Pizarro, Atahualpa et la chute de l'empire inca (1532) Le 16 novembre 1532, l’empereur Inca Atahualpa fut capturé au milieu de sa suite par un petit groupe d’Espagnols dirigé par Francisco Pizarro. Cette attaque audacieuse, doublée d’un effroyable massacre, allait sonner le glas de l’empire inca et amorcer sa conquête par les Espagnols. Pourtant, rien ne laissait présager qu'une poignée d'aventuriers espagnols allaient, en un seul jour, porter un coup fatal au plus vaste empire de l'Amérique précolombienne. À la recherche du Pérou Castillan émigré aux Amériques en 1502, Francisco Pizarro s’installe à Panama en 1513. Leur première expédition, en 1524-25, est un fiasco : leur navire endommagé, en butte aux privations et à l’hostilité des tribus qui peuplent l’actuel Équateur, les Espagnols renoncent. La troisième expédition de Pizarro appareille finalement en décembre 1530. À la rencontre d'Atahualpa La "bataille" de Cajamarca L’issue de la rencontre diffère également selon les sources. Une chose est sûre : la violence, alors, se déchaîne.
Désintox, le blog L’empathie, qu'est-ce que c'est ? Carl Rogers a été le premier psychothérapeute à mettre en lumière le rôle essentiel de la relation dans l’efficacité thérapeutique. Dans des publications parues entre 1940 et 1950, il décrit ce qu’étaient, selon lui, les trois conditions critiques permettant aux thérapeutes de promouvoir l’auto-actualisation de leurs patients : avoir une attitude de compréhension empathique, faire preuve d’une estime positive et sans condition, être en congruence. Ces dernières années, de nombreuses études concernant l’efficacité thérapeutique ont été menées, avec pour certaines des résultats surprenants. Plutôt que de chercher à promouvoir de meilleures méthodes, la recherche nous indique que la clé du succès réside dans l’habileté du thérapeute à établir une bonne alliance avec son patient. Quelle que soit la méthode, le profil des patients, le problème ou l’étape de changement qui étaient adressés, l’empathie avait un rôle déterminant. Définir l’empathie Les deux facettes de l’empathie
Les décodeurs | Fact-checking participatif, par LeMonde.fr Licence première année - second semestre Le fact checking ou la vérification des faits Un message de François sur Espace Public a interpellé Jérôme Bouvier, le médiateur de Radio France. Lors de l’écoute d’une interviewe dans le journal de 12h 30, cet auditeur estime que l’invité du jour a dit une contre vérité sur l’affaire Bettencourt, et est agacé que les journalistes n’aient pas relevé immédiatement cette contre vérité. « Les journalistes sont là pour relever les mensonges de leurs invités ! Attaque Francois. Or dans l’excellent journal de 12h 30, j’ai été très déçu le jour où vous avez reçu Nora Berra. François affirme finalement qu’il vaudrait mieux renoncer à inviter des politiques si les journalistes ne peuvent pas relever leurs fausses affirmations. La question qu’évoque François est récurrente et invite à décrypter cette attente d’une immédiate vérité ... Le médiateur s’interroge sur cette tendance du « fact checking » : la vérification des faits.
Licence première année - premier semestre Toutes les vidéos de "Désintox" | Bernard Debré et l'âge de la retraite selon François Hollande | 28 minutes, du lundi au vendredi à 20h05 | Monde En partenariat avec Libération et 2P2L, la rubrique Désintox traque tous les jours les petits et gros mensonges du débat public. Diffusion du lundi au jeudi. Créée en 2008 à Libération, Désintox est la première rubrique française de "fact checking" (littéralement : vérification des faits). Elle relève les inexactitudes ou les mensonges délibérés dans les discours des politiques. Pour en savoir plus, retrouvez les enquêtes de Désintox en version longue et les sources détaillées dans Libération et sur le blog dédié desintox.blogs.liberation.fr Désintoxune production 2P2Lréalisé en collaboration avec LibérationRéalisation : Arthur Lecoeurjournalistes : Sarah Bosquet, Cédric Mathiot, Catherine Petillon
Dyslexie : des outils innovants de remédiation Un projet d'aide à la remédiation dans la dyslexie sera exposé lors d'Innovatives SHS, le salon de valorisation des sciences humaines et sociales du CNRS, les 16 et 17 juin à Paris. Présentation. Dyslexia -blackboard1965/fotolia.com Nathalie Bedoin est enseignant-chercheur, Laboratoire Dynamique Du Langage, et travaille sur un projet d’aide à la remédiation dans la dyslexie, qui a été présenté lors du Salon Innovatives SHS du CNRS, les 16 et 17 juin derniers à Paris. Pouvez-vous nous présenter votre laboratoire ? Le Laboratoire Dynamique Du Langage est une UMR CNRS-Université Lyon 2 qui explore l’articulation entre la diversité des milliers de langues parlées dans le monde et l’universalité de la capacité langagière humaine. Qu’est-ce que la dyslexie, touche-t-elle beaucoup de personnes, et pourquoi avoir choisi de travailler spécifiquement sur ce trouble ? Quel est le caractère innovant de votre projet, et comment concrètement peut-il aider les élèves et personnes souffrant de dyslexie ?