Projet Beauceant, Première encyclopédie interactive sur les Templiers et l'Ordre du Temple
Commanderie du Ruou
Le domaine s'agrandit rapidement et les Commandeurs successifs créèrent des fermes, des granges et des maisons indépendantes. Au total les exploitations couvrirent un millier d'hectares répartis sur 28 communes dont Draguignan, Tourtour, Callas, Entrecasteaux et surtout Lorgues où les Commandeurs résidèrent jusqu'en 1193. Le premier Commandeur fut en 1170 HUGUES RAYMOND de VILLACROS. Au total, 32 Commandeurs se succédèrent et le nombre des Frères Chevaliers atteignit un effectif quatre fois supérieur à la moyenne des autres commanderies. En 1223 on notait ainsi à côté du Commandeur, la présence de 16 Frères, du Chapelain et d'un nombreux personnel de service. L'année 1307 vit l'arrestation des Templiers par Philippe le Bel. A partir de 1460 aucun texte ne fait plus mention du RUOU. Vers 1843 une fabrique de tomettes vint occuper les lieux et a fonctionné jusqu'en 1914.
Les templiers et le nombre d'Or - Ordre du Temple
Les Templiers et le nombre d’Or L'homme de vitruve - Leonard de vinci Le lecteur sera peut-être surpris d’apprendre que les constructeurs de cathédrales du Moyen-âge, n’ont pas utilisé notre système métrique classique pour élaborer leurs œuvres, et pour cause… Celui-ci, n’est né officiellement qu’en 1795 ! On sait, grâce à divers auteurs anciens, tels que Héron, que dès l’antiquité les premières mesures ont été prises des dimensions du corps humain, ce que confirment d’ailleurs les noms de : pas, coudée, pied, palme, pouce, doigt, encore employés de nos jours. Au Moyen-âge, donc, les bâtisseurs utilisaient une pige constituées de cinq tiges articulées, correspondant chacune à une unité de mesure de l’époque : la paume, la palme, l’empan, le pied et la coudée. A Chartres*1 cependant, comme à Reims et dans la plupart des autres cathédrales, ils utilisèrent un autre système… basé sur le nombre d’Or… ! I : Qu’est-ce que le nombre d’Or ? Le nombre d'Or est appelé Phi Parthénon et nombre d'Or Euclide
Tresors Templiers et Alpes Maritimes
Qui n’a pas rêvé de chasse au trésor, de ces trésors cachés, oubliés au carrefour du passé ? La tradition populaire en relie à chaque période troublée de l’histoire des civilisations, de sorte que certains, comme celui des Templiers, hantent indéfiniment l’imaginaire collectif. Le trésor des Templiers est recherché un peu partout en France, selon Didier Audinot, auteur du célèbre « Dictionnaire des Trésors » qui s’est fait une spécialité dans ce type de recherche, il serait encore caché en Champagne. En effet, la persécution de l’Ordre dans sa soudaineté, n’aurait pas permis aux commanderies de faire remonter leurs valeurs jusqu’à la Maison Mère de Paris, comme le leur ordonnaient les Grands-Maîtres. Certaines de ces richesses seraient peut-être encore enterrées quelque part, aux alentours des principales places templières, à moins qu’elles aient été depuis discrètement découvertes, n’oublions pas que la chasse au trésor des Templiers a commencé dès 1307.
Templiers en haute provence
Les Templiers en Haute Provence: Dans cette province de Haute Provence comme partout ailleurs en France, les Templiers recueillirent de nombreuses donations des seigneurs du cru. C'est pourquoi, on les trouve implantés un peu partout. Notre province ne fait pas exception. Ces lieux pouvaient servir de base arrière pour le repos ou pour les soins apportés aux blessures reçues en Terre Sainte. Dès le 12 ème siècle, les Templiers se virent, comme en Palestine, confier la sécurité des axes routiers qui étaient infestés de brigands et autres détrousseurs de grands chemins. --- Richerenches. Le plus grand bâtiment des Alpes de Haute Provence qui peut se rattacher à eux est le château de Gréoux les Bains dont la construction a commencée au XII ème siècle. Eaux de Gréoux » en faisant référence à eux comme seigneurs de cette ville. D'autres « ont dits » les placent un peu partout, à SISTERON, on leur attribue la construction de la chapelle de la citadelle (1202). --- Entrevaux. Quelques ouvrages
Biographie de Jeanne d'Arc, (la Pucelle)
BIOGRAPHIE : Jeanne naquit le 6 janvier 1412 à Domrémy en Lorraine. De parents aisés, elle grandira alors que la France sombre dans la 2nde guerre de Cent Ans. Jeanne a 13 ans et les voix qu’elle entend (celles de Saint Michel, Sainte Marguerite et Sainte Catherine) lui disent d’aller sauver la France des Anglais (vers 1428) et de faire couronner Charles VII. Elle désire se rendre auprès du Dauphin à Chinon. En mai 1429, elle force les Anglais à lever le siège d'Orléans, qui avait commencé le 12 octobre de l’année précédente. Le 17 juillet 1429, Charles VII est sacré et couronné dans la cathédrale de Reims.
L'ORDRE DU TEMPLE: les 10 années clés
Nous l'avons vu dans la présentation générale, l'ordre du Temple est officiellement né en Terre Sainte en 1118. Néanmoins, nous allons constater que la reconnaissance officielle de l'Ordre en 1118 n'est que le prolongement d'une "mission" ou d'une "enquête" commencée près de 10 ans plus tôt... Il a été démontré et accepté par tous les historiens que Hugues de Payns a effectué au moins deux voyages en Orient au lendemain de la première Croisade, en 1104-1105 et en 1114-1115, les deux fois en compagnie du Comte Hugues de Champagne. Il convient de s'arrêter un instant sur le personnage du Comte de Champagne. Les liens sont si étroits qu'Etienne Harding fait venir à Citeaux un moine de l'Abbaye de la Chaise-Dieu, spécialiste des textes hébraïques en 1115. La même année, le même Comte de Champagne prend sous sa protection directe un jeune Moine de Citeaux, Bernard, en lui offrant une terre située sur les territoires qu'il contrôle, à Clairvaux. Récapitulons brièvement la chronologie:
Le Prieuré de Sion ou Ordre de Sion
Insigne du Prieuré de Sion : Lys blanc enlacé d’un circuit, dénommé « Croix du Sud » Dès le départ, je dois vous dire que la rédaction de cet article fut des plus pénibles. En effet, avec ma manie de rechercher la vérité à tout prix, je me suis heurtée à des contradictions énormes quant à ce fameux Prieuré de Sion puisqu’il n'apparaît dans aucun ouvrage à valeur historique. Il est vrai qu’étant une société secrète, il doit par définition rester dans l’ombre. Selon Wikipedia, le Prieuré de Sion est une société secrète fictive, inventée par Pierre Plantard qui aurait déposé une série de faux documents « Le Dossier Lobineau ou dossiers secrets » à la Bibliothèque nationale de Paris dans les années 60. Les documents contenus dans les dossiers secrets sont composés de lettres, d’arbres généalogiques mérovingiens, de coupures de presse et d’extraits imprimés d’ouvrage. Pourtant, certaines indications nous démontrent que le Prieuré de Sion a bel et bien existé et qu’il existe encore aujourd’hui.
Histoire des croisades (12) : Templiers et ordres militaires
Les croisades étaient des pèlerinages guerriers, et c’est dans cette logique qu’apparaît le concept de « chevalier du Christ ». Mais plus encore que les chevaliers se croisant afin de combattre pour Dieu, c’est bien l’apparition des ordres religieux militaires qui marque l’originalité de la Croisade, en devenant l’un des symboles. Les origines Dès le XIè siècle, avant même la Première croisade, des hospices sont créés pour accueillir les pèlerins qui tentent de rejoindre Jérusalem, et qui font face à des dangers de plus en plus grands. Quels ordres ? Il ne s’agit pas ici de détailler l’histoire de chaque ordre, tous très connus, mais d’en faire un rapide aperçu : le premier chronologiquement est donc l’ordre des Hospitaliers, dont la naissance est située entre 1048 et 1063, avant la Première croisade. La défense de la Terre Sainte Un rôle politique Peut-être plus encore que le militaire, c’est dans le domaine politique que les ordres, et en particulier les Templiers, s’illustrent. - M.