian artist Giorgio de Chirico. René Magritte, Pour devenir un fort soldat... Advertising Being an artist is not always easy! René Magritte, The man from the Sea, 1927, RMFAB The dark period Magritte puts familiar objects or parts of them together with strange characters in dark settings... René Magritte, The Use of Speech, 1929 Paris Magritte and Georgette move to Paris. René Magritte, The Harvest, 1943 The "full sunlight" period The "vache" period 1.

Max Ernst (Un artiste, une œuvre) - francetv éducation Ernst étudie l’art et la philosophie avant d’être mobilisé. Il sera l’un des fondateurs de Dada à Cologne. En 1919, dans ses premiers collages, il efface les traces de la réalisation au profit de l’illusion : « Si ce sont les plumes qui font le plumage ce n’est pas la colle qui fait le collage. » Max Ernst En 1921, l’exposition de ses collages à Paris pose les bases de l’esthétique surréaliste. Un inventeur Le « frottage », qu’il met au point en 1925, consiste à frotter avec un crayon une feuille posée sur du bois. Ernst et l’Amérique La collectionneuse Peggy Guggenheim, qui sera l’une de ses épouses, participe à sa renommée. Revenu à Paris, il reçoit le Grand Prix de la Biennale de Venise en 1954, qui lui vaut l'exclusion du surréalisme par Breton. Ernst, né allemand et devenu Américain, meurt français en 1976. Max Ernst, Deux enfants menacés par un rossignol, 1924, huile sur toile avec éléments en bois, 69,8 × 57 × 11,4 cm. Deux enfants menacés par un rossignol

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