Des lunettes qui reconnaissent les gens Exemple typique de réalité augmentée : des renseignements s’affichent devant le regard. Ici, ils concernent la personne, reconnue par le système. © Multidisciplinary Institute of Digitalisation and Energy/Université Aalto Des lunettes qui reconnaissent les gens… - 1 Photo Sur Facebook, chacun peut lire toutes sortes de renseignements sur un « ami » : son prénom et celui de ses enfants, mais aussi sa pizza préférée, le nom de son chien, le dernier film, etc. Mais lorsqu’on croise quelqu’un dans la rue ou au bureau, on ne peut se fier qu’à sa mémoire… À qui n’est-il pas arrivé de ne pas se souvenir du nom d’une personne croisée et pourtant connue ? Lancé à l’université Aalto, en Finlande, le projet UI-ART (Urban contextual information interfaces with multimodal augmented reality) veut nous aider dans ce genre de situation. Le projet UI-Art va bien plus loin. A voir aussi sur Internet Sur le même sujet
Du Big Bang au Vivant - Cosmologie & Astronomie avec Jean-Pierre Luminet et Hubert Reeves Wired 8.04: Why the future doesn't need us. Why the future doesn't need us. Our most powerful 21st-century technologies - robotics, genetic engineering, and nanotech - are threatening to make humans an endangered species. By Bill Joy From the moment I became involved in the creation of new technologies, their ethical dimensions have concerned me, but it was only in the autumn of 1998 that I became anxiously aware of how great are the dangers facing us in the 21st century. Ray and I were both speakers at George Gilder's Telecosm conference, and I encountered him by chance in the bar of the hotel after both our sessions were over. I had missed Ray's talk and the subsequent panel that Ray and John had been on, and they now picked right up where they'd left off, with Ray saying that the rate of improvement of technology was going to accelerate and that we were going to become robots or fuse with robots or something like that, and John countering that this couldn't happen, because the robots couldn't be conscious. Page 2 >>
Cyberdyne présente son exosquelette HAL La société japonaise Cyberdyne a profité du forum Netexplorateur (qui se tenait les 3 et 4 février à l'Unesco à Paris) pour présenter (ou re-présenter) son invention. Il s'agit d'un exosquelette robotisé, qui permettrait de décupler les forces de son utilisateur. Le exosquelette robotisé Hal capte les impulsions bioélectriques émises par le cerveau Illustration: extrait de la video de présentation Cyberdyne HAL pèse 23 kilos et possède une batterie permettant une autonomie de 2h40. Son utilisation peut être multiple. S'il est possible d'en trouver une utilité dans la manutention (HAL peut facilement soulever de lourdes charges: avec un seul bras, il peut soulever sans effort un poids (Le poids est la force de pesanteur, d'origine gravitationnelle et inertielle, exercée par la Terre sur un corps massique en raison uniquement du voisinage de la Terre. L'inventeur de cet exosquelette, le professeur Sankai, a commencé ses travaux il y a 20 ans avec de petits moyens.
Accueil Dominique Tonin, est un entrepreneur et également une personnalité politique qui a lancé en 2009 son propre parti politique : le PF (pour Peuple Français). Âgé de 58 ans et installé à Ajaccio, il rejoint dans son combat politique bien des points développés par Etienne Chouard. Dans cet entretien, il développe les modifications du système politique et juridique qui seraient à prévoir dans le cadre de l'émergence d'un réel mouvement démocratique et populaire. Cour des comptes, ENA, puissance des lobbies, Sénat, dette publiques, évasion fiscale, France-maçonnerie + magistrature, éducation nationale, trou de la Sécurité Sociale, décroissance, réveil des consciences de peuples... tout y passe dans cette heure et demi d'interview passionnante ! Merci à tous pour vos questions ! Merci à Dominique de nous avoir accordé un peu de temps pour cet entrevue réalisée à Lyon le 26 Avril 2013. Pour le contacter, vous pouvez lui envoyer un e-mail à cette adresse : dominique.tonin@safti.fr
Singularité technologique Au-delà de ce point, le progrès ne serait plus l’œuvre que d’intelligences artificielles, ou « supraintelligence » qui s’auto-amélioreraient, de nouvelles générations de plus en plus intelligentes apparaissant de plus en plus rapidement, créant une « explosion d'intelligence » créant finalement une puissante superintelligence qui dépasserait qualitativement de loin l'intelligence humaine[1],[2],[3]. Le risque serait que l'humanité perde le contrôle de son destin[4]. L'auteur de science fiction Vernor Vinge est même convaincu, dans son essai La venue de la singularité technologique, que la singularité signifierait la fin de l'ère humaine[3], la nouvelle superintelligence continuant de s'améliorer et d'évoluer technologiquement à une vitesse incompréhensible pour les humains[5]. Cette notion de singularité technologique aurait été envisagée par John von Neumann dès les années 1950[6] et ses conséquences ont été débattues dans les années 1960 par I. Loi de Moore[modifier | modifier le code]
HAL-5 : un exosquelette qui rend dix fois plus fort La firme japonaise Cyberdyne a créé une combinaison robotisée qui, dit-on, décuple la force de son utilisateur. Nommé HAL-5 (Hybrid Assistive Limbs), l’exosquelette a été présenté lors du CES 2011 à Las Vegas. Le véritable point fort d’HAL-5 réside dans le fait qu’il reçoit des signaux bioélectriques venant des muscles de son utilisateur pour réagir intelligemment avec le système nerveux humain. HAL-5 n’est pas un concept délirant et sans espoir de commercialisation.
The Singularity Is Not Near What's the Latest Development? Professor of neuroscience at Johns Hopkins University, David Linden doesn't believe man will be fused with machine any time soon. At least not in the way that futurist Ray Kurzweil envisions the (near) future. One of Kurzweil's predictions is that by the 2020s, minuscule nano-robots will enter our brains, non-invasively through our capillaries, and be able to manipulate our sensory receptors to create the first true virtual reality. Linden responds: "Even if our intrepid nanobot were jet-powered and equipped with a powerful cutting laser, how would it move through the brain and not leave a trail of destruction in its wake?" What's the Big Idea? Kurzweil predicts that by the 2030s, we will be able to upload our minds into a highly sophisticated computer, at which point the distinctions between brain, mind and machine would fall away.
Une prothèse neuro-robotique fabriquée par une start-up Une start-up américaine installée à Cambridge, dans le Massachusetts, a conçu une attelle neuro-robotique qui vise à venir en aide aux patients ayant connu une perte de motricité. Le mPower 1000 est un appareil conçu par Myomo, Inc, une start-up de douze employés à Cambridge. La société compte présenter le produit au colloque/salon annuel de l'American Occupational Therapy Association (Association américaine d'ergothérapie), qui se tiendra du 14 au 17 avril à Philadelphie. L'appareil s'enfile comme une manche sur le bras du patient et intègre des "capteurs qui, posés à la surface de la peau, détectent les signaux musculaires les plus infimes", selon le dernier communiqué de la société. Quand le cerveau adresse une instruction aux muscles, le mPower 1000 enclenche ses moteurs et assiste le bras dans son mouvement. Au fil du temps, l'appareil peut aider les patients à réapprendre à bouger. Un usage déjà autorisé aux Etats-Unis Un marché en pleine essor www.myomo.com
The Singularity and Its Discontents | Think Tank In February, 2011, a powerful IBM computer called Watson became the Jeopardy world champion. Immediately, the media went crazy with headlines about machines obliterating mankind. As a media professional, I am not at all surprised by this – the more powerful our machines become, the more our attitudes toward them become polarized between paranoia on the one hand and weak-kneed submission on the other. Playing upon those fears and desires is a guaranteed attention-getter – the stuff of multi-digit pageviews and retweets. What's the Big Idea? The concept of “the Singularity,” a moment in the not-too-distant future when we will manage to create superhuman intelligence, either in machine form or by augmenting our own brains with biotechnology, is particularly effective at inspiring this kind of technophobia or technophilic zealotry. The movement has its fervent detractors. Paul Root Wolpe: Physics also thought it was going to find its grand unified theory a long time ago.