Territoires Hautement Citoyens Aller au contenu principal Territoires Hautement Citoyens Présentation Territoires Hautement Citoyens est un programme qui propose aux collectivités locales d’opérer une transition démocratique en expérimentant des formes de gouvernance ouverte. L’objectif visé est d’accompagner chaque collectivité partenaire du programme à déclencher et animer cette transition démocratique en s’appuyant d’abord sur les forces vives de son territoire (notamment par la mise en réseau des acteurs de terrain et la valorisation des initiatives locales). Les différents porteurs de projets qui composent le collectif Démocratie Ouverte pourront enrichir les démarches d’ouverture des Territoires Hautement Citoyens en proposant de nouveaux dispositifs, outils et méthodes à expérimenter localement. Territoires Hautement Citoyens (THC) complète et s’inspire d’une dynamique internationale, l’Open Governement Partnership dont il partage : Territoires Hautement Citoyens date: Octobre 20, 2014 category: like 16 Likes
Plus pauvres, les Français hyper-consomment autrement Cela fait dix ans que les Français sentent leur niveau de vie reculer. A force, ils développent un rapport à la consommation plus réfléchi : la débrouille entre dans les mœurs et la consommation alternative s’est démocratisée au point de ne plus être une alternative, nous enseigne la lecture du second rapport de l’Observatoire des consommations émergentes publié ce jeudi 7 novembre 2013 par l’Obsoco. Une bipolarité des comportements d’achat Le recul très net du pouvoir d’achat des Français (-0,9 % selon l’INSEE) explique l’évolution de l’indécision dans les comportements d’achat des Français. Ce rapport bipolaire à la consommation se retrouve dans le rapport aux marques. D’ailleurs, l’étude menée cette année note un recul dans la proportion des personnes souhaitant consommer mieux (46 % en 2013 contre 52 % l’an dernier), et de celles parmi elles souhaitant consommer moins (26 % en 2013 contre 30 % l’an dernier). Ce qui émerge le plus n’est pas forcement le plus médiatisé
Participation Compass What is Participation? Participation, engagement and involvement are all terms that are popular today. While there are differences in the meaning of these terms, there is also a lot of overlap. The participation field is diverse in practice and theory. Participation is often modelled as a ladder or spectrum ranging from the lowest level, to inform, to the highest level, to empower. Participation - The Policy Context Whether through the calls for direct democracy, "The Big Society", participatory budgeting , or choice and voice in service provision, citizens have never before been afforded so many opportunities for direct influence over public services. "For a long time the way government has worked - top-down, top-heavy, controlling - has frequently had the effect of sapping responsibility, local innovation and civic action. It has turned many motivated public sector workers into disillusioned, weary puppets of government targets. So we need to turn government completely on its head.
Les 10 bonnes pratiques pour booster votre communauté. 7. Intégrez-vous dans les communautés existantes. Votre communauté ne vous a pas attendu pour échanger et se regrouper. Ne cherchez surtout pas à les dupliquer, ils sont le fruit de beaucoup de temps et d’efforts de mise en place. 8. Une actualité chaude dans votre communauté est l’occasion de vous faire connaître. Rebondir à chaud sur une actualité suppose que vous mettiez en place une veille régulière sur des sujets en rapport avec votre activité, par exemple avec un système d’ alertes Google sur certains mots-clés. Observatoire des débats publics Travail coopératif : quand la distance permet le rapprochement 1. Définition, notions voisines et lexique de termes techniques Travail collaboratif, coopératif ou encore travail de capitalisation, autant de termes dont les significations se rapprochent et méritent donc une définition et une distinction claires. a) Définition et notions voisines Le travail collaboratif : Il s’agit d’un travail de groupe d’égal à égal (sans lien hiérarchique de commandement ou d’impulsion) qui fonctionne sans véritable organisation préalable (coordination). Chaque intervenant apporte son savoir, son idée en pouvant ou non s’inspirer des apports réalisés précédemment par les autres (travail que l’on peut apparenter à une réunion de type non directive recherchant la créativité) Exemple : un wiki : chaque internaute peut ajouter un commentaire sur le site ou corriger ceux des autres. Exemple : un tableau blanc : chaque internaute écrit, dessine ou dépose un document sur le tableau. Remarque : Le programme de CGRH ne mentionne que le travail coopératif ! 2.
Ouvrir le débat pour coproduire la ville Le rapport de recherche publié par l’ICADD : “Projet négocié dans un contexte de développement durable : méthodes et outils collaboratifs” met en avant les conditions de coproduction de la ville entre puissance publique, usagers et partenaires privés. A partir d’échecs et de succès expliqués avec précision, l’équipe ICADD organise un travail de cross dressing consistant à chercher sur d’autres secteurs d’activité la façon dont on implique les usagers notamment dans la conception d’innovations. Sombre analyse d’une culture politique qui souvent n’a d’autre intérêt à investir la participation qu’un enjeu de communication. Cet éclairage, pourtant, est un apport méthodologique et bibliographique important pour notre étude des conditions de coproduction de l’innovation. Cette étude décrit pourquoi la ville contemporaine est nécessairement, et de fait, un objet de coproduction. Pourquoi la ville contemporaine est un objet de coproduction ? Un défaut de point de vue L’usager fantôme Bruno Caillet
Près d'un Français sur deux adepte de la consommation "collaborative" 48 % des Français pratiquent la revente d'objets, le covoiturage, le troc ou encore la colocation, et à 63 % pour une raison d'économie financière, selon un sondage TNS Sofres. Près de la moitié des Français (48 %) pratiquent désormais la revente d'objets, le covoiturage, le troc ou encore la colocation, et à 63 % pour une raison d'économie financière, selon un sondage TNS Sofres pour le groupe La Poste. Selon cette étude publiée jeudi, qu'il s'agisse de revendre des objets, d'acheter en première main ou d'occasion, de pratiquer le covoiturage, l'autopartage, le troc, la colocation, la consommation dite "collaborative" n'est plus un microphénomène : désormais, 48 % des Français la pratiquent régulièrement et 32 % disent vouloir s'y mettre, quand 20 % y semblent réfractaires. Au total 8 Français sur 10 pratiquent ou ont l'intention de pratiquer cette nouvelle façon de consommer. Lire le post de blog : Vingt idées pour dynamiser l'économie du partage dans les territoires