Comprendre les typologies de réseaux communautaires
Observant avec plaisir sur ma timeline Twitter que les articles sérieux sur les typologies des réseaux sociaux commencent à remplacer les listes qui expliquent comment gagner 10000 followers sur Twitter en 3 jours ou comment développer sa marque sur Facebook en 15 points, je me prends au jeu. Pourquoi est-ce si important, avant même de parler techniques de community management de comprendre la communauté au sein de laquelle on souhaite s’engager? Parce que cela permet de comprendre s’il vaut mieux s’appuyer sur le bouche à oreille ou sur les leaders d’opinion. Parce que cela permet d’anticiper la façon dont un message va être transmis. Un petit rappel, pour commencer. Il est intéressant cependant de segmenter les réseaux en deux catégories : les réseaux homogènes et les réseaux qui prennent la forme de “grappes”. Un réseau homogène est constitué de liens de force et de densité relativement égales. Un réseau sous forme de “grappes”, quant à lui, est beaucoup plus hétérogène.
Réseau social
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme provient de John Arundel Barnes (en) en 1954[1]. L’expression « médias sociaux » recouvre les différentes activités qui intègrent la technologie, l’interaction sociale (entre individus ou groupes d'individus), et la création de contenu. Andreas Kaplan et Michael Haenlein définissent les médias sociaux comme « un groupe d’applications en ligne qui se fondent sur la philosophie et la technologie du net et permettent la création et l’échange du contenu généré par les utilisateurs »[2]. Les médias sociaux utilisent l’intelligence collective dans un esprit de collaboration en ligne. Applications en sciences sociales[modifier | modifier le code] La théorie des réseaux sociaux est un champ extrêmement actif dans le milieu universitaire et plusieurs outils de recherche d'analyse des réseaux sociaux sont disponibles en ligne et sont relativement faciles à employer pour présenter simplement un graphe de réseau social[réf. souhaitée]. E.
Web 2.0
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cartographie sensible du web 2.0 L'expression « Web 2.0 » désigne l'ensemble des techniques, des fonctionnalités et des usages du World Wide Web qui ont suivi la forme originelle du web[1]. Elle concerne en particulier les interfaces permettant aux internautes ayant peu de connaissances techniques de s'approprier de nouvelles fonctionnalités du web. Le Web 2.0 est donc l'évolution du Web vers l'interactivité à travers une complexification interne de la technologie mais permettant plus de simplicité d'utilisation, les connaissances techniques et informatiques n'étant pas indispensables pour les utilisateurs. L'expression « Web 2.0 » utilisée par Dale Dougherty (en) en 2003, diffusée par Tim O'Reilly en 2004 et consolidée en 2005 avec l'exposé de position « What Is Web 2.0 »[3] s'est imposée à partir de 2007. Présentation[modifier | modifier le code] Origine du terme[modifier | modifier le code] Technologies[modifier | modifier le code]
Syndication de contenu
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'icône commune d'un flux Web La syndication de contenu Web est une forme de syndication dans laquelle une partie d'un site est accessible depuis d'autres sites. Cela est possible en y ajoutant une licence accordée à ses utilisateurs. L'expression "syndication de contenu" ne doit pas être confondue avec le format de données RSS qui a popularisé l'expression durant la décennie 2000. Intérêt pour l'utilisateur final[modifier | modifier le code] Dans un dossier réalisé en 2007 par le site web d'informatique Clubic, le rédacteur résume l'intérêt de la syndication de contenu (en l'occurrence le format de données RSS) ainsi : « Pour un utilisateur lambda, le terme « flux RSS » peut paraître barbare. [modifier | modifier le code] Lorsqu'on a un site Web dynamique, le contenu est géré indépendamment de l'affichage. Différents formats de syndication sont exploitables. Où trouver du contenu ? Plusieurs lecteurs sont disponibles : Portail d’Internet
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