Apprentissages formels et informels : de quoi parle-t'on ? - Le blog de la Formation professionnelle et continue Intégrer les apprentissages informels comme leviers à part entière de développement des compétences … Fertiliser des « écosystèmes d’apprentissage » … Voilà qui fait rêver, mais en pratique ce n’est pas si simple. Des pistes se dégagent pour une vraie prise en compte – et la facilitation- des apprentissages informels. Voici donc, sur le sujet, un premier billet. De quoi parle t’on ? Dans le langage ordinaire, on parle habituellement d’apprentissage informel lorsqu’il se situe en dehors de la salle de classe, ou de formation. la socialisation (apprentissage tacite, « apprentissage presque naturel des valeurs, attitudes, comportements, savoir-faire et connaissance qui se produit dans la vie quotidienne »),l’apprentissage fortuit (apprentissage non intentionnellement recherché, coproduit d’une autre activité),l’apprentissage autodirigé (projet éducatif entrepris sans l’aide d’un professeur) ». L’axe vertical concerne la détermination des objectifs Un apprentissage peut donc être
Accompagnement à distance des apprenants Si le « stage » de formation impliquant le rassemblement d’un groupe restreint (5 à 20 personnes) constitue encore une des formes les plus répandues de l’accès à la formation professionnelle, si les universités s’ingénient encore et toujours à investir dans l’immobilier et la construction de vastes amphis, le développement des formules de formation à distance et hybrides tant initiale que continue préfigure notre futur proche où l’unité de temps et de lieu, le regroupement des apprenants en un espace physique, dit d’apprentissage (en fait, le plus souvent d’enseignement), ne seront qu’une étape remarquable mais révolue de l’évolution des formes éducatives. A cet égard, le nouveau cadre défini par la loi sur la formation professionnelle du 7 mars 2014 constitue une avancée prometteuse. De nombreux facteurs poussent au changement mais je n’en évoquerai ici que deux qui me paraissent les plus puissants. Du groupe restreint au réseau social d’apprentissage Proposition 01. Proposition 02.
Comment apprenons-nous Le cerveau est l’objet le plus complexe de l’univers connu, et c’est de sa compréhension que dépendra l’avenir de nos technologies futures et singulièrement l’intelligence artificielle et la robotique. A l’Inria, Frédéric Alexandre dirige le projet Mnémosyne, chargé de développer des modèles computationnels de notre fonctionnement cérébral, dans le but de développer à terme des agents autonomes, robotiques ou logiciels, qui soient physiologiquement crédibles. Autrement dit, dont l’architecture sera analogue à celle du cerveau humain. Au cours d’une conférence à Bordeaux, lors d’un atelier organisé conjointement par l’expédition Bodyware de la Fing et l’Inria, Frédéric Alexandre nous a présenté quelques fondamentaux concernant les mécanismes de notre mental. Les sciences de l’esprit, sciences cognitives et neurosciences, ont fait des progrès ces dernières années et s’attaquent à des sujets de plus en plus difficiles, a-t-il expliqué en préambule. Comment garder l’information importante
découverte - monde et société - culture et sport - les langues D'où viennent les expressions animalières? "Il y a anguille sous roche", c'est "kif-kif bourricot", "monter sur ses grands chevaux", voilà des expressions françaises où apparaissent à chaque fois des animaux. Mais d'où viennent-elles? Le Muséum d'Histoire naturelle de Neuchâtel y avait consacré une exposition. Kif-kif bourricot, qui signifie "exactement pareil", vient d'Algérie. Monter sur ses grands chevauxDu temps de la chevalerie, les grands chevaux étaient les chevaux de combat. A la queue leu leuMarcher à la queue leu leu signifier marcher l'un derrière l’autre, en file indienne. Triple buseUne triple buse se dit d'une personne particulièrement sotte et ignorante. Clouer le becClouer le bec à quelqu'un, c'est le réduire au silence, le laisser sans réplique. Il y a anguille sous rocheDire qu'il y a anguille sous roche, c'est dire qu'on nous cache des choses mais qu'on sait qu'on nous cache des choses. RTSdécouverte
Le modèle SAMR : une référence pour l’intégration réellement pédagogique des TIC en classe Le modèle SAMR, élaboré par Ruben Puentedura, est une référence théorique très importante pour les éducateurs qui souhaitent réfléchir à l’intégration efficace et réellement pédagogique des technologies en classe. En voici un résumé. Le modèle SAMR offre une méthode permettant de mieux saisir comment la technologie peut avoir un réel impact sur l’enseignement et l’apprentissage. Ainsi, il aide l’enseignant à comprendre qu’intégrer les TIC ne signifie pas d’utiliser la technologie à tout prix, mais d’engager l’élève dans son apprentissage. Les lettres signifient Substitution, Augmentation, Modification et Redéfinition. Allons voir de plus près chacune des composantes du modèle SAMR, mis en place par Ruben Puentedura. Substitution Définition : La technologie est utilisée pour effectuer la même tâche qu’avant. Exemple : L’élève utilise un traitement de texte au lieu d’un crayon pour écrire un texte. Changement fonctionnel : Aucun changement fonctionnel dans l’enseignement ou l’apprentissage.
Styles d'enseignement, styles d'apprentissage et pédagogie différenciée en sciences - LEM - ULg INTRODUCTION Cet article s'adresse aux enseignants du secondaire et plus spécialement aux enseignants en sciences. Il vise essentiellement à les aider à : - clarifier deux concepts clés en psychopédagogie moderne : les styles d'enseignement et les styles d'apprentissage; - mieux se connaître en tant qu'enseignant; - mieux connaître les élèves en tant qu'apprenants; - présenter deux situations d'apprentissage en sciences l'une en chimie (5ème et 6ème), l'autre en biologie (3ème et 4ème). 1. ENSEIGNER ET APPRENDRE : POINTS DE REPERE... Les notes qui suivent sont délibérément succinctes, elles n'ont d'autre ambition que de situer la recherche du LEM (Laboratoire d'Enseignement Multimédia de l'Université de Liège) dans un cadre conceptuel adéquat et opérationnel. 1.1. B. Conséquences : a. 1.2. A. B. Dans les recherches du LEM, notre référence sera, bien entendu, plus constructiviste que behavioriste. Conséquences : a. 2.1. 2.2. 1. Schématiquement, la grille se présente comme suit : 2.3. 1.
Guide pédagogique : courants, démarches, méthodes, types de savoir et exercices Comprendre les modèles pédagogiques est essentiel pour toute personne exerçant bénévolement ou professionnellement dans les domaines de la sensibilisation, de l’apprentissage ou de la formation au numérique (ou à d’autres sujets). Le portail FOAD Spirit propose un dossier de 25 pages, gracieusement téléchargeable (en pdf) : le mini-guide pédagogique qui propose une présentation des différents courants, méthodes et démarches pédagogiques ainsi que les types de savoirs. Exploration de la pédagogie avec exercices Ces connaissances concentrées en un document unique de synthèse donnent à voir les différentes approches pédagogiques et présentent une démarche active avec un exercice à penser en continu et à compléter en fin de dossier pour aider à réaliser le jeu du mot mystère. Sommaire du mini-guide pédagogique 3 courants pédagogiques Le behavorisme Le constructivisme Le socio-constructivisme Les démarches pédagogiques La démarche déductive La démarche inductive La démarche dialectique Annexes
Taxonomie de Bloom Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La roue de la taxonomie de Bloom. La taxonomie de Bloom est un modèle pédagogique proposant une classification des niveaux d'acquisition des connaissances[1]. Benjamin Bloom, bien qu'il n'en soit pas le seul créateur (34 universitaires américains participent aux conférences de 1949 à 1953), est souvent reconnu comme le « père » de cet outil[2],[3]. Description[modifier | modifier le code] La taxonomie organise l'information de façon hiérarchique, de la simple restitution de faits jusqu'à la manipulation complexe des concepts, qui est souvent mise en œuvre par les facultés cognitives dites supérieures[4]. Composition[modifier | modifier le code] La taxonomie des objectifs éducationnels selon Bloom. Elle peut être résumée en six niveaux, chaque niveau supérieur englobant les niveaux précédents. Révision[modifier | modifier le code] Ainsi en 2001 une taxonomie révisée de Bloom a été proposée par plusieurs auteurs dont Lorin W. Taxonomie de van Hiele
Les compétences du tuteur à distance Les compétences disciplinaires traduisent le niveau d’expertise sur le sujet de la formation, la capacité du tuteur à répondre aux questions sur le contenu du cours et à fournir des informations ou à indiquer des ressources complémentaires au ressources d’enseignement du dispositif, de corriger et de rétroagir aux productions des apprenants… Les compétences techniques sont celles que le tuteur doit développer par rapport aux technologies constitutives de l’environnement de formation. Sans être un expert, le tuteur doit être un utilisateur de bon niveau et ce d’autant plus qu’il peut lui être confié certaines tâches d’administration du dispositif e-learning. Brigitte Denis, dans son article "Quels rôles et quelle formation pour les tuteurs intervenant dans des dispositifs de formation à distance ?" associe les types d'intervention tutorales aux compétences que le tuteur doit posséder pour les réaliser.
Les apprenants, tous différents Comment assurer un enseignement de masse, tout en respectant les méthodes et aspirations de chacun ? La réponse se trouve dans la pédagogie différenciée et la pédagogie individualisée. La pédagogie différenciée est appliquée à tous, car tous les styles d'apprentissage sont immanquablement représentés dans un gorupe classe; alors que la pédagogie individualisée s'adresse à des personnes en nombre limité, parfois sur le temps de cours, le plus souvent en s'appuyant sur des dispositifs périphériques aux heures de cours. Ces approches pédagogiques prenant en compte les particularités des apprenants ne sont pas encore généralisées. La plupart des projets sont portés par des équipes éducatives dont les membres se soutiennent et échangent leurs bonnes pratiques. En formation professionnelle, l'autonomie de l'apprenant et donc, la prise en compte de ses propres stratégies d'apprentissage, est assez répandue, sans doute à cause du postulat de maturité effectué à propos des apprenants.
Apprendre de façon visuelle/spatiale “Apprendre, pour ceux qui le font de façon visuelle-spatiale, est quelque chose de soudain et se fait à partir de regroupements de données saisis de manière intuitive plutôt que dans le regroupement progressif d’éléments isolés, de petites étapes ou d’habitudes acquises par la pratique. Par exemple, ils peuvent apprendre toutes les multiplications comme un ensemble sur une table de multiplications beaucoup plus facilement et rapidement que s’ils avaient mémorisé chaque donnée séparément. Organiser: La perspective visuelle/spatiale est le principe d’organisation.Le perfectionnisme pour ceux qui apprennent de façon visuelle/spatiale correspond à un espace bien ordonné et élaboré dans lequel chaque objet est à sa place et de façon harmonieuse.Ils ne sont pas à l’aise et peuvent même être agités lorsqu’ils sont face à des situations incomplètes ou instables. Observer/Expérimenter: Les stratégies pour apprendre Prendre des habitudes en étudiant Utilisez la technologie: Pendant les cours Voir aussi
Concept & principes pédagogiques – 7 : l’apprenance L’apprenance est l’attitude face à l’acte d’apprendre. Elle est prescriptive de la réussite d’un apprenant. Alors que la responsabilité de la formation est, de réforme en réforme, toujours plus reportée sur l’apprenant, l’apprenance permet de faire évoluer notre regard pédagogique sur l’acte d’apprendre. Et conduit les acteurs de la formation à s’interroger sur les capacités et prédispositions des apprenants à apprendre. L’apprenance ou l’attitude face à l’apprentissage Le concept d’apprenance a été développé par Philippe Carré, Professeur à l’Université Paris-Ouest. L’apprenance est donc une attitude favorable à l’apprentissage. 1) Dimension cognitive : « il s’agit de l’ensemble des représentations, des prénotions, des conceptions, des évaluations et des jugements “froids“, préalables à l’acte d’apprendre, qui vont régir pour partie nos perceptions et nos (in)compréhensions du contenu“. 3) Dimension conative : ce sont « les dispositions à s’engager dans l’action ». Résumé