B4 B4 / fenêtres sur tour un webdocumentaire de Jean-Christophe Ribot avec la collaboration de Vincent Voulleminot & Sarah Gruhier une production de Mosaïque films RÉSUMÉ Une façade d'immeuble, 12 étages, 12 locataires, 12 portraits qui se dessinent, de la cuisine au salon, devant l'embrasure d'une fenêtre ou un écran de télévision. Du portrait intime au repas de famille, les fenêtres de ce grand ensemble regorgent de vie, de moments singuliers et d'atmosphères particulières. Tous ces locataires vivent dans différents grands ensembles d'Ile-de-France. L'EXPÉRIENCE B4 La navigation B4 c'est 8 morceaux de vies de 12 habitants de banlieue d'Ile-de-France, soit 96 petits films : une mosaïque de fenêtres qui forment un grand ensemble et dessinent le portrait sensible d'un immeuble où les trajectoires personnelles se croisent, où la diversité des caractères et des regards sur le monde s'éclairent les uns les autres. 12 LOCATAIRES À DECOUVRIR À TRAVERS 8 FILMS.
Communication cross media vs. Communication transmedia A la différence de la communication cross media, qui décline un même concept sur de multiples supports et medias, la communication transmedia fragmente une narration sur divers médias et propose ainsi une multiplicité de contenus. Les contenus ainsi créés doivent être en adéquation avec les spécificités du support/media sur lesquels ils sont diffusés. Chaque contenu peut être compris indépendamment des autres et apporte un regard neuf sur l’histoire mais ils forment au final un tout cohérent. De plus, les nombreux médias utilisés par la communication transmedia (télévision, web, print, téléphonie, radio, tablette, livre, etc.) offrent de multiples points d’entrée dans la narration au public et donc de multiples occasions de contacts avec la cible. Afin de faire patienter les fans de la série durant les hiatus (inter-saisons), une campagne de communication transmedia a été mise en place pour la série Lost.
TransmediaKids.com: Multi Platform Storytelling... [Antisèche] C'est quoi le transmédia ? Alors que les chaînes de télévision françaises font leur rentrée, de nouveaux programmes apparaissent dans leurs grilles. À l’image d’autres médias tels que la presse par exemple, la télévision tente de développer de nouveaux formats pour engager davantage les spectateurs et renouveler leur offre tout en s’adaptant aux usages issus des cultures numériques. Depuis quelques années maintenant, nombreux sont les professionnels des médias à avoir misé sur des programmes "transmédia". Et ce nouveau type de contenus semble également séduire les annonceurs. Le transmédia, une histoire de narration Un contenu au format transmédia se décline sur plusieurs médias, ou plateformes, à la fois : une télévision, un écran d’ordinateur et un smartphone par exemple. Chaque support est donc un espace dédié à une partie de la narration. S’il a fait son apparition en France il y a quelques années seulement, Henry Jenkins, professeur à l'Université de Californie du Sud évoquait déjà le terme en 2002.
Transmédia ou Cross-média « Fini de rire » Transmédia ou Cross-média « Fini de rire » Arte diffuse le 7 mai à 22h35 le documentaire « Fini de rire » à l’occasion de la journée mondiale de la liberté de la Presse. Mais dès le 15 avril un webdoc est aussi en ligne sur le site d’Arte… Fini de rire, le webdoc trace les nouvelles frontières de la liberté d’expression, via les témoignages pertinents et percutants d’une quarantaine de caricaturistes originaires des quatre coins du monde, en invitant l’internaute à l’accompagner et l’assister dans son expérience. Le site Web : ARTE accompagne la Journée mondiale de la liberté de la presse le 3 mai avec « Fini de rire », avec un webdocumentaire dès le 15 avril et un documentaire le 7 mai, à la rencontre de dessinateurs de presse dans différents contextes sociaux et politiques aux quatre coins du globe. Conçue par le dessinateur français Plantu, Cartooning for Peace est une initiative née le 16 octobre 2006 au siège de l’ONU à New York.
100 notions pour le crossmédia et le transmédia - G. Azémard Premier volet d'une collection dirigée par Ghislaine Azémard, l'ouvrage 100 notions pour le crossmédia est une encyclopédie collaborative crossmédia sur le crossmédia, une base de connaissances scientifique pluridisciplinaire sur le numérique, organisée sous la forme de notions clés autour de la création, la production et diffusion crossmédia. Ses ambitions sont les suivantes : analyser et penser les usages transmédias et crossmédias, les modèles économiques, afin d'agencer au mieux les complémentarités des modèles traditionnels avec ceux portés par les nouveaux médias collaboratifs : comprendre les enjeux juridiques du crossmédia, notamment autour de la question du droit d'auteur, de la propriété intellectuelle sur les différents supports, ainsi que de la protection des données personnelles. Conçu comme un véritable projet crossmédia, cet ouvrage se présente sous la forme d'un livre, d'une plateforme en ligne et d'une application mobile (smartphones et tablettes).
Story Structure: Linking Your Series Dilemma To Your Pilot Dilemma During my story consults, the current most-discussed topic is the idea of “linking dilemmas” in the TV pilot. A hot trend in story structure is having the series dilemma link to the pilot dilemma. When done correctly, you set up both a closed-ended arc and an ongoing serialized arc for your story. The basic rule is this: establish the series dilemma in your pilot opening. In the opening, establish the following: the world; the central character; the wound of the central character; the trigger incident; and the dilemma. ‘The Americans’ The world establishes the tone of your pilot and the engine for your story. Your pilot dilemma should result directly from the overarching series dilemma. Your series arc bookends your pilot and could have one or two scenes in the middle. Pilots with strong examples of this structure include: • The Good Wife; • Luther; and • The Americans. In The Good Wife, the series arc is that Peter betrays Alicia by committing a crime and going to jail. Related Articles:
► 5 minutes pour comprendre le transmedia storytelling selon Netflix Telle est la tentation digitale de notre siècle : parcourir les messages soigneusement cachés dans les plis et replis du compte Facebook de son voisin. Découvrir, stupéfait, des rumeurs ébouriffantes, des déclarations enflammées, des confessions inavouables… I Ne vous cachez plus. Chacun d’entre nous, le temps d’une heure ou d’une minute, y a pensé. Et Netflix aussi. Et c’est grâce au storytelling que l’entreprise américaine de films et de séries a créé l’engouement autour de sa série 13 Reason Why. Le transmedia storytelling, c’est une méthode efficace pour décupler la notoriété de la fiction… Mais le transmedia storytelling, c’est aussi un système utile aux entreprises qui souhaitent se développer intelligemment sur les réseaux sociaux, en élaborant des contenus complémentaires et performants. 13 Reasons Why : la série, le site… Ou comment Netflix pose les bases de sa stratégie de transmedia storytelling Séance de rattrapage Vous avez plus de 30 ans et vous vivez dans une grotte ?
The New Digital Storytelling Series: Katerina C... jeux narratifs Avec la sortie de Black Crown, rédigé par l'auteur émergent Rob Sherman, les éditions Random House font leur première incursion sur le terrain des jeux narratifs. Une aventure située dans un univers bizarre avec ses propres infections maladives, et dans lequel le joueur incarne un employé du mystérieux et fictif institut Widsith. Un projet free-to-play, désormais en ligne, auquel vient se greffer des contenus accessibles via micropaiements. Concocté en partenariat avec Failbetter Games et Popleaf, le jeu est basé sur la plateforme StoryNexus, développée par le premier cité et désormais customisée par le second. L'histoire est tirée du cerveau de l'écrivain Rob Sherman, tandis que Popleaf a pris à charge la production des contenus supplémentaires, comme des chapitres bonus et autres assistances en cours de partie. L'interface de jeu se veut simple, mais néanmoins plongée dans un univers loufoque qui peut dérouter les néophytes. A découvrir à cette adresse.
Petit Web décerne ses trois Lions du transmédia Qui ?Jay Ferguson (en photo), producteur de Guidestones, Justus Verkerk, producteur de The Party Project et Jean-Christophe Yacono, réalisateur d'Emilie. Quoi ? Trois formats innovants mêlant web, mobile, TV et/ou cinéma, repérés à travers le monde par Petit Web et expliqués par leurs concepteurs. Imaginés par des sociétés de production, et non des agences de publicité, ces formats pourraient intégrer - ou inspirer - des marques. Comment ? - Guidestones Récompensé lors du dernier MipTV par un International Digital Award dans la catégorie Fiction, Guidestones est une série canadienne pensée pour le web, intégrant des annonceurs directement dans son scénario. - The Party Project Réalisé aux Pays-Bas avec Entertainment Experience, par les producteurs de Tricked, le premier film entièrement crowdsourcé (lire notre article), cette émission entend concevoir la première soirée "UGC" au monde. - Emilie Benoit Zante
How 8 Famous Writers Chose Their Pen Names Scottish author Iain Banks died earlier this week after battling gall bladder cancer. With him died his nom de plume Iain M. Banks, under which he wrote science fiction. I admit I’m not familiar with the work Banks wrote under either name, and when I heard the news, I initially thought it weird that two writers with such similar names died on the same day. I wasn’t alone, and my Twitter feed was soon littered with realizations from others that they were the same guy. Some pen names are fairly well-known for what they are. 1. While Lewis Carroll might sound delightfully British to American ears, Charles Lutwidge Dodgson is even more so. 2. Józef Teodor Konrad Korzeniowski is a bit of a mouthful, and when the Polish novelist began publishing his writing in the late 1800s he used an Anglicized version of his name: Joseph Conrad. 3. Ricardo Eliecer Neftalí Reyes Basoalto (another mouthful) had an interest in literature from a young age, but his father disapproved. 4. 5. 6. 7. 8.